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Librairie – café Soif de lire

Librairie – café Soif de lire
11, rue Finkmatt
67000 Strasbourg
03 88 24 28 70
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Coups de cœur des libraires

L’Île du Point Némo« J’adore ! Je ne le lâche plus ! » Jennifer Le Morvan
Fannie et Freddie« Un recueil de deux courtes nouvelles noires, écrites au scalpel, et qui - bien que très différentes - se rejoignent pour dénoncer une misère sociale due au capitalisme sauvage. Dans FANNIE ET FREDDIE, Marcus Malte nous emmène dans une Amérique plongée dans la crise des subprimes qui a ruiné des milliers de ménages modestes. Fille de l’un de ces couples, Fannie rallie un jour Manhattan, se glisse dans Wall Street et prépare sa vengeance…
Le flic de CEUX QUI CONSTRUISENT LES BATEAUX NE LES PRENNENT PAS arpente la plage de Seyne-sur-Mer avec l’idée de retrouver l’assassin de son ami Paul retrouvé mort sur cette même plage 27 ans plus tôt. »

 

Amour, Colère et Folie« Un roman d’une force et d’une émancipation hors du commun, un couteau plongé dans les passions sexuelles, sociales, raciales et politiques d’une ville de province d’Haïti. » Librairie-café Soif de lire – Strasbourg
Théorie de la vilaine petite fille« Encore un "must" à lire en janvier !
Tout d’abord j’adore le titre de ce livre la THÉORIE DE LA VILAINE PETITE FILLE ! Ensuite, je me laisse volontiers emporter par l’écriture à la fois poétique, précise et très raffinée de son auteur, Hubert Haddad. Après la Palestine, l’Afghanistan et le Japon, Hubert Haddad nous emmène dans l’Amérique puritaine mais en pleine mutation du milieu du XIXe. Par le biais des jeunes sœurs Fox — Kate et Maggie — qui inventèrent le spiritisme, et de leur grande sœur Leah qui en fit un business fort lucratif, le lecteur suit l’évolution de cette Amérique du libéralisme naissant, cette Amérique de tous les possibles, celle des droits des femmes, de l’émancipation des Noirs et de la conquête de l’Ouest. »
Love in a Fallen City« Une divorcée chinoise à peine trentenaire monte à bord d’un bateau, destination Hong Kong, à la poursuite de son séducteur. Et c’est le début d’un chassé-croisé entre les deux protagonistes… Eileen Chang est une des grandes figures de la littérature chinoise du XXe siècle. Avec sa plume aiguisée, elle décrit avec virtuose le trouble profond d’une société tiraillée entre une culture chinoise traditionnelle et une modernité qui bouscule les coutumes ancestrales. Rien de moins que superbe ! » Jennifer Le Morvan
C’est moi qui éteins les lumières« Dans un quartier préservé d’Abadan en Iran, Clarisse, l’épouse et mère de famille à travers qui l’histoire se déploie, est une femme d’une profonde humanité, intelligente, d’une simplicité de cœur qui nous la rend spontanément attachante. Par ses yeux, on observe le petit cercle qui se presse autour du foyer : un mari ingénieur à la raffinerie, fervent de jeu d’échecs et de politique, les deux filles, adorables et malicieuses jumelles, Armen, le fils vénéré en pleine crise d’adolescence. Ajoutons à cela deux femmes très envahissantes : la soeur de Clarisse qui cherche à tout prix un mari et enfin la vieille mère qui règne sur la mémoire familiale. L’arrivée de nouveaux voisins, une famille arménienne débarquée de Téhéran va bouleverser le quotidien de Clarisse. Le sort de Clarisse ne diffère pas de celui de la plupart des autres femmes iraniennes : elle s’est mariée, a eu des enfants, et s’occupe de la maison. L’émancipation n’est pas de mise et même dans ses moments intimes de liberté et de rêverie , elle ne peut -et son entourage ne lui laisse pas- oublier les codes de bonne conduite que lui impose la société. On parle de poussière, de vaisselle, de gouters et de colères d’enfants, mais aussi d’émois, de colères, de jalousies et de complicités... Un roman hyperréaliste plein de vie et de grâce .. servi par une plume simple et efficace... Zoyâ Pirzâd, vous avez — encore une fois — réussi à me séduire. »
L’Année des secrets« L’auteure nous invite avec brio et empathie à suivre les chemins difficiles de la libération de la femme indienne. D’une histoire à l’autre, on est pareillement envoûté par l’héroïne, fillette ou jeune fille, qui se débat au milieu des drames et des préjugés de la famille et du voisinage... »
Notre quelque part« Vous aimez les polars ???? Vous aimez les voyages ???? Enquête dans un village ghanéen : NOTRE QUELQUE PART de Nii Ayikwei Parkes, un polar délicieux où modernité et tradition se confrontent à chaque page ! Enquêter avec des méthodes modernes, oui ! Mais encore faut-il respecter la culture et les traditions des anciens et boire ensemble le vin de palme si l’on veut que les langues se délient ! … Le tout porté par un savant mélange de français classique et de langue orale haute en couleur d’Afrique de l’Ouest ! Jubilatoire ! »
Le Peintre d’éventailUn roman plein de grâce ! C’est au fin fond de la contrée d’Atôra, au nord-est de l’île de Honshu, que Matabei se retire pour échapper à la fureur du monde. Dans cet endroit perdu entre montagnes et Pacifique, se cache la paisible pension de Dame Hison dont Matabei apprend à connaître les habitués, tous personnages singuliers et fantasques. Attenant à l’auberge se déploie un jardin hors du temps. Insensiblement, Matabei s’attache au vieux jardinier et découvre en lui un extraordinaire peintre d’éventail. Il devient le disciple dévoué de maître Osaki. Après quelques pages de ce roman, je me surprends à chercher le nom de l’auteur ? Je ne me suis pas trompée, c’est bel et bien un roman de Hubert Haddad. Véritable caméléon, palestinien dans «Palestine», afghan dans «Opium Poppy», Hubert Haddad devient japonais dans «Le peintre d’éventail». L’immersion est totale. La description des lieux, des objets, des gestes est d’une précision exquise, à l’orientale ; le temps, fluide, s’écoule lentement, au rythme des saisons et des traits de pinceaux. À lire également, comme une oeuvre dans l’oeuvre, un jardin dans le jardin : "Les Haïkus du peintre d’éventail". Jennifer Le Morvan
La Lettre à Helga« Vraiment superbe. Le héros est fruste et rustique mais néanmoins touchant ! Une touche de drôlerie, un soupçon d’érotisme, le tout saupoudré d’une bonne dose de machisme quand même… Ce vieil homme qui parle de femmes, de moutons et de tracteurs —dans  quel ordre de priorité ?— est attachant au possible ! » Jennifer
Cartons « Si vous aimez l’âpreté, l’acidité, la poésie et la mélancolie qui teintent tous les romans de Pascal Garnier, vous adorerez "Cartons"; roman inédit, roman posthume qui commence par quelques cartons ... de déménagement. Brice la cinquantaine quitte son appartement de Lyon pour une batisse dans le village de Saint Joseph. Sa femme, journaliste, est en reportage en Egypte et c’est tout seul qu’il affrontera cette difficile épreuve. En attendant son retour, il vivra en ermite dans le garage, éventrant de temps à autre un carton pour trouver un ustensile ou un habit ... Blanche, une femme étrange, éthérée, va s’immiscer dans la vie de Brice, dans ses doutes, dans ses cartons... Un roman d’atmosphere, d’abord obsédant et inquiétant qui se termine en roman noir et qu’on ne lache qu’une fois la denière page tournée ! »
Jennifer Le Morvan
Mai en automne« Entre Balzac et Chabrol ! Magistral !
Mon gros coup de cœur du printemps ! Chantal Creusot n’a laissé qu’un unique roman mais quel roman ! On y suit le destin de cinq familles de la sortie de la Grande Guerre jusqu’aux années 50. Toutes les passions, désillusions, hypocrisies humaines y sont disséquées d’une plume vive et acérée. Dans cette petite ville provinciale : on se marie, mais pas toujours par amour, on jauge, on envie, on ment, on triche, on épie .... on meurt aussi.
Un roman aux accents balzaciens (pour les lecteurs) et qui ravira les inconditionnels de Claude Chabrol pour les cinéphiles).
Ne passez surtout pas à côté de ce magnifique opus ! »
Jennifer Le Morvan
Les Insulaires et autres romans (noirs)« Voici trois chefs-d’œuvre d’humour noir aux rebondissements rocambolesques. On y retrouve tout l’univers de Pascal Garnier, à la fois tendre et cruel, habité de personnages dont le quotidien dérape en aventures qu’on trouve, d’ordinaire, à la page des faits divers. Dans La Place du mort, un homme tranquille se découvre veuf… et trompé. Les Insulaires conte les retrouvailles hasardeuses de deux amants, coupables d’une folie homicide. Et dans Trop près du bord, on s’attache à Éliette, veuve sexagénaire isolée dans sa villa ardéchoise, qui s’acoquine bien malgré elle avec un petit truand frais sorti de prison. Mais on n’a rien dit de l’art de Pascal Garnier si on oublie l’écriture, étonnamment visuelle, cousue de mots d’esprit et de croquis à main levée : le monde qui nous entoure est le plus mal connu, Garnier nous en restitue le fond humain d’une plume admirable. [...] Un grand écrivain, méconnu, et dont les romans exploraient l’univers des petites gens. » Librairie-café Soif de lire
Mes seuls dieux« L’auteure nous invite avec brio et empathie à suivre les chemins difficiles de la libération de la femme indienne. D’une histoire à l’autre, on est pareillement envoûté par l’héroïne, fillette ou jeune fille, qui se débat au milieu des drames et des préjugés de la famille et du voisinage... » Librairie-café Soif de lire
La Solution Esquimau « On peut faire confiance à l’humour noir redoutable de Pascal Garnier [...]. Jubilatoire ! »
Sollicciano « Un nouveau beau Zulma pour la rentrée !
Norma Jean, quinquagénaire glamour, prof de philo, rend visite tous les jeudis à un de ses anciens élèves, Marco, détenu à la prison de Solllicciano en Toscane pour avoir assassiné sa compagne; Norma-Jean est la femme de Jean, qui fut autrefois son psychanalyste, et avec qui elle entretient une relation qui n’est pas des plus classiques. Quel est le rapport entre ces deux femmes qui n’en font qu’une ?
Un roman énigmatique, dans lequel le mystère est dévoilé par bribes chapitre après chapitre, et dont la progression dramatique est parfaitement maîtrisée. Un magistral portrait de femme, entre passion et folie. »

Jennifer Le Morvan
Monsieur Sapiro « Miki, la cinquantaine déprimée et médiocre, rêve de changer de vie : il n’est pas l’artiste qu’il rêvait d’être, il mange trop, sa femme n’a plus qu’un sein … Assis dans un luxueux hall d’hôtel, il va accepter un appel téléphonique destiné à un certain Monsieur Sapiro et usurper l’identité d’un faussaire en oeuvre d’art ! Enfin, il va changer de vie ! Entre le moment où une (jolie) employée de l’hôtel part à la recherche de Mr Sapiro jusqu’à la décision de prendre l’appel par Miki quelques 350 pages plus tard, Benny Barbash nous livre certainement l’attente téléphonique la plus longue de la littérature ! Mais ne vous y trompez pas, entretemps, le lecteur suit les méandres des 2 vies de Miki -l’ancienne et la nouvelle, la réelle et la fantasmée- qui se court-circuitent … Par jeux de miroirs et de reflets interposés, passé, présent et futur cohabitent et s’entremêlent dans un joyeux tintamarre et nous embarque dans un dédale d’interprétations jubilatoires ! De sa plume insolente et joyeuse, Benny Barbash nous livre -aussi- ses impressions sur le destin, l’art, l’amour.... »
Jennifer Le Morvan
Le Grand Loin « Amateurs(trices) de Pascal Garnier, ne PAS s’abstenir< !!!! Un homme placide et effacé va kidnapper sa fille dans l’asile psychiatrique où elle est enfermée. C’est le début d’un road movie pour deux êtres solitaires, enfermés dans leurs psychoses et qui se découvrent... Grâce à sa plume grinçante et acérée, Pascal Garnier dépeint avec grâce les êtres "cabossés par la vie". »
Jennifer Le Morvan
La Montagne de minuit « Pourquoi Bastien, solitaire gardien d’un lycée jésuite et secrètement passionné par tout ce qui concerne le Tibet et le lamaïsme, est-il tenu à l’écart de son voisinage ? Pourquoi Rose, sa voisine, alors qu’elle le connaît à peine, l’emmène-t-elle en voyage au Tibet ? Y trouveront-ils la sérénité, la rédemption auxquelles ils aspirent ? Court et intense, on suit les parcours de Rose et de Bastien pour y découvrir leurs secrets inavoués, tout en traversant les bouleversements de l’Histoire du Tibet. J’ai adoré ! »
Jennifer Le Morvan
Murambi, le livre des ossements« C’est à la suite de sa participation, avec dix autres écrivains africains, au projet d’écriture sur le génocide au Rwanda : "Rwanda : écrire par devoir de mémoire", que Boubacar Boris Diop nous livre cette fiction. Construit comme une enquête et un réquisitoire, avec une extraordinaire lucidité, ce très beau roman nous éclaire sur l’ultime génocide du XXe siècle. Avec une sobriété exemplaire, l’auteur expose les faits, ses rouages et ses ressorts cachés à travers quelques personnages en situation, avant, pendant et après le génocide. Jessica, la miraculée qui sait et comprend du fond de son engagement, Faustin Casana, membre des Interahamwe, le docteur Joseph Karekezi, notable hutu naguère modéré, qui organisa et coordonna le massacre de Murambi ; le colonel Étienne Périn, officier de l’armée française ; Cornelius Karekezi qui, de retour au pays quatre ans après le drame, découvre l’épouvantable responsabilité de son père. Boubacar Boris Diop nous interdit les faux-fuyants qui voudraient "folkloriser" les drames africains pour mieux les oublier. Avec rigueur et talent, il nous oblige à regarder en face la monstrueuse réalité. » Jennifer Le Morvan