Coups de cœur des libraires

« Rauli a dix ans et, depuis qu’il a lu l’Iliade, il sait que derrière son apparence de frêle garçon un peu perdu, il est Cassandre, qui voit l’avenir mais n’est jamais crue. Avec lui, nous sommes à la fois dans son appartement en bord de mer à Cuba observant sa mère l’habiller en fille, et en Angola, où il sera guerrier, déshabillé tous les soirs par son capitaine. Un roman puissant, d’une exceptionnelle poésie, entre histoire et mythologie, rêve et cruauté. » Librairie Candide – Ixelles

« Un grand roman à la Garcia Marquez qui nous plonge dans la société cubaine des années Castro. » Daniel, librairie Quartier Latin - Saint-Etienne

« Sublime roman. » Géraldine, Nos années folles — Colombes

« À contre-cœur, pour exporter la révolution cubaine dans le monde, Rauli part en guerre. Mais Rauli dissimule Cassandre, prophétesse maudite et incomprise ! Et les abîmes sont profonds dans la vie de Rauli. Elle voit sa mort en Angola, il chavire à Cuba. Une chute sans fin dans une nuit sans fond. » Le Merle moqueur, Paris

« Entre la beauté de l’apocalypse et l’imaginaire sans tabou, Appelez-moi Cassandre raconte la défense de l’Angola par les révolutionnaires cubains et l’apprentissage de la vie par les livres du jeune Rauli.
C'est l’effroi de la guerre. Le poids des fantômes sur l’âme des hommes. Le poids des fantômes sur les terres d’Angola.
C’est la violence qui se répand sur le corps des plus fragiles.
C’est l'amour des lettres, le salut par les mots, les mythes et les textes.
La langue de Marcial Gala est un souffle de sorcier, une rivière qui enfle en torrent. La digne cataracte d’un griot, d’un magicien. Sous l’égide des chants Homériques, Cassandre et ses visions qu’elle ne dit pas parce qu’on ne la croit pas, ce roman se déverse impétueux sur les rives surchauffées de l’initiation et de la guerre. Aussi impressionnant qu’une puissante crue, aussi magique qu’un conte. Aussi endiablé qu’une danse au bord d’un grand feu. » Fabien, Décitre Grenoble

« Appelez-moi Cassandre moi aussi, car je savais dès que je l’ai ouvert à quel point j’allais l’adorer ! Et j’ai pas été déçue, voir c’était encore mieux que ce que j’espérais ! 
Un texte qui emporte tout avec lui comme une vague incroyable de beauté, un roman à la fois lyrique et décapant, lumineux et bouleversant, emportant et sublime, donc sublimant. Entre Cassandre piégée et Marilyn moquée, on suit le sensible Rauli de Cube à l’Angola, rejeté pour ce qu’il est et sait faire, lire l’avenir, son pouvoir de séduction dévastateur, et pourtant, il sait voir donc dire, rendre surpportable la réalité malgré tout, du palpable à l’imaginaire, tout est là, tout est dit et wouahou !!!!! Quel livre ! » Margot, Librairie Les Vinzelles (Volvic)