Coups de cœur des libraires

Coup de cœur de la Librairie À la Lettre (Saint-Girons) !

Le coup de cœur de Linda & Bruno Cassou de la librairie Antipodes d’Enghien-les-Bains
Le coup de cœur de la librairie de l’Escalier de Melun
« Avec délicatesse et simplicité, Zoyâ Pirzâd raconte les femmes de son pays, l’Iran, et leur quotidien..
Alieh, Rowshanak ou Raheleh sont souvent à leur fenêtre. Entre le riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines, elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes. Au fil des saisons et des générations de femmes, flotte sur Comme tous les après-midi un parfum de mystère étrange et pénétrant. Par touches légères, prégnantes, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne. Par la simplicité et la sobriété de son style, Zoyâ Pirzâd épingle comme un papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les pièges de la vie quotidienne. » Gwendoline Delaporte, librairie Le Merle Moqueur — Paris 
« Tout en finesse, Zoyâ Pirzâd nous envoute par sa plume délicate et nous fait découvrir le quotidien des femmes iraniennes. » Léa Pradel, librairie Le Genre Urbain — Paris 
« Des petites nouvelles qui vous transportent dans le quotidien des femmes Iraniennes. Élégant et incroyablement poétique, à la limite du fantastique, ce livre est un véritable petit bijou. Enorme coup de coeur ! » Librairie Le Rideau Rouge — Paris
Lu et conseillé par Maïté Blatz de la librairie Le Roi Livre à Paris 
« Zoyâ Pirzâd une auteure incroyable, de surcroit iranienne, qui mérite le détour !! Dans ce nouveau livre, elle nous livre à travers des nouvelles: douceur, poésie et mélancolie. Je ne ferai pas de résumé, c’est impossible pour moi avec les nouvelles, je ne suis pas assez concise mais surtout je préfère vous les laissez découvrir. L’Iran, les traditions, les femmes, la rue, la ville, les enfants, le temps. Les voix de femmes s’entremêlent avec ses mots qui vous emportent très vite vers ces terres inconnues. Volupté, sérénité avec une pointe de magie. Un livre que l’on dévore comme les premières fraises du jardin, avec gourmandise, avidité et en même temps on ne veut pas que ça finisse. Bref, courrez à la librairie !!! » Letizia, librairie de l’Hôtel de Ville — Bron
« Avec une plume délicate, Zoyâ Pirzâd trace les portraits quelques fois décalés de ses consœurs… Ces petits récits légers qui rendent le quotidien onirique (presque fantastique) sauront capter votre attention et vous faire passer quelques après-midi au goût de Perse !
Une douceur pour l’ombre du parasol. » Juliette, librairie Quai des Brumes — Strasbourg 
« Les nouvelles contenues dans Comme tous les après-midi sont très brèves et composent une mosaïque de l’Iran inattendue, loin des clichés occidentaux. L’auteur, iranienne, est une nouvelliste hors pair. Chacun de ses récits courts est comme cousu à petits points nerveux, nous rappelant l’origine du mot "texte". Ce sont des instantanés de vie, souvent ceux de femmes, que nous apporte l’auteur dans un rythme tendu. L’émotion est ainsi immédiate, sans surcharge inutile. Les femmes observent la rue ou leur voisine, par la fenêtre et c’est toute une existence qui se déroule en quelques minutes. » Le Square - librairie de l’Université — Grenoble
« Zoyâ Pirzâd dessine un portrait discret et audacieux de la femme iranienne sur laquelle pèse le joug politique, et ce dans une langue poétique, avec des scènes qui frôlent parfois le fantastique. Un petit livre rose au charme ravageur ! » Fabienne Gouirand, librairie Jeanne Laffitte - Les Arcenaulx — Marseille
« Le fil rouge des nouvelles se dessine petit à petit : c’est, quelque part, le thème bien connu de la procrastination qui réunit ces femmes dont Zoyâ Pirzad peint tendrement le portrait. Dans la première nouvelle, sous le couvert d’une femme au foyer embourbée dans son quotidien, se cache une passionnée d’écriture qui, tous les jours, repousse au lendemain son roman... De femme en femme, de génération en génération, l’auteur nous plonge dans une atmosphère mystérieuse et pénétrante et pointe du doigt l’enfermement dans lequel on se confine soi-même. »