Récits d’enfance et de guerre
suivis de La Boîte aux lettres du cimetière
979-10-387-0031-4
9,95€
Paru le 08/04/2021
Presse
presse@zulma.fr
Librairie
valentin.feron@zulma.fr
01 58 22 19 90
Héritier de la liberté et du combat de ses pères, tous républicains et résistants, Serge Pey nous offre un fabuleux kaléidoscope d’histoires vraies – la tragédie toujours au bord du fou rire et des larmes se laisse emporter par les jeux éternels de l’enfance. Une femme invente un code secret en étendant le linge, un bijoutier fabrique des broches avec des scarabées, des petits resquilleurs déchiffrent à l’envers les sous-titres du cinéma en plein air, des réfugiés de retour sur une plage pour les vacances viennent creuser nuit après nuit à la recherche d’un trésor mythique…
Avec un ton unique dans l’art du récit, ces histoires à couper le souffle dévoilent leur beauté immédiate et brutale, leur univers charnel, réaliste et enchanté. Rarement une écriture aura rendu avec une telle intensité la mémoire à la vie.
Enfant de la guerre d’Espagne, établi à Toulouse où il enseigne la poésie contemporaine à l’université du Mirail, Serge Pey est par ailleurs un grand arpenteur d’horizons, de la Chine au Mexique ou au Nicaragua, un plasticien remarquable et un poète adulé pour ses performances chamaniques aux quatre coins du monde.
320 pages
979-10-387-0031-4
9,95€
Paru le 08/04/2021
Presse
presse@zulma.fr
Librairie
valentin.feron@zulma.fr
01 58 22 19 90
Bonus
« Serge Pey est unique, parmi les plus grands, un poète et un
penseur qui change le poème et la pensée, qui change la vie. »
« Par une prose intense, poétique et riche
de métaphores, il libère toute
son énergie créative et engagée. »
« De véritables trésors de lectures, un véritable antidote contre l’oubli. »
Altermondes
« Parmi tant de guerres, Serge Pey en a choisi une qui, pour lui, allait
de soi. La guerre des siens, les enfants d’Espagne qui regardent les
Grands se battre. Son livre a la saveur d’une grenade, il éclate en
mille graines. Il est humble et flamboyant comme la terre du Sud,
tragiquement beau comme pendant la guerre, beau comme la pauvreté des gens. »