« LE livre pour les amoureux des livres. À ceux qui aiment leur odeur, leur poids, leurs histoires, leur complexité ou au contraire, leur simplicité. On se retrouve dans les lignes d’Enis Batur, passionné… donc passionnant. C’est le cri d’amour du bibliomaniac. » Alexandra, Librairie Port Maria — Quiberon
« Court bijou d’une centaine de pages, ce Serpent des Blés est un plaisir cinématographique, ciselé dans la lumière des matins d’été. Dans un instantané sépia, irisé du jaune des blés, du bleu d’une camionnette ou du rouge vif d’un chapeau, se dessinent les contours d’un récit vif et mordant, à la manière de ces serpents qui se glissent entre nos jambes pour disparaître à tout jamais. » Librairie Port Maria
« Une réflexion exigeante sur la mécanique de l’anéantissement dans une langue fabuleusement imagée, tout entière tournée vers la célébration de la culture juive. » Alexandre, Librairie Port Maria
« Géant excentrique ou animal sauvage devenu maître dans sa cage ? Par petites touches sinueuses, le lecteur est maintenu à la lisière de l’effroi. A travers le regard désincarné d’une petite fille, l’irruption d’un prédateur bienveillant donne à ce récit cinglant les allures d’une morsure de serpent. » Librairie Port Maria
« Fleurs de dahlia
quarante mille variétés
mais pas une bleue
Évocations tour à tour flâneuses, charnelles, saisissantes, et parfois joviales ou macabres. Que ce soit à picorer ou en immersion, ces courts poèmes de tous les instants sont à savourer sans modération. » Alexandre, Librairie Port Maria
« Et si les mots du quotidien et de la contestation venaient à disparaître, aspirés dans l'anti-dictionnaire numérique érigé par une armée de cyberpatrouilleurs chinois ? Construisant une mythologie familiale déjantée qui fait écho à l’histoire de la capitale chinoise, l’auteur livre une vraie réflexion sur l’usage de la langue en temps de subversion et le poids des générations avant le court-circuit final. Vivifiant ! » Florence, Librairie Port Maria - Quiberon
« Et si dans une espèce d’idéal, on changeait toutes les bonnes vieilles habitudes « à la papa » ? À savoir, inverser les rôles une bonne fois pour toutes, les femmes au pouvoir dans tous les domaines et les hommes à leur solde.
Gerd Brantenberg s’en donne à cœur joie dans cette dystopie jubilatoire, portée par une langue novatrice 100% féminine ! "Mademoiseau", "proviseuse", "fumanité", "garse", rien n’échappe à cette auteure avant-gardiste, à n’en pas douter ! Drôle, insensé et enlevé, ce roman est destiné à toutes et à tous ! » Florence, Librairies de Port Maria
« Toute une époque réincarnée
de manière magistrale. »
Alexandre, librairie Port Maria - Quiberon
« Roman très fort, palpitant, mais aussi troublant, voire angoissant
Budaï part pour Helsinki pour un congrès. Mais que se passe-t-il ? Il débarque dans un pays inconnu. Bien que polyglotte, il ne comprend pas un mot, ne peut lire leur alphabet. La foule est partout, les ascenseurs toujours bondés. D’abord serein il va vite déchanter. Personne n’écoute personne. Aucune aide, aucune compassion. Il ne devra compter que sur lui. Mais sans argent, sans papiers, le voilà vite à la rue... » Librairie Port Maria — Quiberon