Madre piccola
Ubah Cristina Ali Farah Madre piccola

Premier roman
Traduit de l’italien par François-Michel Durazzo


352 pages
9791038701755
12,99
Paru le 09/03/2023
Autres formats
Grand format

CONTACT PRESSE : presse@zulma.fr

CONTACT LIBRAIRIE :
Valentin Féron
01 58 22 19 90 –
valentin.feron@zulma.fr

Exilée à Rome, Barni voit son passé resurgir : un jeune Somalien grièvement blessé arrive à l’hôpital et ne peut communiquer avec personne – à part elle ? En tentant de découvrir qui il est, elle renoue avec tout un pan de son histoire, et retrouve miraculeusement sa complice de toujours, sa cousine Domenica. Elles se souviennent de Mogadiscio, des années d’adolescence et de la vie qui s’offrait à elles, avant que la guerre civile éclate et que leur univers se disloque…
Roman de la diaspora somalienne, Madre piccola donne la parole aux exilés. Les liens tragiquement suspendus se retissent derrière les silences, les choix, les alliances et les secrets. Un roman monde, intime et bouleversant.

« Une galerie de portraits, de rencontres, et de sentiments des plus simples aux plus profonds. » La Repubblica

Ubah Cristina Ali Farah

Ubah Cristina Ali Farah est née en 1973 d’un père somalien et d’une mère italienne. Elle grandit à Mogadiscio jusqu’à ses 18 ans. Le déclenchement de la guerre civile en 1991 l’oblige à quitter brutalement la Somalie. Elle vit aujourd’hui à Bruxelles.

Ubah Cristina Ali Farah est l’une des autrices les plus douées de sa génération, et l’une des voix les plus originales de la littérature italienne contemporaine. Madre piccola (Prix Vittorini 2008) est son premier roman.



352 pages
9791038701755
12,99
Paru le 09/03/2023
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01 58 22 19 90 –
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Bonus

Ubah Cristina Ali Farah en France à l’occasion du festival Étonnants Voyageurs !

« Nous sommes comme un collier de perles
qui s’est brisé, m’a un jour dit un cousin au terme
d’une longue conversation téléphonique. Les perles
ont toutes rebondi dans des directions différentes.
Madre piccola représente la tentative de renfiler
les perles de ce collier, de les réunir et de
redécouvrir le sens de chaque histoire
à travers son lien avec les autres. » 

Ubah Christina Ali Farah

« Madre piccola s’avère un récit touchant traversé par la voix de femmes courageuses tournées vers l’avenir. »

Murielle Hervé-Morier, L’Italie à Paris

« Son hypersensibilité,
en littérature, se traduit
par un style inimitable.
Chacune de ses phrases
sonde les profondeurs
de l’âme humaine. »

RFI

« Une écriture unique qui palpite comme un cœur. »

Kidi Bebey, Le Monde Afrique

« Un récit polyphonique, de la guerre civile somalienne à l’exil et la reviviscence. »

Catherine Faye, Afrique Magazine 

« Une galerie de portraits,
de rencontres, et de sentiments
des plus banals aux plus
profonds viennent délimiter
le corps et l’âme de
la communauté somalienne,
traumatisée par la dispersion
de son peuple et les tragédies
de la guerre civile. »

La Repubblica

« Une œuvre remarquable digne des romans
polyphoniques de Toni Morrison. »

Abdourahman A. Waberi

Ubah Cristina Ali Farah chez Zulma