« Roman pastoral, fable antique, ce beau livre a pour cadre l’Aragonais peu de temps avant la Guerre civile espagnole. Il raconte avec splendeur l’amour impossible entre Ramon et Alba au cœur d’une nature âpre et majestueuse. Un livre éminemment romanesque, puissant et charnel, porté par une langue somptueuse. » Delphine de la librairie des Halles à Niort
« Marzahn, mon amour, je l’ai lu comme un recueil de nouvelles. Difficile de ne pas être touché par ces courts portraits de clients remplis d’humanité. La narratrice est très touchante, sa compassion est contagieuse. C’est un très bel hommage aux gens ordinaires, aux invisibles, aux travailleurs, trop peu présents en littérature. Katja Oskamp a toute sa place aux côtés de Zoyâ Pirzâd et Auður Ava Ólafsdóttir. » Camille, libraire Kube
« C’est à la fin de la dynastie Ming qu’Hong Zicheng (1572-1620), philosophe, a écrit ces quelques lignes. Surnommé aussi Maître Huanchou, il a été le disciple de Yuan Huang, enseignant notoire de la deuxième moitié du XVIe siècle. Le lecteur sera immédiatement touché par ces remarques de sagesses savoureuses et humbles mêlant confucianisme, taoïsme et bouddhisme. Un livre que l’on peut picorer à volonté : les aphorismes sont élégants, ciselés et touchants ! Un ouvrage qui nous donne envie de griffonner sur un cahier ces mots sensibles et délicats, ces maximes poétiques dans lesquelles nous nous reconnaissons. Derrière cette simplicité apparente, cet ouvrage travers les siècles et résonne en nous. Une invitation à la quiétude et à la réflexion. La noblesse de la simplicité pour un retour à l’essentiel. » Delphine Demoures, librairie des Halles – Niort
« L’Europe est à feu et à sang, un peuple anéanti. Mais une lueur vacille encore, celle d’une culture encore debout, celle d’une spiritualité bien vivante : le monde yiddish. Et plus que les atrocités environnantes, c’est bien cette société et son ultime chant de résistance qui fascine Haddad. Saisissant et passionnant ! » Librairie des Halles — Niort
Medoruma Shun s’est largement inspiré de son enfance, de ces longues journées passées dans la nature, les forêts, les rivières.
Cohabitent souvenirs heureux et douloureux, beauté des paysages et pollution industrielle, réalisme et fantastique, culture locale et laideur de l’occupation américaine…
Ne passez pas à côté de la nouvelle “Coq de combat”, petit bijou d’une cruauté poignante. » Florence de Mornac, librairie des Halles — Niort