Roman
Bernard, un loser candide rencontre Simon, un dandy tueur à gages, et le hasard fait bien les choses : Simon a de l’argent, et Bernard, tout son temps. Il sera son chauffeur pour sa dernière mission. Pascal Garnier met en scène avec lucidité, humour et un trésor de délicatesse un périple improbable, pour un tandem incongru.
Roman
Maintenant que son ami Gasner vient d'être assasiné par les tontons macoutes, Vieux-Os ne peut plus rentrer chez lui. Commence alors une folle nuit où, accompagné par les dieux vaudou, il parcourt les rues de Port-au-Prince pour dire adieu à ses amis et à ses amours, avant de prendre l’avion pour Montréal, qui ne l’attend pas.
Roman traduit de l’anglais (Inde) par Anne-Cécile Padoux
Une fiction aventureuse, un faux gourou, les chimères des passions, et l’humour inimitable du grand Narayan !
« Une satire grinçante qui dénonce l’imposture d’un prophète et la crédulité de ses adeptes. » Lire
Roman traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle
Emblème des œuvres à venir, la Troisième Balle, premier roman de Leo Perutz, emprunte la forme d’un labyrinthe baroque et savamment construit, où le réel historique et l’imaginaire fantastique, étrange, métaphysique, ne cessent de se télescoper.Roman traduit de l’allemand par Jean-Claude Capèle
Une enquête en forme de roman halluciné où sont abordés, avec une intuition aiguë des ressorts de l’inconscient et de la logique, les thèmes du dédoublement et de la violence autodestructrice. Un roman qui nous hante bien longtemps après l’avoir lu.
Roman traduit de l’espagnol (Cuba) par Claude Fell — Présenté par Eduardo Manet
Dans les années vingt à Cuba, la contrebande d’alcool est bien plus lucrative que la pêche au mérou. C’est donc sans mal que Requin, capitaine de la Buena Ventura, persuade l’armateur de miser tout ce qui lui reste sur un voyage vers les États-Unis.Prix Goncourt de la nouvelle
« L’imagination de G.-O. Châteaureynaud est flamboyante et glacée comme l’enfer. Mais tous les diables ne sont pas des exterminateurs. L’écrivain fréquente aussi les diablotins, les farceurs. » Bernard Pivot, Le Journal du dimanche
Ces onze récits ouvrent les portes d’un monde cruel, inouï, qui se joue de nous…
Roman traduit de l’espagnol (Mexique) par François-Michel Durazzo
Prix Antonin Artaud France-Mexique
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Ce projet a bénéficié d’un soutien de la DRAC de Normandie et de la Région Normandie au titre du FADEL Normandie
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