Sarah Jalabert

Sarah Jalabert

Comédienne, lectrice publique et radiophonique, et auteure, elle a publié dans la revue Supérieur Inconnu, un long poème Rue de l’Anturie (1998). Puis aux éditions de l’Âge d’Homme : Toujours autre, nouvelles (2001) ; Des Tombereaux de Désir, roman en trente-six nouvelles, préface de Marcel Moreau (2007) ; Celui qui ouvre, roman (2012). Aux éditions en ligne 15k.fr. : Héloïse (2017) ; Thérèse ou La Nuit de L’Ossuaire (2019), nouvelles en version numérique et audio.

C’est la voix de l’écriture qui l’a rappelée vers la voix parlée. Entendre la voix du texte dans son corps, où sa propre voix vient, ou revient faire ensemble langage.

Elle crée des lectures-spectacles, de ses propres textes et de ceux des autres, où petit à petit se joint la musique. Parmi elles, Hugo et ses femmes, avec le comédien Jean-Claude Drouot (Festival du Romantisme d’Allauch) ; Une chambre à soi, de Virginia Woolf, avec les musiciennes canadiennes de viole de gambe Les Voix Humaines (Festival d’Île-de-France) ; Vers l’Ange, avec le comédien Redjep Mitrovitsa, correspondance de R.M. Rilke (colloque de Cerisy-La-Salle) ; récemment, Histoire qui se déchire sur le corps d’une femme, du poète Adonis, (invité d’honneur aux Rencontres poétiques Les Porteurs de Mots, chez Lily-Germ, Hautes-Pyrénées), avec le multi-instrumentiste Alexis Kowalczewski.

Le corps de frontière, dont est paru un extrait dans Apulée #4, est un roman encore inédit.

Bonus

« Ouvrir la revue Apulée, du nom de cet auteur berbère qui, avec les Métamorphoses, ouvrit au IIe siècle une brèche de liberté aux littératures de l’imaginaire, est toujours un moment magique. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération   

« Le titre de ce quatrième numéro, Traduire le monde, confirme bien la mission de passeur (…) que son rédacteur en chef, Hubert Haddad, revendique et pratique avec générosité. »

Thierry Cécille, Le Matricule des anges       

« Apulée est une perle de littérature. »

Luca Ruffini Ronzani, librairie Multipresse – Spa (Belgique)