Hubert Haddad
Auteur d’une œuvre considérable, Hubert Haddad nous implique magnifiquement dans son engagement d’intellectuel et d’artiste, avec des titres comme Palestine (Prix Renaudot Poche, Prix des cinq continents de la Francophonie), les deux volumes foisonnants du Nouveau Magasin d’écriture, ou le très remarqué Peintre d’éventail (Prix Louis Guilloux, Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre).
Avec Casting sauvage, son dernier roman, Hubert Haddad scrute la ville en mouvement, la redessine dans ses coïncidences, ses secrètes chorégraphies, et nous offre un texte magistral, lumineux, superbe. Le Bleu du temps, entièrement revu par l'auteur, paraît conjointement dans la collection de poche Z/a.
Mardi 19 février 2019, Hubert Haddad à la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne
À 19 h, à l’occasion du Livre en question organisé par la BIS, présentation par Hubert Haddad d’un texte qui lui a été inspiré par les collections de la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne.
Inscription obligatoire à l’adresse suivante : communication@bis-sorbonne.fr
Pour en savoir plus, cliquez ici.
La BIS, 13, rue de la Sorbonne - Paris 5e, salle de formation
Jeudi 16 mai 2019, Rencontre Apulée à la librairie Guillaume – Caen
Yahia Belaskri et Hubert Haddad présenteront la revue Apulée le jeudi 16 mai à la librairie Guillaume.
Librairie Guillaume : 98, rue Saint-Pierre – 14000 Caen
Les rencontres passées avec Hubert Haddad
N’hésitez pas à cliquer sur chaque livre pour découvrir tous ses formats disponibles.
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Librairie Lettre et Merveilles
« Ce que la guerre prend à l'enfance »
« Comment peut-on perdre tout humanité alors qu'on est encore qu'un enfant ? À qui doit-on la perte de l'innocence ? Pourquoi aucune rédemption n'est-elle possible ? Le nouveau roman de Hubert Haddad s'attache à répondre à ces questions. Un roman bouleversant. »
Mélanie Le Loupp

Les Traversées
Gazette – sélection des librairies L’Arbre à Lettres, n° 5, été 2007

Librairie Dédicaces
Sélection 2011 « Les pépites de la rentrée littéraire » de la librairie Dédicaces.

Fontaine Auteuil
Sublime livre que voici! »
Julien D.

Librairie du Rivage
Les textes d’Hubert Haddad sont des perles noires qui reflètent nos vies, nos souffrances et nos joies, sublimées par la force des mots et la magie des images.»
Patrick Frêche

La Colline aux livres
« La vieille ferme de la famille Fox grince, craque, toque. Seulement voilà, la petite Katie, cadette de la maison, s’adresse un jour à celle-ci : "Qui que tu sois, maintenant fais comme nous !" Et de claquer 3 fois des doigts… avant que les murs ne lui fassent écho en rythme ! C’est ainsi que Mister Splifoot est entré dans la vie de la puritaine Hydesville et le spiritisme dans l’Histoire.
Chacun y va de son opinion pour créer un roman-chorale sombre et inquiétant : Maggie la grande sœur effarouchée, les parents naïfs, le pasteur enflammé, les voisins "à la torche facile", Leah la sœur aînée émancipée, les investisseurs intéressés…
Margaret et Kate Fox vont être tour à tour moquées, enviées, ridiculisées, encensées et attaquées…
C’est leur histoire que nous raconte Hubert Haddad à travers son écriture élégante et fluide, inquiétante et malicieuse… délicieuse ! Roman historique ou roman noir ? Peu importe, c’est une réussite ! »
Sara

Librairie L'Amandier
« Opium Poppy fait partie de ces livres qui rendent meilleur le lecteur. »
Thomas Auxerre

L'Humeur vagabonde
Olivier Michel

Librairie Les Lisières
« Formidable ! (...) Un roman facétieux et jubilatoire ! »

Librairie Decitre
« Un splendide roman sur l’identité qui convoque les notion d'exil, de deuil et de perte mais aussi sur les sens. Le lecteur et le personnage principal sont envahis par une délicieuse cohorte de sons, d’images et de sensations. Un vrai prodige littéraire ! J’ai adoré ! » Florian

Librairie Mollat
David Vincent

Librairie Mollat
Librairie Mollat

Le Comptoir des mots
« Evadez-vous dans l'atmosphère exotique, colorée et bruyante de l'Inde, pays aux rencontres surprenantes enfantant des récits aux faux airs de milles et une nuits… » Marie Morel

Librairie Garin
« Hubert Haddad nous emmène cette fois-ci en Inde, où Hochéa Meintzel, un vieux musicien israëlien, va tenter de trouver le chemin de la guérison loin des troubles qui agitent son pays. Une quêtre spirituelle et initiatique doublée d'un voyage sensoriel sans pareil. Un grand Hubert Haddad ! ».

Librairie du Rivage
Alam, le petit afghan qui rêvait de bonheur possible dans sa campagne verra peu à peu broyer son environnement et sa force vitale pour n’être plus qu’un être en sursis, inexorablement happé par le vertige de la mort.
Ce livre est un cri que les lecteurs ne pourront oublier, mais pas seulement. Ce livre déchire le voile qui nous masque le réel, pour nous conduire à redonner du sens à la vie, celle de nos enfants.
Indispensable et salutaire. »
Patrick Frêche

Librairie - café Soif de lire
« Encore un "must" à lire en janvier !
Tout d’abord j’adore le titre de ce livre la THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE ! Ensuite, je me laisse volontiers emporter par l’écriture à la fois poétique, précise et très raffinée de son auteur, Hubert Haddad. Après la Palestine, l'Afghanistan et le Japon, Hubert Haddad nous emmène dans l’Amérique puritaine mais en pleine mutation du milieu du XIXe. Par le biais des jeunes sœurs Fox — Kate et Maggie — qui inventèrent le spiritisme, et de leur grande sœur Leah qui en fit un business fort lucratif, le lecteur suit l’évolution de cette Amérique du libéralisme naissant, cette Amérique de tous les possibles, celle des droits des femmes, de l'émancipation des Noirs et de la conquête de l'Ouest. »

Librairie - café Soif de lire
Jennifer Le Morvan

Librairie Labyrinthes
« Le nouveau roman de Hubert Haddad, écrivain dont nous affectionnons à Labyrinthes et la qualité d’écriture et la variation permanente de ses thèmes romanesques, se consacre à explorer l’histoire des sœurs Fox. On l’a oublié (ou bien on le savait pas vraiment), mais le spiritisme (tables tournantes, tablettes ouija, communication médiumnique avec les chers disparus, frissons…) qui irrigua l’imaginaire européen des débuts du XXe siècle prend sa source dans le milieu du XIXe siècle aux États-Unis. Haddad réécrit l’histoire incroyable des petites filles qui furent à la source de tout ça, et ce roman intitulé THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE plonge le lecteur dans une histoire qui s’avère au final être aussi celle de l’évolution de la pensée et des positions américaines quant à la foi et aux fantômes. Toujours aussi somptueusement écrit (Haddad est l’un des plus grands stylistes de la prose contemporaine, comme l’a montré de nouveau en 2013 le Peintre d’éventail), ce roman abondamment nourri de relations avec les mouvements de l’histoire, entraîne dans des territoires inconnus. »

Librairie Nouvelle
« Après le sublime Japon du PEINTRE D'ÉVENTAIL, Hubert Haddad invoque les esprits. Par son écriture toujours somptueuse, il romance l'incroyable histoire des sœurs Fox, les premières médiums. Par un soir d'orage, dans cette folle Amérique du XIXe siècle, elles jouent à invoquer un fantôme, et à y croire. Bientôt ce jeu de vilaines petites filles dégénère : le spiritualisme fera des milliers d'adeptes… Esprit, es-tu là ? Peut-être ! Espiègle et perturbant ! » Hugo Latreille

Librairie Mollat
On imaginait qu’il n’y aurait qu’un monument : il y en a deux ! Comme ces pyramides qui se doublent d’une autre puis d’une autre pour constituer un champ monumental. Ainsi Hubert Haddad a osé récidiver et nous offre, juste avant les fêtes, un nouveau sujet de rêveries, de promesses et de bonheurs avec son Nouveau nouveau magasin d’écriture superbement mis en page par le prometteur Dominique Bordes, graphiste bordelais (lui-même à la tête d’une conspiration éditoriale nommée Monsieur Toussaint Louverture) qui s’est mis au service de ce vaste projet initié par Zulma dont la fidélité à l’œuvre de cet auteur prolixe force le respect. »
David Vincent

Fontaine - Sèvres
« De l'Afghanistan à la France, l'auteur retrace le destin d'un enfant afghan dont l'innocence est volée par la guerre, le trafic de drogue et la perte de sa famille. Il fera de nombreuses rencontres, bonnes ou destructrices, mais qui toutes forgeront son impitoyable caractère. Un sujet très dur donc, parfois à la limite du supportable, mais porté par une très belle écriture, une certaine poésie et une absence totale de complaisance. »
Julie Quédeville

Librairie Vaugeois
Le Nouveau Nouveau Magasin d'écriture fait partie de la sélection de la librairie Vaugeois.

Librairie L'Usage du Monde
« Dans ce roman d’Hubert Haddad, nous découvrons la vie des sœurs Fox. Ces sœurs qui ont réellement existé, au XIXe siècle. Kate, la plus jeune, est somnambule, " À onze ans, pas encore femme, Katie avait l’air d’un ange, un de" ces gracieux oiseaux à visage humain qui peuplent par myriades les sphères resplendissantes, "comme les avait décrits un jour le révérend Henry Gascogne au sermon dominical." Et c’est celle-ci qui va ouvrir la voie au Modern Spiritualism. En effet, en communiquant avec celui qu’elle nomme Mister Splitfoot, les fantômes ne vont plus passer inaperçus. Et quand la plus âgée des sœurs, Leah, décide de faire monter Kate et Margaret sur scène, alors les pouvoirs de médium vont se propager comme un virus…
" Cependant les coups se firent plus violents, assez pour réveiller Maggie couchée à sa dextre, là même où ronflait le père Fox d’ordinaire, tandis que bonne mère soupirait doucement à sa senestre. Maggie vit sa sœur occupée à faire craquer ses phalanges, pouces contre majeurs. À sa grande stupeur, les coups répondirent en écho, juste après les claquements de doigts. Un coup pour un coup, deux pour deux et ainsi de suite. Mister Splitfoot jouait à donnant-donnant."
Pour le coup, nous avons là un roman original avec un sujet vraiment bien traité. Car Hubert Haddad a l’art de manier les mots ; grâce à lui, j’ai pu assister à des séances de spiritismes angoissantes, j’ai pu manger à la table d’éminents personnages en compagnie des sœurs Fox, j’ai pu entendre les coups de Mister Splitfoot, et j’ai pu devenir amie avec Kate… Bref, je me suis fondue dans cette incroyable histoire. Un morceau d’Histoire que je n’avais encore jamais vu et qui a été une découverte passionnante. Accrochez-vous à votre table avant qu’elle ne s’envole… » Élise

Librairie Le Grenier
Le coup de coeur de Gaël : « Encore une fois, quelle écriture ! Hubert Haddad manie la langue avec une telle maîtrise, une telle virtuosité, qu’il pourrait transformer un simple roman à l’eau de rose en véritable chef- d’œuvre. Quand, en plus, les thèmes abordés sont si divers et traités avec une si grande justesse, il est difficile d’y resister.
Dans THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE, Hubert Haddad nous fait vivre l’histoire des trois sœurs Fox. En 1848, dans une petite bourgade de l’État de New-York, Katie Fox, la benjamine, prétend communiquer avec un esprit frappeur, un colporteur mort il y a plusieurs années. La nouvelle se répand et va bouleverser la vie des trois paysannes. Le spiritualisme moderne anglo-saxon va alors connaître un essor sans précédent. Mais au-delà du destin des soeurs Fox, ce roman est une immersion dans l’histoire des États-Unis au XIXe siècle et plus particulièrement dans la "bonne société" de la Nouvelle-Angleterre. Nous cotoyons ainsi des personnalités éminentes de l’époque tels que Ralph Waldo Emerson (écrivain), Horace Greeley (éditeur et homme politique), Frederick Douglass (ancien esclave et célèbre abolitioniste).
Un très bon roman qui allie le plaisir de la lecture et celui de la découverte. »

Librairie La Buissonnière
« On s'émerveillera toujours de la fabuleuse et envoûtante prose romanesque de Hubert Haddad, un ravissement qui conduit le lecteur de Jérusalem à Pondichéry en compagnie d’Hochéa Meintzel, vieux violoniste virtuose. Dans un éclatement d'odeurs, de couleurs, de sonorités et de paysages, ce voyage sans retour en Inde est aussi un voyage intérieur sur les blessures anciennes, un voyage fait d’émotions et de rencontres, un voyage qui permet de renouer le fil de la vie à un fabuleux passé ancestral. Merveilleux ! » Manuel Hirbec

Librairie Saint-Christophe
Jean-François Delapré

Librairie Le Merle Moqueur
Celle-ci a pour personnage principal un jeune garçon afghan qui, tour à tour paysan, enfant des rues, victime, guerrier et pour finir étranger, en oublie jusqu’à son nom.
Préparez vos mouchoirs...»

Librairie Saint-Pierre
« Un bijou dans un écrin. L’envoûtement et le charme imprègnent le nouveau roman de Hubert Haddad, THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE, publié chez Zulma. Après l’enchantement du PEINTRE D'ÉVENTAIL (Zulma, 2013), l’auteur retrace la passionnante histoire des sœurs Fox, l’occasion d’évoquer l’épopée du spiritisme au XIXe siècle dans l’État de New-York. »
Simone Roche

La Librairie Générale
« Ancienne danseuse professionnelle, Damya a été touchée au genou par une balle, un certain 13 novembre 2015, alors qu'elle buvait un verre à la terrasse d'un café.

Librairie Ravy
«Bouleversante histoire d'un jeune afghan miséreux, Alam, qui tour à tour suivra son grand frère ( qui partira pour le Djiad), qui connaitra le statut d'enfant soldat, puis d'immigré dans un centre de rétention, puis dans un squat, plaque tournante d'un trafic d'opium. Riche en émotion mais sans pathos, alternance de description de nature à couper le souffle et de scènes de violence apocalyptique. A mettre entre toutes les mains ! »

Librairie C'est la faute à Voltaire
« L’écriture d’Hubert Haddad est fortement métaphorique et on est séduit par la richesse de la palette du peintre qui décline ses nuances de lumières et de couleurs, attentif aux divers plans et perspectives, mais aussi par la variété des sonorités – murmures de l’eau ou chants des oiseaux, pierres qui roulent et bruissements des végétaux – sans compter la subtilité des odeurs et des parfums. Et l’auteur excelle toujours à décrire des femmes lumineuses avec sensualité et simplicité. Des descriptions qui vous emmènent très loin car leur beauté révèle l’invisible. »

Librairie Au Temps lire
« Derrière une nouvelle couverture toujours aussi réussie du talentueux David Pearson se cache le dernier roman attendu de Hubert Haddad.
Blessée lors des attentats de 2015, Damya ne dansera plus sur scène. La mission qui la tient désormais debout malgré tout : trouver aux détours des rues de Paris des figurants qui incarneront des déportés de retour des camps dans une adaptation cinématographique. La jeune danseuse nous entraîne sans le savoir dans un pas de danse bouleversant d’humanité. Ses rencontres avec des femmes et des hommes blessés, fragilisés, marginalisés sont autant de visages et d’histoires empreints d’une force troublante et d’un espoir insoupçonné. Si Damya ne leur promet pas le premier rôle, elle offre à chacun de ces figurants d’un jour une mise en lumière émouvante, irremplaçable et nécessaire.
La plume poétique de Hubert Haddad porte avec grâce ce roman grave et si lumineux. Magnifique, simplement. » Virginie Deschler

Librairie Molière
« Suite à un évènement traumatisant, Matabei se retrouve dans une pension où il devient l'élève d'un maître de la peinture d'éventail. À la mort de celui-ci, il entreprend de poursuivre son œuvre et petit à petit, se fond avec la nature qu'il prend tant de plaisir à représenter. Un roman finement construit, poétique et introspectif où le lecteur ressentira l'impermanence de la nature, l'amour dans ce qu'il a de plus fragile et fugace, l'univers comme un flocon de neige. »

Librairie Passages
« Une vie retirée dans une pension loin du monde, où il est question de passion et d’humilité : de l’artiste face à la nature et de l’homme face à lui-même. L’écriture lumineuse de Hubert Haddad effleure le papier et trace un roman d’une infinie poésie. »

Librairie La Boîte à Lettres
Palestine figure parmi les « livres de chevet » de La Boîte à Lettres.

L'Arbre à Lettres Bastille
« Hubert Haddad nous transporte dans un univers sensuel et fabuleux, indéniablement beau et brutal. Et comme toujours c'est sublime. » Christophe Gilquin

Librairie Kléber
Coup de cœur d'Isabelle Howald

Librairie Vandromme
Plongée dans une jungle urbaine aux côtés d'oiseaux de passage, éteints en d'autres lieux, à l'enfance tout autant fracassée. «Qui peut me faire une phrase au passé simple avec le verbe être ?». Le passé n'est jamais si simple.
Sur le fil conducteur du trafic d'opium, un roman dense, bouleversant, d'une grande force littéraire et poétique qui nous renvoie l'image barbare d'une insoutenable réalité. »
Clo Brion

Librairie Saint-Christophe
« C’est un roman étrange et fantastique que nous livre ici Hubert Haddad, une mise en abyme étonnante sur une société capable de domestiquer la mort, en permettant à une tête de survivre à l’incapacité motrice de son propre corps, et pourquoi pas à l’infini…
Écrit dans cette urgence nécessaire qui caractérise l’auteur, Corps désirable est un conte apocalyptique sur l’identité, mais aussi sur la chimie complexe mais éternelle du désir. »

Librairie La Traverse
« L'itinéraire de Alam, 12 ans, enfant soldat afghan pris entre la guerre et le trafic d'opium, échappé de l'enfer pour se retrouver à Paris. De vagabondages en vagabondages, nous découvrons le parcours de Alam, le petit paysan surnommé L'évanoui, à travers ses souvenirs qui nous plongent dans l'effroi. Un être en sursis dont les errances le conduiront à éprouver un impossible amour et à s'approcher toujours plus près de la mort. Hubert Haddad, romancier, dramaturge et essayiste, poursuit son exploration des pouvoirs de l’imaginaire confronté aux duretés du réel. A lire absolument. »

La Librairie du 104
Le tout forme un véritable puzzle très cohérent, une histoire d’amour (fou) bouleversante.
Hubert Haddad, en perpétuel affrontement avec la langue, ressuscite avec bonheur des mots rares et passe bien au-dessus de cette rentrée littéraire par son érudition. »

Librairie Vaux Livres
« Hubert Haddad dans un roman troublant à suspens aborde une longue série de questions essentielles, le progrès, la science, la médecine, l'identité, l'amour, la vie, la mort. »


Les mots et les choses
« Fidèle à ses amours, Hubert Haddad nous emmène de nouveau au Japon, sur les chemins du haïkiste Santoka. Le jeune Shoichi porte en lui le souvenir de Saori, la seule femme qu'il ait aimée, une universitaire qui a consacré sa vie à Santoka, le dernier grand haïkiste japonais. La marche, le recul et le désœuvrement érigés en mode de vie, l'auteur du Peintre d'éventail nous touche pas sa sensibilité et sa plume subtile. »

Librairie Mollat

Librairie L'Armitière
« J'avais lu les précédents romans de cet auteur que je tiens pour une des meilleures plumes de la littérature française d'aujourd'hui. À chaque fois, il nous entraîne sur un thème différent, et jamais là où on l'aurait attendu. Ici, en l'occurence, c'est du spiritisme dont il est question à travers l'histoire de ces trois sœurs. Tout commence lorsqu'elles emménagent dans une grande maison dans laquelle elles perçoivent la présence d'un fantôme. Rapidement, elles vont vite établir un contact avec lui… C'est toute la vie de ces trois sœurs que raconte ce roman, mais Hubert Haddad, avant tout, c'est pour moi une écriture ! C'est un vocabulaire ciselé. On sent l'amoureux des mots et du langage et j'ai un vrai coup de cœur pour ce nouveau roman. » Roselyne

Librairie La Buissonnière
Manuel

Librairie Vaux Livres
« Damya aurait pu continuer de danser. Un soir de novembre 2015 l’en a empêché. Damya aurait pu retrouver ce rendez-vous manqué avec un homme. Un soir de novembre 2015 l’en a empêché. Mais Paris continue de vivre, avec ses blessés, sur le retour, lentement. Et Damya va arpenter ses rues. Elle est en effet chargée par l’une ses amies de repérer des figurants pour La Douleur qui représenteront les déportés qui rentrent des camps. Un casting géant […] sous forme de traversée de Paris pour dénicher des visages éprouvés, des corps tordus. Elle doit rechercher la douleur et observe des hommes et des femmes dans leur vie quotidienne au cœur de la capitale. Ces potentiels figurants ont un passé et un présent bien réels et vivent souvent tragiquement bien loin des palaces parisiens. Hubert Haddad décrit avec poésie cette errance, ce voyage éprouvant avec une grande douceur, comme une danse lente, précise, aérienne et esthétique. »

Au temps retrouvé
« Une autre guerre qui mérite lecture : entre Afghanistan et Paris, l'inéluctable descente en enfer d'un jeune garçon, Alam, témoin de trop de combats, trop de morts qui lui volent à jamais une part de son humanité... Poignant. »

Librairie Labyrinthes
Jean Milbergue

La femme renard

Librairie Ravy
« Hochéa Meintzel est un violoniste israélien reconnu mondialement. Il ne peut plus, ne veut plus vivre dans le climat de violence de son pays. Aussi décide t-il de rester en Inde après une série de concerts. Hubert Haddad signe ici le portrait d’un homme épuisé par la violence des siens mais aussi un roman de rencontres, de découvertes d’un pays : les senteurs, les couleurs, les paysages variés de l’Inde. Un magnifique dépaysement ! »
Valérie

La Librairie du Tramway
« Une histoire triste d'immigration, transcendée par une langue tellement poétique... » Coup de cœur de Frédérique Pingault et Romain Vachoux

L'Arbre à Lettres Bastille
« En peintre, en poète, Hubert Haddad nous offre une déambulation dans les rues de Paris à la rencontre d'âmes funambules. Encore et toujours, c'est sublime. » Christophe Gilquin

Le Matoulu
« La THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE est un véritable coup de cœur. Un roman à dévorer, qui permet à la fois la découverte du spiritisme (et donne envie de faire des recherches pour démêler roman et fait avérés) et le portrait d'une époque, d'une famille. Les sœurs Fox, plus particulièrement la benjamine Kate, sont très attachantes. Ce récit, de la gloire à la déchéance, est palpitant ! » Lyse

Les mots et les choses
« Attention, ce texte est absolument formidable et son originalité est inaltérable.
Un homme, victime d'un accident, se voit greffer un corps entier. Il va devoir vivre et penser dans la peau d'un autre. Un récit inratable en cette rentrée, contemporain puissant et plausible, posant des questions essentielles, notamment de l'interdépendance entre l'âme et le corps. »

L'Arbre à Lettres Denfert
Gazette – sélection des librairies L’Arbre à Lettres, n° 5, été 2007


Librairie Saint-Christophe
« Mâ en Japonais veut dire l’intervalle, la distance, mais pas celle qui éloigne, au contraire, celle qui unit. Dans ce nouveau roman, Hubert Haddad nous redonne à lire son japon, celui qui justement relie les êtres et les choses, le passé et le présent, le présent et le futur, car il est question de ce siècle qui a conduit ce pays d’une certaine forme de Moyen-Age jusqu’à l’inéluctable Fukushima. Mâ va nous mettre dans les pas de Taneda Shôichi. Shôichi a profondément aimé Saori, une femme qui a étudié l’œuvre immense du grand haïkiste Santôka. C’est dans la marche que Santôka a puisé l’inspiration, alors c’est ainsi que Shoîchi va tenter de retrouver le Maître. Dans cette traversée du pays, il va se confronter, non seulement aux éléments de la nature, au froid, au vent, à la pluie, mais aussi aux gens, aux malédictions, aux coutumes, aux faux-semblants.
C’est tout le talent d’Hubert Haddad de nous mener par le bout du nez dans cette aventure qui va traverser le vingtième siècle, en nous faisant poser toutes les questions qui valent sur l’existence, sur la foi, sur le minuscule de notre propre existence par rapport à la grandeur de l’univers, tout en nous distillant des haïkus immenses et prophétiques. Un texte encore une fois habité par la nécessité de la littérature pouvant sauver le monde, si du moins on prend le temps de s’y arrêter entre deux marches, deux routes, à cet instant précis où le « Mâ » se reconnaît tout simplement. »

La Page
Pour les autres, le mois de mars nous réserve une belle surprise avec la parution de L’Univers […]. L’imaginaire foisonnant, le style inventif et la touche de folie font de ce récit une œuvre brillante et incroyablement juste. »

Librairie Le Scribe

Comme une orange
« Un roman d’Hubert Haddad est toujours la promesse d'un grand moment de lecture. À 71 ans, l’écrivain discret, originaire de Tunis, rassemble une œuvre considérable.
Dans ce court récit d’une extraordinaire intensité, il met en scène Paris et ses marginaux de tout poil (les SDF, les fous, les migrants…). Damya, une ancienne danseuse blessée lors des attentats du 13 novembre 2015, arpente les rues de la ville à la recherche de figurants décharnés pour incarner les survivants des camps de concentration dans un film adapté de La Douleur, de Marguerite Duras. Entre la porte de Clignancourt, la Goute-d'Or et Belleville, chaque échange avec la jeune femme se mue en véritable rencontre. Damya caresse surtout l'espoir de retrouver le garçon d'un rendez-vous manqué le soir des attaques terroristes.
Sombre de prime abord, ce texte éblouit par son humanité et sa poésie. Magistral. »
Coup de cœur de Corinne Giroud Daverio

La Librairie du Tramway
Romain Vachoux

Librairie Saint-Paul
« On suit l'histoire d'Alam parallèlement dans son pays, l'Afghanistan et lorsqu'il arrive en tant que réfugié en France. Un livre qui fait durement prendre conscience du sort des enfants dans les pays en guerre et de la difficile situation des réfugiés. »

Librairie Pierre Lecut
« En 1848, dans une ferme aux États- Unis, une enfant de onze ans, Kate Fox, entre en contact avec… l'esprit de M. Spiltfoot. Cet événement donnera naissance au spiritisme… Hubert Haddad, écrivain prolifique, nous propose, certes, son interprétation de l'authentique histoire de sœurs Fox mais aussi un véritable tableau de l’Amérique du XIXe siècle. En effet, il évoque la conquête de l'Ouest, la guerre de Sécession, l'esclavage et l'émergence des mouvements religieux et médiumniques. Avec une écriture exigeante et un style ciselé, ce roman est troublant et envoûtant. Je vous invite vraiment à le découvrir ! » Sophie Foulon

Librairie Lucioles
« Vous rappelez-vous l'histoire des sœurs Fox, jeunes filles de la campagne américaine qui révolutionnèrent l'Amérique et mirent en branle la grande machine du spiritisme et des mediums ? En 1848, à la fin de la guerre américano-mexicaine, deux adolescentes emménagent avec leurs parents dans une maison de Hydesville. La maison serait hantée, aux dires des habitants du village, et les manifestations surnaturelles ne tardent pas à se produire. Kate, la plus jeune des sœurs Fox, entre en communication avec l'esprit frappeur, baptisé Mister Splitfoot. Leah, sœur aînée des Fox vivant à la ville, voit rapidement le profit qu'elle peut tirer d'une situation aussi extraordinaire.
La famille part habiter à Rochester, les deux sœurs se produisent devant des assemblées de crédules, la presse s'enflamme. En quelques mois, le mouvement spirite est né et ses adeptes et pratiquants fleurissent aux quatre coins des Etats-Unis. Charlatans, supercheries, trucages, la vérité finira par éclater, mais non sans avoir épargné les plus jeunes sœurs, lancées à corps perdu dans une aventure qui les dépasse, et dont elles n'ont pas forcément voulu.
C'est un roman d'ambiance dans lequel il faut se glisser, se laisser envelopper et savourer. »

Librairie L’Écume des Pages
Lu et conseillé par Guillaume Le Douarin.

Librairie Ombres Blanches

Le Rideau Rouge
« Aux frontières de la science-fiction, Hubert Haddad aborde un sujet fascinant et profondément ancré dans l’actualité du monde moderne : celui des progrès de la médecine, qui devient toute puissante et capable de véritables miracles.
C’est aussi une belle réflexion sur l’amour, le désir de l’autre, et le rapport que nous entretenons aux corps, à l’attachement charnel.
Avec une écriture fluide, raffinée et tout en délicatesse, ce beau roman laisse une grande place à l’imagination. »

Librairie Lettre et Merveilles
Mélanie et Laurence

Librairie Quantin
Cécile Lambert

La Maison jaune
« Hubert Haddad une véritable épopée américaine digne des plus grands westerns. Une belle aventure ! » Sylvie

Maison de la presse Bron
« 1848 aux États-Unis, dans le comté de Monroe, les jeunes sœurs Fox viennent d’emménager dans leur nouvelle demeure. Alors qu’elles essayent de s’habituer à cette nouvelle vie, Kate et Margaret se rendent compte de phénomènes étranges au sein de leur ferme. Des craquements, des drôles de bruits, qui les tiennent éveillées la nuit. Kate commence alors à dialoguer avec Mister Splitfoot. Mais la rumeur du don des petites sœurs Fox pour dialoguer avec les esprits va déchaîner les passions et les faire fuir. Elles vont alors rejoindre leur grande sœur Leah, qui voit en ce don un moyen d’enrichissement et de gloire. C’est la naissance du spiritualisme moderne dans une Amérique puritaine en pleine guerre de Sécession. Hubert Haddad signe un roman vaste et riche, il rend hommage aux sœurs Fox, notamment Kate et Margaret, et nous fait revivre une période de l’histoire américaine complexe. C’est à la fois un roman historique mais aussi un roman sur ces femmes qui ont été dépassées par leurs dons. Hubert Haddad s’impose encore une fois comme un grand écrivain qui, avec un style riche et poétique, nous peint une fresque incroyable de ces années entre réalité et ombre. » Letizia

Librairie Labyrinthes

Librairie Mollat
« Permettons-nous un peu d’humour noir pour dire qu’il est impossible de se détacher du prochain roman de Hubert Haddad avant la dernière page. Aussi passionnant que révoltant, CORPS DÉSIRABLE nous plonge dans ce débat éternel entre le progrès et l’éthique ou chacun à raison et tort à la fois. Un livre qui nous trouble mais qui ne nous perd pas, à découvrir le 20 août prochain. » Marilyn Anquetil

Librairie Quantin
Cécile Lambert

Librairie Millepages
L'auteur de Palestine pointe une fois encore la violence des mondes traversés par les vertiges de la guerre et les séquelles laissées par une telle perte de sens. Et voilà notre Alam en porte étendard d'une humanité libre ou plus justement d'une humanité libérée. »
Brindha Seethanen

La Maison jaune
« Hubert Haddad s’empare d’un sujet d’actualité fascinant pour écrire un livre original et troublant qui pose des questions éthiques et philosophiques et qui interroge sur l’avenir de l’humanité. » Sylvie

Fontaine - Haussmann
Magnifique et terrifiant, Opium Poppy nous fait réfléchir sur le sort des enfants dans la guerre, l'accueil ou plutôt le non accueil qui leur est réservé en Europe, réfléchir sur notre monde cruel et injuste. Un roman qui sonne juste. »
Pauline Savatier

Librairie Ravy
« Blessée dans les attentats du 13 novembre Damya ne peut plus exercer son métier de danseuse. Une amie lui propose de recruter dans les rues de Paris des figurants d’un genre particulier pour le tournage du film adapté du roman de Marguerite Duras, La Douleur. Ses rencontres, ses déambulations dans les rues de Paris lui permettront-elles de se reconstruire ? Ode à Paris, à ses passants, à ses artistes de rue… Hubert Haddad nous charme et nous envoûte une nouvelle fois. »
Valérie Le Braz

Librairie de l'Horloge
« Quelle belle écriture, comme toujours, même les scènes les plus dures restent un poème. »
Françoise Bascou

Librairie Le Grand Cercle
« Coup de coeur sur le Peintre d'éventail: il est juste superbe! Il montre bien toute la poésie que l'on peut trouver en chaque chose, et sa fin est vraiment étonnante. »
Charlotte Roux

Multipresse
« Quelque part dans le Pacifique des suite à un naufrage un homme s'échoue sur une plage. Il sera hospitalisé, atteint d'une amnésie cyclique et peu courante ce rescapé entreprend d'écrire un dictionnaire qui résumera sa vie. Voilà qui donne naissance à un des plus beaux, des plus aventureux roman que j'ai lu ces derniers temps.
Du mot abandon au nom de son neurologue le docteur Zwitter on voyage dans une vie en lambeau, une vie en bribe avec pour seul guide une étoile aux voluptées amoureuses qui se nomme Azralone. Notre héros a vécu mille vies, marin, astrophysicien, orphelin juif dans la Bavière d'après guerre, tant de récit en constante expansion, dont le big crunch et le resserrement sont incarnés par le héros. Tout un univers en un seul mot, en un seul atome qui le compose, un univers en une seule vie. La lumière des étoiles se reflètent partout en ce récit, elle nous guide car dans ce mystère quantique que sont les souvenirs et la mémoire d'un homme nous pourrions nous y perdre. Et il faut peut être s'y perdre, se laisser bercer par la plume si douce de monsieur Haddad. Voici un article contenu dans le roman juste pour votre bon plaisir.
Sensation: Dans un monde d'outre-tombe, en différé permanent, l'échange d'informations instantané crée la sensation. Voici à peu près la nature de ma relation avec Azralone. L'énergie des particules sans masse n'a besoin que d'un transfert numérique pour s'incarner à l'identique depuis la matière: d'un champ d'ondes à un autre champ d'ondes. Pour garder l'idée de contact et d'échange, ôtons la salive et l'épiderme qui sont de pures contingences comme les nébuleuses et les éléphants. Azralone m'habitait, indétectable, dans une superposition de songes.
Un roman lumineux, qui se livre comme le cosmos par une nuit dégagée d'été. Du grand Hubert Haddad, un auteur qu'il faut absolument lire, tout comme ce roman. » Luca Ruffini Ronzani

Librairie Vaux Livres
Max Buvry

Multipresse
« Un livre qui fait perdre la tête, qui pose des questions, qui parfois peut glacer voire déranger. Peut-on ou ne peut-on pas se payer la tête ou plutôt le corps d'autrui ? Une belle découverte signée Hubert Haddad. » Luca Ruffini Ronzani

Folies d’encre

Librairie Le Merle Moqueur
Hubert Haddad en perpétuel affrontement avec la langue, ressuscite avec bonheur des mots rares...
Mr Nicolas Gromoff-Pierre


Librairie La Buissonnière
« "La marche à pied mène au paradis ; il n'y pas d'autre moyen d'y parvenir, mais il faut marcher longtemps" est le plus bel incipit de la rentrée littéraire sous la plus belle couverture jamais vue ! Avec le fabuleux et poétique MĀ comme avec l'étrange et effrayant CORPS DÉSIRABLE, Hubet Haddad sublime la langue française, magnifie la prose, réenchante le roman, réjouis le lecteur ! » Manuel Hirbec


L’Esprit Livre
« Une double histoire passionnante qui mêle Japon moderne et Japon traditionnel, quête initiatique et roman historique, et qui nous invite à découvrir l’art singulier du haïku et de l’errance contemplative. »


La Boîte de Pandore
« Quelle poésie et quelle puissance d'écriture et d'évocation ! De toute beauté » Frédérique Maurice

L'Arbre à Lettres Bastille
Gazette – sélection des librairies L’Arbre à Lettres, n° 5, été 2007

Librairie Vandromme
« Suspense à l’écriture lumineuse qui aborde la question du désir et de l’identité. “Comment croire à son propre passé et même à ses émotions, quand une autre histoire habite votre corps ?”. Passionnant. » Clo Brion

Librairie Vaux Livres

Librairie du Rivage
« Surprenant Hubert Haddad qui, dans ce roman inspiré de l’histoire vraie des soeurs Fox, a pris un réel plaisir à quitter notre époque pour nous conter la destinée de ces Américaines du milieu du XIXe siècle. À l’origine de cette histoire, deux petites filles qui s’amusent à se faire peur dans une maison que l’on dit hantée. La sensibilité de Kate, la benjamine, lui fait "sentir" la présence du revenant. Avec la sœur cadette Margaret, elles le baptisent (!) Mister Splitfoot. Tout pourrait en rester là si les adultes, dont la mère et la sœur aînée Leah, ne se mêlaient de cela pour en faire une attraction qui vite leur échappe. Dans cette Amérique qui grandit, évolue, se construit et se développe, les opportunités sont multiples pour ceux qui veulent s’enrichir et se faire une place au soleil. Les opinions changent également, entre abolitionnisme, féminisme, libéralisme et individualisme. On est vers 1850, le creuset des esprits est en ébullition et tout est prêt pour accueillir le "modern spiritualism" ou la science de communiquer avec vos disparus ! Avec enthousiasme ou sainte horreur… Le destin des sœurs Fox illustre bien cette époque fertile en aventures débridées.
Hubert Haddad, dans un style toujours aussi maîtrisé, entre humour et poésie (ce qui n’est pas incompatible) nous offre une savoureuse histoire d’une époque trépidante, comme un miroir pour mieux cerner la nôtre. »

Librairie CoLibris
« Tout a commencé une nuit de mars 1848, dans une vieille ferme, où deux petites filles, en réponse aux vieux murs bavards de leur maison, inventent le spiritisme comme on joue à chat. Dès lors, entre adoration et imprécation, ce qui n’était alors qu’un jeu, va prendre des proportions inimaginables. D’abord traitées de sorcières, puis adulées par un public sans cesse croissant, rien ne leur sera épargné. Hubert Haddad nous parle ici de ce demi-siècle qui embrasa une Amérique puritaine d’une douce folie médiumnique, laissant la place aux charlatans, médiums “du dimanche”, et autres gourous. Et au milieu, deux enfants tourmentées, manipulées par un “don”, ou plutôt une malédiction.
“Allez Mister Splitfoot ! Fais comme moi un, deux, trois, quatre…” » Laura

Librairie Saint-Christophe
Jean-François Delapré

Librairie Mots et Compagnie
« De l’invention du spiritisme.
Dans l’Amérique ultra puritaine des années 1850, les sœurs Fox vont inventer le spiritisme et en tirer beaucoup d’argent. Dans leur vieille ferme hantée où chaque mur craque d’un ancêtre ou d’un représentant de commerce mort violemment, il est facile aux sœurs Fox, pour tromper l’ennui, de se laisser aller à faire parler les esprits. Kate, jeune enfant de onze ans somnambule perçoit les bruits du sous sol de leur nouvelle maison, et, avec l’aide de sa sœur, Maggie, finit par correspondre avec cet esprit "frappeur" d’un colporteur assassiné quinze ans plus tôt en ces lieux. Enfin Leah, de vingt ans leur aînée, qui, avec l’aide d’hommes d’affaires de Rochester et de financiers de Wall Street, devine tout l’intérêt financier qui peut en résulter et rêve de fonder un empire à partir de ce nouveau jeu de société un rien macabre… À travers le portrait des sœurs Fox, l’auteur revisite magistralement l’Amérique de la seconde moitié du XIXe siècle, celle du libéralisme naissant, du sectarisme, de la guerre de Sécession, des luttes pour les droits des Noirs.
Un roman riche, facétieux, jubilatoire et émouvant, dont on ressort étourdi et enthousiaste… une vraie réussite ! »

La Librairie du 104
« Hubert Haddad manie la langue comme un poète, même quand il raconte une histoire. Celle-ci a pour personnage principal un jeune garçon afghan qui, tour à tour paysan, enfant des rues, victime, guerrier et pour finir étranger, en oublie jusqu’à son nom. Préparez vos mouchoirs... »

Librairie Ravy
« Dans l'Amérique puritaine du XIXe siècle, deux des trois sœurs Fox entendent des bruits insolites dans leur maison réputée hantée. Leur sœur aînée va exploiter leur présumé talent de spiritisme et comprendre les avantages qu'elle pourrait tirer de ces pratiques ludiques.
Il fallait aussi tout le talent de l'auteur pour nous donner un roman facétieux et jubilatoire ! »

Librairie Le Grenier
Gaël

Librairie Le Square
Françoise Folliot

Librairie Le Divan
Valérie Caffier


La Maison jaune
« Une lecture qui se savoure comme les longues marches parcourues par les héros du livre. Un très beau roman qui plaira aux amateurs de poésie et aux marcheurs. » Claire

Librairie Comme un roman
Olivier Gallais

La Maison jaune
« Beau et poignant. Un texte poétique où la musique des instruments ou de la foule est omniprésente. »

Librairie - café Soif de lire
Un roman plein de grâce ! C'est au fin fond de la contrée d'Atôra, au nord-est de l'île de Honshu, que Matabei se retire pour échapper à la fureur du monde. Dans cet endroit perdu entre montagnes et Pacifique, se cache la paisible pension de Dame Hison dont Matabei apprend à connaître les habitués, tous personnages singuliers et fantasques. Attenant à l'auberge se déploie un jardin hors du temps. Insensiblement, Matabei s'attache au vieux jardinier et découvre en lui un extraordinaire peintre d'éventail. Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Après quelques pages de ce roman, je me surprends à chercher le nom de l'auteur ? Je ne me suis pas trompée, c'est bel et bien un roman de Hubert Haddad. Véritable caméléon, palestinien dans «Palestine», afghan dans «Opium Poppy», Hubert Haddad devient japonais dans «Le peintre d'éventail». L'immersion est totale. La description des lieux, des objets, des gestes est d'une précision exquise, à l'orientale ; le temps, fluide, s'écoule lentement, au rythme des saisons et des traits de pinceaux. À lire également, comme une oeuvre dans l'oeuvre, un jardin dans le jardin : "Les Haïkus du peintre d'éventail".

Librairie Ombres Blanches

La Baignoire d’Archimède
« Magnifique roman élégiaque, sensoriel et philosophique. » Elodie

Librairie 47° Nord
« Hubert Haddad fait une fois de plus voyager son lecteur, de Jérusalem à Pondichéry cette fois-ci. Hochéa Meintzel, violoniste israélien reconnu mondialement se rend à un festival de musique en Inde du Sud. Hanté par un attentat dans sa ville d’origine il se laisse toucher par un autre pays, des rencontres, des couleurs, des odeurs…» Marie Nawrot

Librairie Honoré
La lecture de ce livre tragique m'a très fortement ébranlée."
Sophie

Folies d’encre
« Ce roman est bouleversant, de ceux qui laissent une empreinte en nous. Le pouvoir d’Hubert Haddad est de tisser un lien entre nous et Alam, le jeune afghan écrasé par la guerre et le trafic d’opium. »

Librairie Saint-Christophe
« Ce qu’il y a de formidable avec Hubert Haddad, c’est qu’il n’est jamais là où on l’attend et il nous le prouve encore une fois admirablement avec ce dernier roman qui nous entraîne sur les pas des sœurs Fox, dans cette Amérique des années 1850.
Cette Amérique puritaine perfusée à la religion ne connaît aucun contradicteur, aussi les sœurs Fox vont inventer le spiritisme comme d’autres vont à la messe. Dans leur vieille ferme hantée où chaque mur craque d’un ancêtre ou d’un représentant de commerce mort violemment, il est facile, pour tromper l’ennui, de se laisser aller à parler avec les esprits. Kate, la plus jeune des sœurs, devient la médium, Margaret la suit dans son jeu habile et Leah, l’aînée devine tout l’intérêt financier qui peut en résulter.
Mais le plus habile des magiciens, c’est bien Hubert Haddad qui concocte un roman haut en couleurs, drôle et inventif, rusé comme peuvent l’être les sœurs au début de l’aventure. On imagine les chapeaux, les grandes robes, les moustaches qui s’inclinent, les tables qui tournent, les rires et les regards ahuris des crédules.
Encore une fois, Hubert Haddad emporte tout et nous emporte dans son monde. Aussi, chapeau bas à l’un des écrivains les plus inventifs de la littérature française, un de ceux qui nous fait découvrir que l’au-delà factice est bien plus drôle souvent que la vie réelle. Qu’en pensent les sœurs Fox ? » Jean-François Delapré

La Librairie Nouvelle
« Un récit noir à l'écriture dure et austère. L'auteur développe dans son roman des thèmes très actuels : des conditions de vie des migrants, à la guerre en Afghanistan en passant par les relations familiales et la place des aînés. L'histoire se déroule entre la lumière des montagnes afghanes et la noirceur du périphérique parisien, dans des paysages aux contrastes immenses confortés par le style d'Hubert Haddad. Une description très fine du fonctionnement de la guerre, des filières de la drogue et de l’enrôlement des hommes ainsi qu'une magnifique analyse du vol de l'enfance. Les allers retours dans le temps avec des angles différents nous permettent progressivement de délier le fil de la vie d'Alam "l'évanoui". Ce livre nous captive par son écriture très juste et sa capacité à nous plonger dans une atmosphère très orientale empreinte de poésie. »
Vincent Rongeot

Librairie La Buissonnière
« Un roman au sujet troublant et fascinant qui sonde notre monde contemporain jusque dans ses ultimes limites tout en creusant les questions les plus intemporelles, les plus essentielles, les plus fondamentales qui soient : l'amour, le désir, l'identité, le soi et l'autrui. Tendu par un suspense continu, ce roman est porté et emporté par l'écriture magnifique et fabuleuse d'Hubert Haddad qui donne à éprouver les sensations et les émotions les plus subtiles de ses personnages. » Manuel Hirbec

Librairie Cheminant
« Un roman empli de délicatesse et de poésie. Un splendide hymne à la nature. Aussi magique qu’un tableau d’Hokusai. » Sophie Bourhis

Librairie Labyrinthes

Librairie Eureka Street
« Parcours d'un enfant afghan, clandestin, en France : aussi sensible et poétique que dérangeant. »

La Librairie Générale
« Hubert Haddad, depuis longtemps, écrit avec bonheur dans une langue poétique qui emporte en Inde, notamment, mais aussi vers un monde constitué de sons et d’odeurs où l’on se perd délicieusement, où l’on s'enivre aux côtés d’un certain Hochéa Meintzel, violoniste de son état. Probablement que Premières neiges sur Pondichéry s’échappe du registre romanesque habituel, la prose magique de l’auteur, érudite et bâtie sur la perception plus que sur la vision, s’enrichit sans cesse d’un vocabulaire voguant sur la sonorité de termes indiens et juifs qui composent cet exotisme, certes déroutant, mais d’un incomparable enchantement. »

Librairie La Buissonnière
« Entrer dans un roman d'Hubert Haddad, c'est s'engager dans une promenade littéraire inattendue et sans cesse renouvelée, c'est aller à la rencontre d'une fabuleuse écriture. Avec ce Casting sauvage, l'auteur nous invite à l'errance et à la déambulation dans une magnifique traversée de Paris où des visages en marge, des corps fragiles et des êtres sensibles se risquent à des histoires aussi belles que tragiques. » Manuel Hirbec

Librairie Le Scribe

Librairie Prado Paradis
« Dans une langue somptueuse Hubert Haddad écrit à nouveau un roman sensoriel et porteur d'un message profond. Le personnage de ce musicien virtuose fait figure d'un sage porteur d'une réconciliation possible. » Céline


Le Comptoir des mots
« Hubert Haddad nous offre une histoire d'amour tragique et mouvementée, agrémentée en prime d'une biographie passionante d'un grand poète japonais. »
Marie Morel

Librairie Lucioles
Renaud Junillon

La Page
« Plongez au cœur de l’Amérique du milieu du XIXe siècle ! Un roman rythmé qui décrit le quotidien bien inhabituel de Hydesville, où les soeurs Fox sont sur le point d’inventer le spiritisme. Pas besoin d’être un adepte pour se laisser emporter. Bien plus que l’histoire des sœurs Fox, l’auteur, Hubert Haddad, nous décrit toute une partie de l’histoire des Etats-Unis où de l’autre côté des plaines et de la nature, tout est encore possible. De la condition des esclaves, à la recherche de l’or, la religion et l’incroyable destin des sœurs Fox, on veut tout savoir jusqu’à la dernière page ! »
Louise

Librairie Le Failler
« Après un grave accident, Damya est obligée d'abandonner sa carrière de danseuse. A présent en mission pour un casting, elle erre dans les rues de Paris, à la recherche de ce qu'elle a perdu. Un très beau texte, poétique et lumineux sur la douleur, la beauté des gestes et sur l'amour. » Rachel

Librairie 47° Nord
« Ce récit poétique nous entraîne vers ce Japon si harmonieux et si violent à la fois. » Marie Nawrot