La Condition magique
Hubert Haddad La Condition magique

Roman
Grand Prix du roman de la SGDL

Rupture de stock


11,5 × 17,5 cm
288 pages
978-2-84304-728-2
9,95
Paru le 18/09/2014

La Condition magique est un roman prodigue, un roman philosophe qui se déploie autour de la figure du grand Descartes, emblème de la raison triomphante ou planche de salut : pour Hiel, en deuil irréparable et halluciné d’un frère étudiant en philosophie, pour Desargues, universitaire désabusé, ou Marghrète, proie facile d’une secte ignominieuse. Et pour le père de celle-ci, richissime industriel suédois collectionneur d’automates, animé par l’unique espoir de redonner vie à une épouse disparue dans les sommets himalayens vingt ans auparavant. Tous se débattent en quête du sens, une quête existentielle qui peut-être se joue – ou se déjoue – sur le toit du monde.

Hubert Haddad

Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de son œuvre, Hubert Haddad est également peintre et critique d’art. Il a notamment publié un Magritte et une histoire de l’art à travers le thème du jardin, Le Jardin des peintres (Hazan). Avec L’art et son miroir, il nous invite dans son musée intérieur – dans les mille directions de l’imaginaire qui seul peut nous ouvrir à l’infinité sensible du monde.



11,5 × 17,5 cm
288 pages
978-2-84304-728-2
9,95
Paru le 18/09/2014

Bonus

« Haddad explore
intelligemment les rives
du fanatisme sur lesquelles
la bête immonde
n’en finit pas
de faire son lit. »

Lire

« Une fois encore, Haddad, sans concession, tente de dire l’indicible. Le résultat s’avère un roman halluciné sur la folie et la furie des fanatismes. Vertigineux. »

Marine de Tilly, Transfuge

Les lectures de Marine de Tilly

« Cette Condition magique
est un roman de vertiges
et de glaces, de folie
et de fantômes. [...]
Ça décoiffe quelque peu ! »

André Rollin,
Le Canard enchaîné

« Un roman d’alpinisme et d’amour, un plaidoyer
pour la fin du monde et de belles pages
sur la cryogénie, mais surtout de quoi, au milieu
du foutoir, admirer l’art et la manière
de ce parfois criant génie. »

Le Nouvel Observateur

Hubert Haddad chez Zulma