« En lisant ce roman, nécessairement, on pense au film Parasite. Un texte politique, social qui met en lumière le portrait de femmes oubliées. » Elodie, librairie des Batignolles - Paris
« Un texte court et percutant qui raconte avec délicatesse la Chine d'aujourd'hui. Plusieurs thèmes édifiants y sont abordés, notamment la place de la femme dans la société ainsi que de nombreuses interrogations sur la filiation et la famille. Un (presque) huis-clos déroutant mais important. » Angèle, librairie des Batignolles - Paris
« Les portraits de deux amis qui se retrouvent après quinze ans sans nouvelle. Li Jiaqi et Cheng Gong se sont connus lorsqu’ils étaient enfants. Devenus inséparables, ils ont partagé les mêmes tourments et ont hérité des mêmes troubles. Grâce à ces maux qu’ils ont en commun, ils vont consolider leur amitié. Jusqu’à l’inéluctable révélation, qui fera éclater leur relation. L’histoire évolue à mesure que le canevas tissé par les deux protagonistes prend forme pour nous dévoiler, toile achevée, le secret de ce clou.
Zhang Yueran est sans conteste une romancière de talent.
Elle nous livre ici un texte fort, d’une grande maîtrise, où chaque émotion est passée au peigne fin, où chaque phrase est millimétrée, afin de retranscrire au mieux les contours de la Chine au moment de la Révolution Culturelle. » Priscillia, librairie des Batignolles — Paris
« Warning, warning œuvre magistrale ! Comment résumer un tel roman où 15 personnages « se prêtent au vagabondale de l’esprit (et où) les esprits flottent comme des gaz d’échappement » dans leur véhicule respectif sur l’autoroute A7. Un roman mille fleuilles où « Tous ces gens, autour, dans toutes ces voitures qu’ils ne font que croiser l’espace d’un instant, qu’il ne connaîtra jamais, dont il ne saurai jamais le nom ». Nous, lecteur, nous connaissons leur nom, leurs pensées (bonnes ou mauvaises), leur destin. C’est tragique, drôle, grinçant, caustique comme la vie. Un texte dé/routant avec une forme littéraire épatante qui s’apparente à une mise en scène cinématographique, et des personnages qui défilent à 100 à l’heure, le tout porté par un style littéraire avec un certain art de narrer. Marcus Malte enchante avec une symphonie publicitaire, sociale, dans un chassé-croisé d’automobilistes aux carrefours de leur vie. » Priscillia, librairie des Batignolles — Paris