« Dans L’Odeur du café, Dany Laferrière écrit sur sa grand-mère Da et Haïti, sa terre natale. Un récit sur l’enfance et rempli d'amour. Tout simplement. » Théodore, Librairie Le Comptoir des mots
« Été 1976, Dany Laferrière arrive d’Haïti à Montréal qui étouffe sous la canicule et organise les Jeux Olympiques. C’est dans la moiteur d’un appartement du 3670 de la rue Saint-Denis qu’il écrit son premier roman : ce bijou. » Théodore Dillerin, librairie Le Comptoir des mots - Paris
« Quel grand livre ! Une intrigue haletante, la découvert de l’Albanie du Moyen-âge et de son univers riche et dense... Un livre impossible à lâcher, palpitant et terrible ! » Librairie Le Comptoir des mots - Paris
Deux novellas noires et troublantes, qui provoquent la réflexion et surprennent le lecteur au détour de non-dits plus puissants que de longs discours. Etonnant, encore une fois. » Didier Coviaux, librairie Le Comptoir des mots — Paris
« Marcus Malte réécrit le mythe de l’enfant dit “sauvage” avec un garçon sans nom qui découvre les autres, la vie en communauté, et même l’amour, alors que les turpitudes de ce début du XXe siècle s’immiscent dans sa nouvelle vie…
Voici une formidable aventure humaine conjuguant la passion amoureuse et les affres de la guerre, avec la grâce d’une superbe écriture, intense et poétique qui offre au récit toute son ampleur et sa force.
Quel talent ! » Marie Morel, librairie Le Comptoir des mots — Paris
« Après l’enfance heureuse à Petit-Goâve relatée dans “L’Odeur du café”, on retrouve avec bonheur Vieux Os au moment de l’adolescence : la bagarre, la drague, les premiers émois amoureux, les mensonges et les histoires d’adulte. Un pas vers la fin de l’insouciance… mais quelle ambiance attachante ! » Librairie Le Comptoir des mots — Paris
« Quel régal de retrouver Auður Ava Ólafsdóttir au sommet de sa forme ! Elle œuvre cette fois avec une jeune femme qui quitte son foyer pour devenir écrivaine. En attendant il faut bien manger et trouver du temps pour écrire entre deux visites à son amie d’enfance déjà devenue mère à 20 ans... De beaux et subtils portraits de personnages à l’étroit dans leur époque, un humour acidulé si singulier : welcome back, Miss Ólafsdóttir ! » Marie Morel, librairie Le Comptoir des mots — Paris