« Un roman qui met sur sa couverture Manguel, Borges et Eco, le trio gagnant, je ne regarde même pas, je prends, je lis. Est-ce que ma passion des livres sur les livres, les bibliothèques a été satisfaite ? Oui ! Une enquête littéraire sur cette mystérieuse "Maison aux livres" dont le narrateur hérite, pourquoi lui, qu’est-ce que cette maison, à qui appartenait-elle, quelle est la logique des choix des ouvrages, de leurs classement ? C’est jubilatoire pour tous les bibliophiles ! » Aurélie Janssens, Librairie Page & Plume — Limoges
« Ce roman est brillamment écrit. Les personnages sont étranges mais attachants. Sous un aspect léger, l’auteur évoque des épisodes plus sombres de l’Histoire. La vérité, le mensonge, la faute, les secrets, ces thèmes se mêlent aux descriptions de lieux magnifiques. À coup sûr un roman qu’il ne faudra pas mettre de côté à la rentrée ! » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume —Limoges
« Puissant, tragique mais beau à la fois. À ne pas manquer ! » Librairie Page et Plume - Limoges
« Chaque lecture d'Ólafsdóttir est un dépaysement, un émerveillement. Bien que très ancré dans la culture islandaise, sa justesse rend ses personnages, leurs sentiments, universels. Encore plus dans ce livre où l’on parle de la naissance, et de la mort. Et de ce qui se passe entre ces deux moments. Toute une vie dans un livre ? Oui, accompagnés par celles et ceux qui la donnent, les "mères de lumière" en islandais, celles et ceux qui accompagnent aussi le dernier mouvement d’une existence. Dýja a été nourrie de ces deux héritages. Et entre les deux, le temps s'écoule, il y a de l’amour, la séparation, les rencontres, l’humain dans ce qu'il peut avoir de plus lumineux, de l’humour pour supporter les coups durs, la famille et son lot de contrariétés, de concessions à faire, ses secrets révélés. Chaque livre d'Ólafsdóttir est un voyage, celui-ci fut tendre, poétique et lumineux. » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume — Limoges