Grand Prix SGDL de littérature pour l’ensemble de l’œuvre
Comme une œuvre dans l’œuvre, un jardin dans le jardin, ces haïkus répondent en écho au Peintre d’éventail, bouleversant roman d’inspiration zen, qui retrace le destin, imaginaire ou réel, d’un merveilleux peintre et haïkiste.
Mémoire vivante du peintre d’éventail, et seuls vestiges du fabuleux jardin, ces Chemins de rosée nous ouvrent la voie lumineuse de la mansuétude et du détachement.
Cerisiers en fleur
la joie de les contempler
avant les noyaux
Poète, romancier, nouvelliste, dramaturge et essayiste, Hubert Haddad a reçu le Grand Prix SGDL de la littérature pour l’ensemble de son œuvre qui explore toutes les voies de la littérature, de l’art et de l’imaginaire. Après Palestine (Prix Renaudot Poche, Prix des cinq continents de la Francophonie), Le Peintre d’éventail ou Un monstre et un chaos, il livre avec L’Invention du diable un roman picaresque grandiose.
« L’essentiel de la mémoire tient dans les perceptions obscures. Il faudrait sans cesse recommencer la vérité – mais où est-elle passée ? C’était hier et c’est demain. Elle échappe, elle ne peut davantage accrocher le souvenir que la pure émotion vécue, évanescente. » Les coïncidences exagérées
Bonus
« Un très beau livre.
Un auteur
magnifique. »
Librairie Obliques, La Librairie francophone, France Inter
« Conjuguant l’empathie
pour les terres meurtries
et la célébration de la beauté crue,
Hubert Haddad compose le chant
d’une nature suppliciée. »
Le Monde des Livres
« La quête d’une perfection esthétique, au-delà des blessures et hors du brouhaha du monde. »
Libération
« Hubert Haddad regarde
patiemment le monde
et s’efforce de préserver
ce qu’il y reste de grâce. »
Transfuge
« Le bol de l’ermite
comble chaque jour ses vœux
d’eau et de riz blanc »
« Le lecteur fait l’expérience d'un anéantissement heureux. Il n’y a plus rien qui retient la pensée. Tout est juste, même les drames, les tragédies,
c’est ainsi et rien de plus ! »
« Cerisiers en fleur
la joie de les contempler
avant les noyaux »
« Entre réel et irréel, on se perd dans ces vers courts et frappants d’émotions. Le recueil inspire la contemplation et le détachement. »
L’amour des livres