Roman traduit de l’indonésien par Dominique Vitalyos
A paraîtreVoici le troisième volet du Buru Quartet – l’histoire aventureuse et romanesque, qui nous emmène à Surabaya, en Indonésie, au tournant du xxesiècle.
Minke se sent un homme neuf dans un monde nouveau : il laisse derrière lui des heures douloureuses, et s’embarque pour la capitale des Indes néerlandaises et ses possibilités infinies.
Mais on n’échappe ni à ses souvenirs ni à sa condition : pour être admis à l’université, il lui faut se plier au code colonial, renoncer à ses vêtements européens, et marcher pieds nus…
Ce désaveu sera le dernier. Sous l’impulsion de Mei, une activiste chinoise et femme d’exception, Minke passe à l’action : il crée un premier syndicat et un journal indépendant en malais… Il n’est plus temps de comprendre le monde, mais de le changer !
Longtemps emprisonné et censuré, Pramoedya Ananta Toer (1925-2006) est aujourd’hui le romancier indonésien le plus traduit dans le monde.
«On avance dans le Buru Quartet comme dans une série… Captif et captivé. » Le Monde des Livres
Pramoedya Ananta Toer est né en 1925 sur l’île de Java. Il a été emprisonné par le gouvernement colonial hollandais de 1947 à 1949. En 1965, sous la dictature de Suharto, il est envoyé au bagne de Buru, dont il sort en 1979 sous la pression internationale. Grand humaniste, fidèle à ses idéaux jusqu’à la fin de sa vie en 2006, il est surveillé et systématiquement censuré. Son œuvre est immense – plus de cinquante romans, nouvelles et essais, traduits dans près de quarante langues.
Fresque politique, roman d’initiation d’amour et d’émancipation, le Buru Quartet est une incroyable machine romanesque – géniale, puissante, unique.
Bonus
« On y plonge pour y trouver une douceur faite de sens et de passion à la James Baldwin… La fraîcheur, l’intelligence, les nuances de gris et de noir de Dashiell Hammet… Pramoedya est un romancier qui mérite de recevoir le prix Nobel. »
The Los Angeles Times
« On avance dans ce Quartet comme dans une série historique et l’on (re)découvre sans effort le destin mouvementé de l’archipel indonésien. »
Florence Noiville, Le Monde des Livres
Les lectures de Florence Noiville« Un roman passionnant, qu’on ne lâche pas et qui donne sérieusement à réfléchir, et envie
de continuer à découvrir un auteur longuement censuré
et empêché. »
Librairie Histoire de l’œil – Marseille
Les coups de cœur de la librairie Histoire de l'œil« Douceur javanaise qui dépeint la cruauté et l’injustice de la période coloniale. Vraiment, une œuvre à découvrir ! »
Librairie Hall du livre – Nancy
Les coups de cœur de la librairie Hall du Livre« Ce troisième opus de la tétralogie
indonésienne dépeint avec finesse l’éveil
d’une conscience politique. »
Christine Chaumeau, Télérama
Les lectures de Christine Chaumeau« Un auteur comme il n’en existe qu’un par siècle dans un pays. »
Die Zeit
Valérie Delbore
lit quelques pages
d’Une empreinte sur la terre