Les Nuits de laitue
Vanessa Barbara Les Nuits de laitue

Roman traduit du portugais (Brésil) par Dominique Nédellec
Prix du Premier roman étranger 2015




Coups de cœur des libraires

« Voilà une lecture qui fait du bien au moral, galerie de personnages hauts en couleurs et gentiment loufoques, une histoire de voisinage fantaisiste à l’humour à peine grinçant, un bonbon ! » Lola, librairie Calligrammes – La Rochelle 

« Après Rosa candida et la Lettre à Helga, la découverte de cette rentrée aux éditions Zulma s’appelle les Nuits de laitue.
Un roman drôle et tendre : assez bluffant pour un premier roman ! » Librairie L‘Autre Monde — Avallon

Le coup de cœur de Laurence Grivot de la librairie Au Moulin des lettres d’Épinal
« Un roman drôle et émouvant, détente assurée ! » Sandrine, librairie Le Monde d’Arthur — Meaux
« Un premier roman frais et cocasse porté par un humour décalé. Une belle galerie de personnages doux dingues et attachants, à l’émouvante solidarité. Il plane dans les Nuits de laitue la fraîcheur que porte Rosa candida d’Auður Ava Ólafsdóttir, un souffle de douce folie sud-américaine en plus ! » Librairie La Buissonnière — Yvetot

« Un très beau roman, émouvant et délicat, qui nous plonge dans la petite vie pas si tranquille d’un village peuplé de personnages excentriques, qui tous semblent cacher un mystérieux secret.

Otto le misanthrope aura-t-il le fin mot de l’histoire concernant la mort de sa femme ? On se régalera de le découvrir avec lui. » Perrine Ablain, librairie Le Genre Urbain — Paris 

« Méditation étonnamment légère sur la perte d’un être cher, et intrigue policière inattendue. Excentriques voisins d’un quartier pourtant très banal, les personnages des Nuits de laitue semblent toujours en mouvement, y compris Otto, le personnage central insomniaque et antisocial, accablé depuis le décès imprévisible de son épouse Ada. Formant une merveilleuse galerie de portraits, ces personnages pourtant banals semblent tous affublés de manies curieuses, tel Aníbal le facteur dilettante, qui distribue les courriers à tort et à travers, Nico l’assistant pharmacien passionné des notices de médicaments et de leurs effrayants effets secondaires potentiels, Iolanda la mystique qui épouse toutes les croyances ou encore Teresa et ses trois chiens fous furieux. L’unique M. Taniguchi, “centenaire taciturne, sobre et consciencieux”, malheureusement atteint de la maladie d’Alzheimer est le “clou” de cette galerie de portraits, personnage inspiré à l’auteur par Hiroo Onoda, ce soldat japonais qui ne crut jamais à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et se battit jusqu’en 1974 dans une île des Philippines, avant de finalement renoncer sur ordre de son commandant, et d’émigrer pour finir ses jours au Brésil. Tout en se remémorant de manière erratique de fragments heureux de sa vie conjugale, avec une Ada virevoltante et indispensable, Otto lutte pour faire face aux situations les plus élémentaires depuis sa disparition, et, sortant de sa coquille, recueille des indices épars de la vie de ses voisins, qui lui parvenaient jusque-là par le filtre de sa femme. Ces bribes de conversation entendues dans la rue ou à travers les cloisons trop minces le perturbent, évoquant ce qu’ils appellent “l’incident”. Cet homme taciturne qui adore “les histoires de meurtres embrouillées, les films noirs et les polars sanglants” en vient ainsi à penser qu’on lui cache quelque chose. Ce premier roman “en solo” de Vanessa Barbara forme un récit très attachant, méditation mélancolique sur la perte et la solitude sous une forme pleine de légèreté et d’humour, comme un reflet du tempérament de feu follet d’Ada, rappelant la tonalité du Margherita Dolcevita de Stefano Benni, et qui prend au fil des pages un tour inattendu d’intrigue policière. » Librairie Charybde — Paris
« À travers une galerie de personnages hauts en couleur, Vanessa Barbara, jeune auteure brésilienne, signe un premier roman tout en finesse. […] On prend beaucoup de plaisir avec ce roman tendre et drôle qui nous fait passer un très agréable moment de lecture. » Pierre, librairie Fontaine - Haussmann — Paris
« Ah, voilà un livre comme on les aime ! C’est un roman plein de tendresse qui donne du peps, amuse et au final, surprend. De délicieux ingrédients pour une lecture savoureuse. » Lydiane, librairie La Maison Jaune — Neuville-sur-Saône 
« Un petit bijou. » Claudia Fleischner, librairie La Parenthèse — Strasbourg
« Un premier roman tendre et jubilatoire ! Une galerie de personnages qui vaut vraiment le détour ! » Librairie Le Libr’air — Obernai 
« Les Nuits de laitue vous embarque dans un drôle de village peuplé d’habitants loufoques dont l’énergie est contagieuse. » Margot Engelbach, librairie de Clermont — Clermont-Ferrand
« C’est l’histoire des vies loufoques d’Otto et d’Ada qui partagèrent leur vie pendant près d’un demi-siècle. Et de leur voisinage. Un préparateur en pharmacie fasciné par les effets secondaires des médicaments, un facteur qui mélange les courriers pour favoriser le lien social, des chiens qui n’aboient pas pendant les jours de deuil. Une jolie promenade dans un monde où les regards sont décalés, les vies acidulées. Un bonbon dans cette rentrée. » Librairie du Channel — Calais
« Une histoire attachante, un peu mélancolique qui nous offre une médiation étonnament légère sur le deuil et la solitude. Le thème est traité avec douceur, une pointe d’humour et une touche de légèreté grâce à une enquête policière inattendue, et cette galerie de personnages originaux. » Librairie Molière — Charleroi (Belgique)
« Un premier roman qui revisite à la sauce loufoque l’univers du roman policier, entre drôlerie et nostalgie. Les personnages tous plus dingues – mais attachants – les uns que les autres vous feront passer un délicieux moment, à l’arrière-goût de tisane à la laitue… » Florine, librairie La Procure — Lille
« Grand coup de cœur ! » Jean-Louis Winger, librairie La Cour des Grands - Le Préau — Metz
Le coup de cœur de Sophie de la librairie Cheminant de Vannes
« Signé d’une jeune auteur brésilienne, c’est un premier roman très bien écrit qui ne séduit pas tant par l’intrigue que par le mélange de ses personnages. À qui l’offrir ? À tout le monde ! » Christine Forestier, librairie Hisler-Even — Metz
« Un roman très rafraîchissant qui nous présente une galerie de portraits tous plus saugrenus les uns que les autres. Une écriture tendre qui nous fait passer un moment particulièrement agréable avec ces personnages très attachants.

Alors n’hésitez plus, venez passer du temps avec ce pharmacien incollable sur les effets secondaires, cet ancien soldat japonais, cette jeune femme qui tape à la machine plus vite que son ombre ou encore Otto et Ada mordus de chou. À savourer ! » Aurore Grandidier, librairie La Fabrique — Bar-le-Duc

« Un premier roman plein d’humour et de tendresse. Un pur moment de fantaisie !! » Librairie M’Lire — Laval
« Un roman distrayant qui se lit comme un jus de fruits frais : dans un quartier où les murs sont si fins que toutes les conversations les traversent, une galerie de personnages hauts en couleur défile et nous fait sourire : l’assistant pharmacien qui étudie les notices des médicaments par cœur avec un goût particulier pour les effets secondaires en tous genres ; l’ancien officier japonais qui a passé trente ans de sa vie à poursuivre le combat tout seul en se retranchant dans la forêt bien après que le guerre soit finie ; Otto le grincheux, qui boit des tisanes de laitue pour mieux dormir, etc. Une lecture légère et agréable. » Natacha, librairie Papyrus — Namur (Belgique)
« La lecture idéale en cette belle journée d’octobre ! » Luca Ruffini Ronzani, librairie Multipresse — Spa (Belgique)
« Après le départ d’Ada, Otto décide de rester assis dans son salon à regarder les jours défiler. Mais c’est sans compter ses voisins fantasques et passionnés : du pharmacien obsédé par les effets secondaires au facteur distribuant le courrier au hasard et en chantant à tue tête, ces joyeux doux dingues viennent perturber son quotidien et semblent lui cacher quelque chose. Un roman réjouissant ! » Librairie L’Embellie — La Bernerie-en-Retz
« J’ai littéralement adoré ce roman. […] S’il y en a un à lire, c’est bien celui-là. » Marlène, librairie Chantelivre — Orléans
« Derrière la couverture aux couleurs chatoyantes de ce livre au titre énigmatique se cache l’une des toutes belles découvertes de la rentrée littéraire 2015.
L’histoire est centrée autour d’Otto, une sorte de Jean-Pierre Bacri, un misanthrope râleur donc, que plus rien n’intéresse depuis la mort de sa femme, Ada. Il décide de s’enfermer chez lui, en attendant sa fin. C’est sans compter sur la bande de doux dingues qui vit dans son quartier : le préparateur en pharmacie Nico, qui connaît tous les effets secondaires étranges des médicaments et qui était le confident privilégié d’Ada ; le Sergent Taniguchi, un centenaire japonais persuadé que la Seconde Guerre mondiale n’est pas terminée ; Aníbal, facteur-chanteur qui œuvre par ses nombreuses négligences au rapprochement entre les habitants de la rue ; Iolanda, la voisine aux chiens insupportables ; Mariana femme au foyer anthropologue ; tous sont bien décidés à ne pas laisser sombrer leur vieux voisin ! Otto revient doucement à la vie en tentant d’élucider les circonstances étranges qui entourent la mort de sa femme qui n’est peut-être pas sans rapport avec cet étranger aux cheveux roux que l’on voit parfois errer tel un fantôme dans le quartier.
Les Nuits de laitue, c’est un premier roman brésilien, écrit par une jeune auteure, Vanessa Barbara, qui réussit la prouesse de mélanger habilement les codes du roman policier à ceux du vaudeville. Que ce roman soit édité par Zulma à qui l’on devait par exemple la découverte de Rosa candida, un autre premier roman d’une jeune auteure islandaise, ne nous étonne guère. Depuis 1991, cette maison d’édition déniche une littérature mondiale peu connue et a au cœur de ses préoccupations notre plaisir de lecteur aussi bien dans le choix des textes que dans le soin apporté au grahisme et à la mise en page. Surprenant autant que rafraîchissant, souhaitons que les Nuits de laitue connaisse le même succès auprès d’un large lectorat que Rosa candida. » Claire Nanty, librairie Livre aux Trésors — Liège (Belgique)

« Un petit parfum de vacances avec cet amusant roman brésilien, peuplé de personnages décalés rivalisant de fantaisie. » Librairie Pax — Liège (Belgique)

« Otto est vieux, seul et vient de perdre sa femme.
Otto ne se lève plus pour changer les ampoules.
Otto ne dort plus beaucoup.
Mais Otto il réfléchit, il se souvient….
Il se souvient de sa femme Ada qui, pour l’’endormir, lui préparait une décoction à base de laitue imbuvable … Celle avec qui il partageait sa passion pour les choux-fleurs à la milanaise et avec qui il regardait bon nombre de documentaires animaliers à la télévision. Il pense à cette femme qui était toujours là pour ses voisins….
Voisins qui, d’’ailleurs sont tous plus fous les uns que les autres.… Un facteur qui chante à en oublier de distribuer le courrier, un pharmacien passionné par les effets secondaires des médicaments ou encore un ancien militaire japonais longtemps persuadé que la Seconde Guerre mondiale n’’est pas terminée ! Ceux-là même qui après le décès d’’Ada ont étrangement changé de comportement.…
Otto n’’est pas dupe et en bon passionné de polar, il est persuadé qu’’on lui cache quelque chose….
Si on aime ce roman c’’est parce qu’’on ne peut pas ne pas aimer ces personnages un peu doux-dingues…. Et que, comme Otto, il y a certaines choses qui ne collent pas….
À lire pour passer simplement un agréable moment avec Otto et son voisinage.… » Léa, librairie Le Failler — Rennes
« Une galerie de personnages loufoques dans une histoire mystérieuse et pleine d’humour, un premier roman décalé et une jeune auteure passionnante à découvrir absolument ! » Anouk, Nouvelle Librairie Sétoise — Sète
Le coup de cœur d’Elisabeth de la librairie Le Jardin des lettres d’Andernos-les-Bains
« Plongez dans ce roman fantaisiste venu tout droit du Brésil, et sillonnez les rues de ce petit village aux côtés d’une bande de joyeux lurons auxquels il vous sera impossible de ne pas vous attacher ! » Librairie Mollat — Bordeaux
« Est-ce une simple et innocente histoire de voisinage dans un petit village brésilien ? Est-ce le quotidien qui défile sous nos yeux d’une communauté paisible où s’écoulent les vieux jours de tout un chacun ? Sont-ce ces portraits colorés et ces personnages d’une douceur joliment extravagante qui se jouent de nous tandis que tournent avec une étonnante facilité les premières pages d’un roman sans intrigue apparente ? Il y a d’abord Otto et Ada. Les inséparables. Un demi-siècle de vie commune sous le toit d’une maison jaune perchée au sommet de la colline. Une vie rythmée par une menue passion pour le ping-pong, les puzzles géants de châteaux européens et les documentaires animaliers. Elle, figure gaillarde du voisinage. Lui, volontiers plus cabochard. Deux âmes sœurs, quelques rues parallèles et des maisons collées les unes aux autres : voyez-vous, un village sans prétention. Et puis il y a Nico, le préparateur en pharmacie, volubile jeune homme passionné par les effets indésirables des médicaments génériques. Il y a Aníbal, le facteur le plus calamiteux qui soit, dont la lubie consiste à distribuer à tort et à travers paquets, factures et lettres d’amour pour favoriser le lien social. Iolanda, septuagénaire mystique qui dans le doute a décidé de croire en tout. Sans oublier M. Taniguchi, l’unique centenaire japonais persuadé 30 ans après la guerre qu’il y a encore une bataille à mener. Il y a enfin Mariana, petite dernière du village, anthropologue solitaire et incomprise par son mari.

Touchant petit monde folklorique sans incidence aucune. Sauf qu’un beau matin, alors que le linge n’avait pas encore eu le temps de sécher, que l’élastique du jogging était encore humide, les grosses chaussettes, les T-shirts et les serviettes toujours sur le fil, Ada est morte. En lecteur passionné de romans noirs, insomniaque et convaincu qu’on lui cache quelque chose de louche, Otto est sur le point de mener sa petite enquête.

Avec beaucoup d’humour et de tendresse pour ses personnages, Vanessa Barbara signe d’une écriture fine un premier roman habile et folâtre, jouant avec les codes du genre policier et dont la trame réservera au lecteur de nombreuses surprises ! » Librairie des Cordeliers — Romans-sur-Isère

« Sous son aspect cocasse, avec une belle inventivité au niveau loufoqueries, ce premier roman de Vanessa Barbara nous fait admirablement partager la solitude vacante de ce vieil homme où tout peut arriver. Le style est alerte, les observations sont fines, le tout est réjouissant ! » Catherine, librairie du Rivage — Royan 

« L’intrigue est celle d’une rue et d’un voisinage pour le moins ubuesque. L’une des leurs vient de décéder et son mari, Otto, se retrouve seul, perdu, au milieu de tous ces “hurluberlus” sympathiques et atypiques. Il ne sait pas vraiment pourquoi, mais il lui semble que tous se sont ligués contre lui, pour lui cacher quelque chose, qui aurait vaguement rapport avec des roux…

C’est l’occasion pour lui de nous présenter son quartier, ses habitants particuliers aux mille habitudes et vies bizarres, son passé matrimonial heureux et ses passions extrêmes pour les documentaires policiers ou animaliers et surtout pour le chou-fleur…

Tout cela vous semble bizarre ? Mais ça l’est et c’est ce qui rend l’histoire encore plus passionnante !

Alors tous à l’abordage de cette rentrée, tous chez Zulma ! » Librairie Livres et Vous — Ruffec

Coup de cœur de la librairie À la Page de Vichy