Abdourahman A. Waberi

Abdourahman A. Waberi est né en 1965 à Djibouti, il vit entre Paris et Washington. Depuis le Pays sans ombre (1994), premier volume d’une trilogie consacrée à son pays d’origine, jusqu’à la Divine Chanson (Prix Louis Guilloux 2015), son œuvre romanesque est traduite dans une douzaine de langues.

Abdourahman A. Waberi chez Zulma

Bonus

« Inverser les rôles,
c’est salvateur, et
Abdourahman Waberi
le fait très bien. »

Librairie Le Genre Urbain — Paris 

Les coups de cœur de la librairie Le Genre Urbain

« Il est là, fourbu. Silencieux. La lueur mouvante d’une bougie éclaire chichement sa chambre, dans un foyer pour travailleurs immigrés. À l’ère du jet et du net, ce Caucasien d’ethnie suisse parle un patois allemand et prétend qu’il a fui la violence et la famine. Il garde pour- tant intacte une aura qui fascine nos infirmières et nos humanitaires. Appelons-le Yacouba, primo pour préserver son anonymat, deusio parce qu’il a un patronyme à coucher dehors. »

Abdourahman A. Waberi, Aux États-Unis d’Afrique

« Séduisante de bout en bout, sa prose se révèle concise, incarnée et délicate. On se surprend souvent à relire des phrases pour en apprécier toute leur beauté. À la fois hommage et réflexion sur l’artiste, La Divine chanson est une de ces belles lectures qui se distingue par sa musique si singulière. » 

Librairie Le Cadran Lunaire — Mâcon

Les coups de cœur de la librairie Le Cadran Lunaire

« C’est un roman puissant, courageux, inventif que ce Aux États-Unis d’Afrique porté par
une langue qui ne craint pas les images, le lyrisme et l’ironie. »

Thierry Guichard, Le Matricule des Anges

Abdourahman A. Waberi
dans Apulée