« Gros coup de cœur pour ce roman. La Catalogne en 2066, un petit groupe a décidé de rester. Ils ont choisi un ancien hôpital comme lieu de résistance. Parmi eux, un écrivain, âgé, a décidé de raconter leurs survies mais rapidement son Journal devient un recueil de réflexions sur la vie et sur l’humanité. Splendide ! »
Librairie Les Carnets d’Albert à Sallanches
« C'est l'histoire de cinq frères, accrochés à leurs rêves, à leurs amours et à leurs ambitions, pendant la guerre Iran-Irak. Chaque chapitre raconte la vie et le destin de ces frères. Les faits s’entremêlent et chaque récit nous plonge dans l'histoire de ce conflit. C'est aussi la vie de Moshen, étudiant. C'est poignant, magnifique. L'écriture et le procédé de narration sont singulières. »
Librairie Les carnets d'Albert à Sallanches
« C’est l'histoire de deux sœurs afro-brésiliennes. Tout commence par un drame alors qu’elles sont encore enfants. Deux femmes, deux destins, chacune refusant d’accepter leurs conditions de vie. Deux battantes qui n’hésiteront pas à militer. Deux résistantes.
Un récit profondément humain qui nous fait découvrir ce pan de l’histoire brésilienne qui fait effet miroir avec le Brésil d’aujourd'hui. » Librairie Les Carnets d’Albert – Sallanches
« Éden, un nouvel opus d’Auður Ava Ólafsdóttir aux éditions Zulma.
Alba professeur de linguistique, décide de s’installer dans un coin perdu de l’Islande pour limiter ses voyages et de vivre une vie plus proche de la nature.
Une chouette personne pleine d’humanité qui va nous faire réfléchir sur l’Homme en général et sur les conséquences et les changements climatiques. Un roman ponctué de cours d’Islandais !
Un petit régal ! » Librairie Les Carnets d’Albert – Sallanches
« J’ai adoré, il a une maitrise de la langue incroyable, j’aime le sujet et évidemment, son implication politique. » Laurence, Librairie Les Carnets d’Albert (Sallanches)
« Il est des personnages de roman que l’on aimerait serrer contre soi. Makepeace je n’aurais pas osé la serrer contre moi, mais je lui aurais tendu une main forte et chaude, et je lui aurais dit qu’elle pouvait rester à la maison ce soir - et toute la vie.
Au nord du monde nous emmène ailleurs dans le temps et dans l’espace, et pourtant il y a ce petit quelque chose qui nous dit que c’est tout près. Nous sommes au nord de la Sibérie, le monde humain peine à se tenir debout. Makepeace est la shérif d’une ville morte. Elle s’accroche à Ping, à Chamsoudine, à la force des paysages qu’elle traverse, à ses connaissances toungouzes.
Il y a des odeurs de Tchernobyl, de la fin d’une technologie humaine dépassée par sa propre force, de colonialité, de camps de concentration et de ce que l’humain peut déployer comme violence lorsque sa vie est en jeu.
Mais il y aussi ce goût de l’amour de l’autre reconnu.e comme pair, celui de la beauté des paysages et de notre puissance à lutter pour notre liberté et la joie d’être en vie. » Cloé, librairie Les Carnets d’Albert - Sallanches
« La jungle de Banerji, ses habitant.e.s, sa faune, sa flore et ses dieux m’ont envoûtée. L’écriture est belle. Assise à mon bureau, mon café a pris l’odeur du jasmin, j’ai vu le dieu Tarbaro se dressé devant ma porte, mes pâtes sont devenues de la farine de pois chiche et les miaulements de mon chat le feulement d’un tigre dans la nuit.
Le regard de Banerji sur le monde qui l’entoure — plantes, animaux humains et non-humains, lumière, ambiance — est d’une bienveillance telle que tout devient superbe.
Évidemment, quelques passages font un peu tiquer : regard sur les femmes, sur les castes, sur les « peaux noires » etc. Mais la postface permet de comprendre que ce qui semble être un vieux relent de pouvoir patriarcal et raciste n’est que le reflet d’une époque - et qu’en celle-ci, Banerji a les bras grands ouverts vers l’autre. » Laurence Lourdel, librairie Les Carnets d’Albert — Sallanches