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Librairie du Centre

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4, Grand’rue
01210 Ferney-Voltaire
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Coups de cœur des libraires

Couverture de Marzahn, mon amour de Katja Oskamp avec une bande.Marzahn, mon amour

« Un roman plein de charme faisant le portrait de la vie des gens de peu, cabossés mais attachants. Un petit bijou de douceur qui est aussi une ode à la bienveillance ! » Amandine, Librairie du Centre – Fernay-Voltaire

L’anarchiste qui s’appelait comme moi

« Parce que l’on n’est plus d’un à avoir un jour tapé son nom dans la barre d’un des cinq doigts des GAFAM, mais que l’on n’est sûrement très peu à être tombé sur un homonyme historique, au passé révolutionnaire... Une investigation dense, épique, tragique ! » Typhaine, librairie du centre - Ferney-Voltaire

Le Maître du Jugement dernier

« Conte noir louvoyant entre Poe, Hoffmann et Oscar Wilde : nous sommes à Vienne, en 1909 ; le récit s’attache à l’extravagance d’un fait divers répétitif, qui, raconté par l’un des protagonistes, lui coûtera la vie. Une véritable partie de cluedo kafkaïen s’enclenche alors, pleine de diversions ironiques tout comme d’un cynisme élégant, une partie où le principal suspect se voit lui-même contraint d’enquêter, peut-être sur son propre compte, ainsi que sur une face occulte de l’Art… » Typhaine, librairie du centre - Ferney-Voltaire

Le Silence des dieux

« Un village clos du jour au lendemain sur simple ordre de Son Excellence le Maître, très vite encerclé par des militaires, et destinataire d’une lettre officielle jetant l’opprobre sur un membre de cette communauté, que la missive ne prendra pas même la peine de nommer. Passée la stupeur et les premiers élans de solidarité, l’on cherche un coupable. La chaleur, mauvaise conseillère, ainsi que les annonces du Fou qui dénonce l’hypocrisie, la malveillance et la mainmise de quelques-uns sur tous les autres finissent d’exacerber la violence latente des hommes… Alors que l’étau de ce confinement à ciel ouvert se resserre sur les quelques gorges qui se questionnent, un possible émerge du chœur silencieux des femmes : la fuite, oui, et tout ce qu’elle promet de réinvention au-delà de la domination crasse.
Véritable fable contre l’obscurantisme, l’abdication et la lâcheté, Le Silence des dieux mêle l’inspiration du désert à la langue des anciens, pour transmettre l’enjeu séculaire que représente la liberté. Le chant du traquet n’est jamais loin de ce récit à la puissance orale, et les gestes d’un quotidien simple maintenus même dans l’effroi rappellent le pouvoir d’une main tendue vers une autre. » Typhaine, librairie du centre – Ferney-Voltaire

La vérité sur la lumière

« Entre un blizzard charriant la menace d’un ouragan à quelques jours de Noël et des naissances qui auront lieu sans se soucier de l’humeur météorologique, Dýja parcourt les manuscrits désordonnés légués par sa grand-tante, qui fut sage-femme (littéralement "Mère de la lumière", en islandais) avant elle. Son testament métaphysique interroge la grâce de la venue au monde face à la précarité de l’existence humaine… Plus que jamais, Auður Ava Ólafsdóttir nimbe de poésie toutes choses, si infimes soient-elles, puisque face à l’incertitude seule demeure l’étincelle. » Typhaine, librairie du centre – Ferney-Voltaire