« J’ai toujours ton cœur avec moi agit comme un hachoir surréaliste et poétique, qui découpe en lamelles l’existence, pour la
rendre disséquée dans sa forme la plus brutale,
la plus pure et la plus tordue : vivre et mourir,
mais comme “l’ombre qui éclaire”. »

Virginie Mailles Viard, Le Matricule des anges