Ce sont les Fêtes, vos commandes seront expédiées à partir du 02/01/2024. Passez de bonnes fêtes !
PRO

Furet du Nord – Lille

Furet du Nord – Lille
15, place Général de Gaulle
59000 Lille
03 20 78 43 43
Voir le plansite de la librairie

Coups de cœur des libraires

Couverture de Marzahn, mon amour de Katja Oskamp avec une bande.Marzahn, mon amour

« Ce livre, c’est le pied ! Un joli roman solaire et lumineux tout droit venu d’Allemagne. À 40 ans, une écrivaine plaque tout pour faire une formation de podologue. Elle soigne les pieds mais surtout les âmes de ses patients dont elle raconte l’histoire dans chaque chapitre. Un hommage à tous les habitants de Marzahn, un quartier préfabriqué à Berlin, anciennement de la RDA. Un petit bijou tout tendre et plein d’humanité ! » Manon du Furet du nord – Lille

Couverture du premier roman de Dawnie Walton, Le Dernier Revival d’Opal & Nev. Rentrée littéraire 2023.Le Dernier Revival d’Opal & Nev

« Le Dernier Revival d’Opal et Nev est un livre déstabilisant au début, déjà par sa forme chorale, et parce qu’à plusieurs reprises, vous allez vérifier sur internet qu’il ne s'agit pas d’une vraie personnalité. Cela relève du génie d’embarquer son lecteur dans un univers complètement inventé aussi précis. Sous un format semblable à une interview, vous allez devenir fan d’Opal, une icône du rock à la peau noire. Un formidable roman pour réécrire l’histoire du rock en apportant une vraie dimension sociale ! Rock'n roll ! » Manon de la librairie Le Furet du nord – Lille

Le Serpent des blés

« Macey est une petite fille qui vit seule avec sa mère au fin fond de la Pennsylvanie. Un scientifique excentrique va débarquer dans leur vie pour étudier les serpents. Je ne pensais pas éprouver de l’intérêt un jour pour les serpents et pourtant ce joli roman nous donne envie d’en savoir plus ! Une plume avec beaucoup de charme qui mérite d’être lue. Tellement court que vous n'avez pas d'excuser pour ne pas le dévorer ! » Manon, Librairie Furet du Nord (Lille)

Les Filles d’Égalie

« Une révolution littéraire !
Les Filles d’Égalie est probablement le livre le plus surprenant de cette rentrée littéraire d’hiver.
Best-seller en Norvège depuis 1977, il est enfin traduit en français.
Vigilance car il s'agit d’une révolution littéraire, tout le lexique est féminisé. Pour cause, le roman se passe dans une société où les femmes dominent le monde et où l’homme est considéré comme largement inférieur. Tous les codes sont bouleversés et nous suivons Petronius, un jeune homme qui n’arrivera à rien sans un mariage mais qui ne va pas vouloir se laisser faire. Très drôle, moderne et percutant ! » Manon, libraire Furet du Nord - Lille

Ce que Frida m’a donné

« Rosa Maria Unda Souki débarque du Venezuela pour préparer une exposition. C’est l’occasion pour elle de raconter sa passion pour Frida Kahlo et la création de ses tableaux.
Visuellement, le livre est une pépite car l’auteure apporte à son texte des dessins au graphite noir ainsi que de nombreuses représentations de tableaux.        
Rosa Maria Unda Souki rend une fois de plus la vie de Frida tellement captivante !!
Un vrai moment agréable de lecture ! » Manon, librairie Furet du Nord - Lille

Soixante-neuf tiroirs

« Ce roman, original à souhait, est une ode à la littérature, à la magie des livres qui nous transportent à travers le temps et, ici, à travers les lieux. A la lecture de ce livre, au détour d’une phrase, peut-être rencontrerez-vous un lecteur aussi captivé que vous par ce conte un peu surnaturel, mais si poétique ? Qui sait ? » Librairie Furet du Nord - Lille

La Géante

« Grandeur de la nature, de la montagne et... de l’amour ! La lecture de ce magnifique roman se fait au rythme d’une randonnée, où l’on découvre les personnages, l’histoire au fur et à mesure que l’on avance en hauteur ! » Carole, librairie Furet du Nord — Lille

Contrebande« Contrebande d’Enrique Serpa, classique de la littérature cubaine des années 30, jusque‐ là inédit en français, paraît enfin aux éditions Zulma, dont la ligne éditoriale, définitivement, n’a pas fini de nous combler et de nous surprendre.
Le situant dans La Havane des années 20, Serpa nous livre un récit d’une intensité sans faille, qui n’est pas sans rappeler les grands romans d’Hemingway ou de Faulkner. D’ailleurs, l’analogie ne pourrait s’arrêter ici, tant les personnages, authentiquement brisés par la vie, sont des modèles de cette littérature si chère aux deux auteurs américains. L’atmosphère y est viciée, la tension toujours extrême (la révolution est proche), et loin d’un portrait ethnologique du Cuba de cette époque, le roman, sans exotisme aucun, nous plonge dans les bas‐fonds d’une ville brûlante, à travers le duel psychologique entre deux personnages, le propriétaire de la Buena Ventura, une goélette, et son capitaine de bord, un dénommé Requin, qui vivront l’aventure de la prohibition, dans un rapport de domination constante.
L’auteur nous l’explique dès les premiers mots, la contrebande ici décrite est multiple : contrebande d’alcool, de sentiments, de pensées…
Il s’agit dès lors d’un roman sur l’espoir (celui de vivre dignement, quel qu’en soit le prix à payer), mais où l’issue ne pourrait être que dramatique. Digne des meilleurs films de John Huston ou de Howard Hawks, Contrebande possède un souffle singulier parmi les plus grands romans du genre. » Benjamin, librairie Furet du Nord — Lille 
L’Écharde« Les éditions Zulma gâtent les lecteurs en leur offrant l’opportunité de découvrir Paul Wenz, un auteur des années 30, très injustement méconnu.
Cet écrivain français avait décidé de vivre en plein bush australien et c’est cette région du monde qu’il met en scène dans son merveilleux roman, L’Écharde. Les femmes amoureuses éconduites, peuvent être plus redoutables que le plus dangereux des serpents…
Ainsi, Susie, engagée comme gouvernante dans une immense exploitation australienne ne sera pas loin de causer la perte de l’homme qui la dirige. Elle tombe très vite follement amoureuse du boss, John Iredale, mais qui malheureusement en aime une autre, et qui même, comble de l’infamie, l’épouse de manière précipitée. Verte de rage, Susie quitte son emploi et décide de se marier elle-même. Avec son nouveau mari, elle ouvre un bar et s’installe tout près du domaine de John et de sa femme.
Les troupes sont alors en position et la bataille peut commencer !
Toute sa vie, Susie va s’appliquer à "pourrir" celle de l’homme qu’elle ne peut oublier et qu’elle aime toujours. Coups bas et méchancetés gratuites, tout est possible, dès lors que nous sommes dans une région où les hommes sont rudes et prêts à tout pour un verre de bière gratuit.

Paul Wenz est un formidable conteur dans la plus pure tradition anglo-saxonne. Il est vital de ne pas laisser une telle plume dans l’oubli…
En tout cas, à son contact, le lecteur aura appris au moins une chose : le bush, ce n’est vraiment pas pour les fillettes ! » Stéphanie, librairie Furet du Nord — Lille 
Murambi, le livre des ossements« Attention, ne prenez pas ce roman si vous n’êtes pas prêts à recevoir une claque… Boubacar Boris Diop n’explique pas dans son livre le génocide des Tutsi au Rwanda. On ne peut pas expliquer la folie humaine. En revanche, il déroule les événements des massacres, les horreurs vécues par ses personnages sont en fait celles de tout un peuple. Il n’épargne pas son lecteur, qui à la fin du livre est hanté par une question : l’emploi du mot "génocide" est-il si galvaudé que tout en connaissant l’ampleur de la tragédie rwandaise, je sois bouleversé par ce livre si salutaire qui remet les pendules à l’heure. Celui-ci me "force" à intégrer les détails d’une horreur si loin d’une France surprotégée, et en même temps si proche de nous, car se massacre a eu lieu en 1994, à notre époque, quasiment à notre porte. Comment peut-on être si imperméable aux échos du monde ? Comment peut-on vivre normalement en sachant ce qui se passe juste à côté de nous ? Surtout l’auteur évoque très clairement l’attitude plus qu’équivoque de la France et de ses gouvernements successifs. "La patrie des Droits de l’Homme" semble oublier bien facilement ses principes quand il s’agit de défendre ses intérêts en Françafrique. L’auteur cite cette phrase terrible de Mitterrand : "Dans ces pays-là, un génocide ce n’est pas important." Édifiant… » Stéphanie, librairie Furet du Nord — Lille 
Le Jardin des Sept Crépuscules« Je suis soufflée par ce roman-gigogne d’une incroyable originalité. » Stéphanie Fontaine, librairie Furet du Nord — Lille 
L’étoile Absinthe« Miraculeusement publié pour la première fois, ce texte de l’auteur haïtien nous propose un déluge de mots et d’images poétiques éblouissantes ! Églantine, l’héroïne, est une fille de joie qui quitte son bordel pour regagner sa liberté de femme. Sur un bateau, partir pour se lancer dans le commerce de sel, la rattrape une tempête qui fait basculer le récit entre Conrad et George Batailles… Pépite ! » Le Furet du Nord – Lille
Dans l’épaisseur de la chair« Ce roman est "ambitieux, émouvant, admirable" et surtout très accessible. Quel coup de génie de mettre en scène ce fils dans une si vilaine posture ! Ce procédé sert admirablement le récit sans parler du facétieux Heidegger, irremplaçable dans son rôle de trouble-fête, parfait quand il s’agit de renvoyer la balle et de marquer le point. » Stéphanie Fontaine, librairie Furet du Nord — Lille 
Cette nuit

« Magnifique. » Stéphanie Fontaine, librairie Furet du Nord — Lille 

By the rivers of Babylon« Augustown, quartier pauvre de Kingston, Jamaïque. En revenant de l’école, cet après-midi d’avril 1982, Kaia sait que plus rien ne sera comme avant. Car aujourd’hui son maître a commis l’irréparable : il a coupé les dreadlocks du garçon. La réaction de la communauté ne se fera pas attendre… Magnifique roman sur cette communauté et son apparition au début du XXe siècle ! Génial ! » Lucile, librairie Furet du Nord — Lille