La Maison de verre – Buru Quartet IV
Pramoedya Ananta Toer La Maison de verre – Buru Quartet IV

Roman traduit de l’indonésien par Dominique Vitalyos

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11,5 × 19 cm
608 pages
9791038700697
12,20
Paru le 04/11/2021

Voici le dernier volet du Buru Quartet, la fin prodigieuse de l’histoire que « Pram» racontait à ses compagnons de détention sur l’île de Buru.
Comme le maître des marionnettes dans un théâtre d’ombres, Pangemanann est chargé par le Gouverneur des Indes néerlandaises de surveiller et contrecarrer les activités de Minke : faire cesser ses appels au boycott, son syndicat et son journal.
D’abord tiraillé par sa conscience face à un homme qu’il admire, Pangemanann ne s’embarrasse bientôt plus de scrupules. Espionnage, intimidation, arrestations, attentats : tout est bon pour détruire Minke et son œuvre. Mais les enjeux de cette lutte pourraient bien dépasser Pangemanann, qui ressemble de plus en plus au double obscur de Minke…

Longtemps emprisonné et censuré, Pramoedya Ananta Toer (1925-2006) est aujourd’hui le romancier indonésien le plus traduit dans le monde.

« Le dernier volet du Buru Quartet est – du début à la fin – l’un des projets les plus ambitieux de la littérature mondiale d’après-guerre. » The New Yorker

Pramoedya Ananta Toer

Pramoedya Ananta Toer est né en 1925 sur l’île de Java. Il a été emprisonné par le gouvernement colonial hollandais de 1947 à 1949. En 1965, sous la dictature de Suharto, il est envoyé au bagne de Buru, dont il sort en 1979 sous la pression internationale. Grand humaniste, fidèle à ses idéaux jusqu’à la fin de sa vie en 2006, il est surveillé et systématiquement censuré. Son œuvre est immense – plus de cinquante romans, nouvelles et essais, traduits dans près de quarante langues.

Fresque politique, roman d’initiation d’amour et d’émancipation, le Buru Quartet est une incroyable machine romanesque – géniale, puissante, unique.

 



11,5 × 19 cm
608 pages
9791038700697
12,20
Paru le 04/11/2021

Bonus

« Le Buru Quartet, une tétralogie engagée, entre
roman initiatique et critique de toutes les oppressions. »

Marie Daoudal, Le Monde des livres

« Pramoedya Ananta Toer a réussi, de manière émouvante et lumineuse, à rendre compte de la psychose coloniale. La Maison de verre est aussi une analyse mémorable de la capacité humaine à s’autodétruire, n’importe où et à
n’importe quel moment. »  

The New York Times

« Certainement l’un des meilleurs feuilletons politiques de tous les temps ! »

Thomas, librairie Gallimard – Montréal

Les coups de cœur de la librairie Gallimard

« L’esprit du narrateur brasse à la fois l’Histoire et le monde contemporain où les opprimés, lentement ou de manière violente, prennent conscience de leur force. » 

The Washington Post

« Toer a façonné une œuvre libre empruntant à tous les genres et toutes les sensibilités, où la dimension engagée est véhiculée par des histoires d’amour, d’espionnage, des confessions, des narrateurs multiples et des dialogues à la limite de la scène théâtrale. »

Élise Lépine, Transfuge

Les lectures d'Élise Lépine

« Le dernier opus du Buru Quart est – du début à la fin – l’un des projets les plus ambitieux de la littérature mondiale d’après-guerre. » 

The New Yorker

Valérie Delbore
lit quelques pages
de La Maison de verre

Pramoedya Ananta Toer chez Zulma