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Librairie Dialogues – Brest

Librairie Dialogues – Brest
Parvis Marie-Paul Kermarec, rue de Siam
29200 Brest
02 98 44 88 68
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Coups de cœur des libraires

L’automne est la dernière saison

« Un voyage sororal. Le temps de deux saisons (été et automne), nous suivons le quotidien de trois femmes iraniennes qui vivent à Téhéran. Elles s’appellent Leyla, Shabaneh et Roja. Elles se sont rencontrées sur les bancs de la fac. Aujourd’hui diplômées, elles travaillent et vivent dans des lieux qui laissent croire qu’elles sont libres. Mais lorsque nous ôtons le voile des apparences, nous comprenons qu’elles sont tiraillées entre tradition et modernité. 
Une position qui les entraîne dans une névrose que l’autrice nous dépeint avec une subtilité et une finesse telles, que nous nous attachons à ces jeunes femmes qui ne demandent qu’à vivre. Nous nous fondons un temps dans leur vie, leur intériorité, faite de désir et de frustration, de rires et de larmes. Puis vient le moment où il nous faut les quitter. À regret. Car les frontières sont finalement hermétiques. En attendant, il y a la littérature pour nous permettre de visiter un pan de la culture iranienne et la vie de ses femmes courageuses. Merci à Nasim Marashi et aux éditions Zulma pour ce voyage littéraire et sororal. » Laure de la librairie Dialogues – Brest

Ce que Frida m’a donné

« Rosa Maria Unda Souki a tenu un journal pendant la préparation de son exposition réunissant ses tableaux inspirés par la vie et l’œuvre de Frida Kahlo. Le résultat est de toute beauté, chatoyant de couleurs, et nous plonge au cœur du processus créatif d’une peintre au talent éclatant. Un superbe livre-objet que l’on ne se lasse pas de feuilleter. » Valérie, librairie Dialogues - Brest

La vérité sur la lumière

« L’autrice de Rosa Candida signe à nouveau un très joli roman humaniste en mettant en scène l’histoire de Dýja, sage-femme qui perpétue la tradition familiale de donner la vie. En replongeant dans les carnets de sa tante, elle y découvre tout un tas de réflexions passionnantes sur ce qui constitue l’essence même de notre existence. Toute une galerie de personnages va se greffer à cette histoire fantasque, touchante et lumineuse. » Julien L., Librairie Dialogues - Brest

Le Monde des hommes – Buru Quartet I

« Une œuvre humaniste, émancipatrice, percutante et sensible...
Le Monde des hommes est ici celui des Indes Néerlandaises, à la toute fin du XIXe siècle.
Récit d’initiation ou récit historique, nous sommes emportés par son souffle romanesque et par ses personnages fascinants.
Le narrateur, Minke, est un jeune étudiant de Java. Bon élève dans une grande école néerlandaise, écrivain prometteur, il fait la rencontre de Nyai Ontosoroh, concubine d’un riche négociant Hollandais, et de sa fille, la magnifique et convoitée Annelies. Il s'agit dès lors de remettre en question ses apprentissages, les codes Européens, la moralité hypocrite ambiante et le respect servile de la hiérarchie.
Un livre humaniste, émancipatrice, percutante et sensible que vous ne voudrez plus lâcher. » Laetitia, librairie Dialogues - Brest

« La découverte d’un paradigme culturel, aussi douce que la flamme d'une bougie 1899. L’Indonésie est une colonie néerlandaise. À Surabaya, sur l’Île de Java, Minke, jeune indigène, reçoit l’éducation dispensée par les enseignants du pouvoir colonial. Le Monde des Hommes est le premier tome d’une quadrilogie au souffle puissant. L’éveil à l’indépendance intellectuelle se mêle à la sensualité d’un magnifique premier amour. » Marie B., librairie Dialogues - Brest

L’anarchiste qui s’appelait comme moi

« ¡Viva la revolución! Pablo Martín Sánchez découvre par hasard sur Internet un homonyme au passé héroïque. L’auteur nous entraîne alors dans les tribulations de ce jeune anarchiste espagnol du début du XXe siècle. Fils d’un inspecteur des écoles, notre héros quitte la région de Salamanque où il a passé son enfance pour Paris où il travaille chez un imprimeur et devient l’un des acteurs de la résistance antifasciste espagnole. Outre cette tentative d’invasion révolutionnaire de l’Espagne, Pablo Martín Sánchez nous fait partager les amitiés et les amours de son illustre homonyme. Une très belle façon de nous faire vivre l’Histoire par le roman... » Michaël, librairie Dialogues – Brest

Rosa candida« Rosa Candida n’est pas le prénom de l’héroïne de ce roman. Rosa Candida est le nom d’une rose (celle que la défunte mère du narrateur cultivait avec soin et passion). Ce goût pour la nature et les jardins, elle l’a transmis à son fils Arnljótur qui aura le privilège d’être accueilli dans un monastère où il s’attellera à redonner vie à une roseraie livrée à elle-même.
Notre héros quitte ainsi son père, un homme profondément attachant (mais un peu papa poule sur les bords !) qui se remet difficilement de la disparition de sa femme. Il quitte aussi son frère jumeau autiste, cet être hors du temps qui vit dans son monde à lui.
Son voyage le mène dans ce lieu où le temps semble s’être arrêté, où l’insouciance est de rigueur, où la nature semble avoir repris une place fondamentale dans la vie du village. Il y fait la rencontre de Frère Thomas. Cet homme cinéphile à ses heures va devenir le principal confident d’Arnljótur.
Mais lorsque débarque la mère de sa fille, son existence va être on ne peut plus bouleversée.
Ce livre est une friandise que l’on savoure avec délicatesse. La langue y est délicieuse, les personnages sont tendres et les paysages sont enivrants. L’auteur nous montre à quel point la filiation semble importante à l’épanouissement de nos existences. Il a su isoler ces plaies ouvertes, ces failles qui se dessinent et que l’humain s’évertue à cicatriser.
Par un certain côté, ce roman est à l’image d’une rose, fragile et ténébreuse, sensible et envoûtante. Il laisse derrière la lecture un doux parfum de sérénité. » Julien, librairie Dialogues — Brest
Le Complexe d’Eden Bellwether« Un premier roman magistral sur les frontières entre génie et folie, la manipulation et ses jeux pervers » Librairie Dialogues — Brest
Ör« Une fois encore, Audur Ava Olafsdottir nous raconte la vie d’un homme qui doute et qui est à un moment charnière de sa vie. Sa femme l’a quitté, sa fille s’éloigne. Lui reste sa mère, installée dans une maison de retraite, qui oublie une fois sur deux que son fils lui a rendu visite. Alors il se dit que la vie pourrait lui glisser entre les mains... Mais un voyage dans un pays ravagé par la guerre va bouleverser son existence. Avec comme bagage une caisse à outils, il va se rendre utile et faire des rencontres qui vont redonner un sens à sa vie... L’auteur dépeint avec grâce et brio le désarroi d’un homme. On pourrait penser ce roman triste et douloureux mais il n’en est rien. Ponctué d’humour, de pensées ou d’aphorismes poétiques, il nous invite à méditer sur notre propre condition et nous interpelle sur l’idée qu’on peut mener plusieurs vies. Audur Olafsdottir aime brouiller les pistes et nous donne le sentiment que l’humanité est trouble mais que la solidarité est un moteur essentiel. Son écriture sensible, laisse le lecteur méditatif et ouvre des portes enfouies au plus profond de nos êtres. » Julien, librairie Dialogues — Brest
Les Sœurs de Blackwater« Ce roman dystopique met en scène une femme énigmatique qui fait partie des dernières représentantes à pouvoir lire et écrire. Quand elle reçoit la visite d’un certain Mr Hendricks, toute son existence va basculer en même temps que son passé va la rattraper. Une quête sublime sur la rédemption et le pouvoir des mots. En ouvrant cette boîte de pandore, l’héroïne nous révèle une société en perdition, reflet d’un monde qui ne semble pas très éloigné du nôtre ! » Julien Laparade, librairie Dialogues — Brest