Coups de cœur des libraires

« Tout est parti d’un cheveu, un cheveu blond que Zahava, épouse modèle, trouve sur les vêtements de son mari. Elle parcourra la ville de Jérusalem pour répondre à ses questions délirantes et rencontrera des personnages hauts en couleur. On pénètre avec joie dans l’imagination débridée de cette femme rongée par la jalousie, que l’auteur agrémente d’une bonne dose d’humour. » Librairie La Passerelle — Antony
« Il suffit d’un cheveu blond trouvé sur le maillot de corps de son mari pour que la vie de Zahava bascule. Elle en est sûre, il la trompe. Commence alors une longue enquête délirante pour découvrir à qui appartient ce cheveu. Rien n’arrêtera Zahava qui va faire des découvertes improbables! C’est un livre très drôle, avec des situations rocambolesques à la limite de l’absurde mais c’est aussi une belle réflexion sur le couple, la confiance et le danger de la routine quand on vit depuis longtemps ensemble. Nous aimons Barbash depuis longtemps à Liragif. Son premier livre, My First Sony, qui a reçu le Prix Grand Public du Salon du livre de Paris, est un petit bijou. Nous avions également beaucoup aimé Monsieur Shapiro. » Librairie Liragif — Gif-sur-Yvette
« Drôle, rocambolesque et parfois un brin farfelu : un régal ! Zahava découvre un cheveu blond entortillé autour du maillot de corps de Dov, son mari. Arrivent alors les soupçons, la jalousie, l’imagination, les élucubrations et les théories fantasques. S’agit-il d’une turque en burqua ou d’une italienne peroxydée un brin nymphomane ? Ce roman c’est l’histoire d’un cheveu qui bouleverse toute une vie ! À lire. » Émilie, librairie Le Monde d’Arthur — Meaux
« Parfois rocambolesque, parfois cruel, souvent très drôle, et toujours réjouissant, le nouveau roman de Benny Barbash confirme son talent de raconteur touchant, mine de rien, à des questions fortes familiales, sociales et politiques. » Librairie Le Rideau Rouge — Paris
« Coup de coeur !
Pour s’évader de la morosité ambiante, rien de tel qu’un petit tour dans le nouveau roman de Benny Barbash La vie en cinquante minutes paru chez Zulma Éditions.
Où un simple cheveu blond repéré sur un vêtement de son mari déclenche chez Zahava la crise de jalousie la plus outrancière que vous ayez jamais lu ! Subtil et réjouissant ! » Librairie La Parenthèse — Strasbourg
Coup de cœur de la librairie Darrieumerlou de Bayonne

« Bienvenue dans la tête bouillonnante de Zahava, habitante de Jérusalem et d’un monde interne étonnant… ! Voyant sa vie entière remise en question suite à la découverte d’un cheveu blond sur un habit de son mari, Zahava nous entraîne dans ses digressions hallucinantes, drôles, touchantes, le tout en cinquante minutes et 365 pages sur le divan d’un mauvais psychologue. Génial ! » Camille, librairie L’Embarcadère — Saint-Nazaire 

« Aucun doute, Benny Barbash sait à merveille se mettre dans la peau de tout un chacun. Il est aussi bien un enfant qui enregistre tout sur son petit magnéto et retranscrit ainsi tous les problèmes familiaux et par là-même les maux d’Israël (My first Sony) ; ou un homme dont l’oreille devient le berceau d’une jeune pousse d’olivier (Little Big Bang) ; ou bien Monsieur Sapiro, publicitaire  qui rêve de changer le cours de sa vie ; ou enfin, dans cet excellent dernier roman, une femme cinquantenaire qui, découvrant un long cheveu blond entortillé dans la bretelle de maillot de corps de son mari, se lance jalousement et frénétiquement dans une chasse à la blonde. Mais est-ce vraiment une femme qu’elle cherche ? N’est-elle pas plutôt à la recherche d’une autre existence, cette vie qu’elle n’a pas pu, pas su, mener et dont elle fait entièrement porter l’échec à son époux ? Il nous rend Zahava (c’est le prénom de cette femme) tellement proche, tellement tangible,  ses interrogations, ses angoisses, sa fragilité sonnent tellement juste, que nous doutons avec elle, nous devenons, nous respirons Zahava. Oui pas de doute, Benny Barbash sait toujours aussi bien dérouler les vies ordinaires, familiales, conjugales, souvent alourdies par le poids de la religion, avec humour, sensibilité et lucidité. » Librairie Le Carnet à Spirales — Charlieu 

« Comme le dit si bien la meilleure amie de Zahava, l’héroïne de La vie en cinquante minutes, difficile passée la cinquantaine, de faire encore envie sur le "marché de la chair". Mais plus dur encore, c’est de trouver un jour, emberlificoté autour d’un maillot de corps de son merveilleux et brillant avocat de mari, et ce après plus de vingt ans de mariage, un long cheveu blond qui n’a rien à faire là. Zahava s’emballe, Zahava éructe, défonce les tiroirs et les portes de placard, tourne en rond, fantasme sur le supposé harem tenu par son époux infidèle, Zahava se perd dans les méandres d’une jalousie sans fond et d’ailleurs, cette fameuse amie toute pimpante et bien gaie n’est-elle pas blonde, elle aussi, et ne s’est-elle pas rendue à Tel-Aviv en même temps que... aaah...   C’est la première partie du roman, qui tourne autour d’un motif de vaudeville à l’israélienne teinté de screwball-comedy made in Jérusalem. Où l’on retrouve quelque chose de l’ironie douce d’un Woody Allen se gaussant de la crise de la cinquantaine et en effet, la bonne bourgeoisie d’Israël n’est-elle pas la plus psychanalysée du monde avec ces grands flippés d’intellos complexés de Manhattan ? Mais on n’est ni chez Woody, et encore moins chez Labiche... Benny Barbash explore d’abord à fond les soubresauts de la jalousie conjugale, mais on n’est pas chez Proust, ni chez Benjamin Constant non plus. Car ça pétille et ça gaze lorsque la pourtant très raisonnable Zahava s’emballe à propos de tout et de rien: tout lui est bon pour alimenter sa suspicion. Moments drolatiques où les délires de l’imagination de la femme jalouse se fondent dans la réalité-même, sans qu’on ne sache plus trop discerner l’imaginaire du vraisemblable. Et elle non plus... Heureusement pour Zahava et pour nous, le roman ne se contente pas de s’amuser de la douleur et du délire de cette femme (prétendument) trompée. A grands renforts de personnages secondaires plus croquants les uns que les autres (un analyste antipathique qui ne peut pas blairer sa patiente, un ancien prétendant et écrivain reconnu au charisme déchu, un serrurier un rien curieux et mythomane, un mystérieux perceur de coffres arménien ainsi qu’un impayable détective privé un peu trop sentimental), Benny Barbash parvient à faire autre chose qu’une comédie sur l’infidélité conjugale.   Car les moments importants de cette douloureuse crise de conscience qui conduit Zahava à tout s’imaginer, jusqu’à l’impensable et à l’absurde, sont autant d’instants, pour elle, qui vont lui permettre d’aller visiter les zones jusque là occultées de son présent comme de son passé. Voilà sans doute pourquoi tous les jaloux et jalouses de la terre aiment à se morfondre et à se faire du mal à s’imaginer des choses abominables, et cruelles. Tour de force et moment de grâce de La vie en cinquante minutes, roman à la folle virtuosité et à la vivacité pétillante, cette crise conjugale va en effet déboucher sur une autre, beaucoup plus décisive. A cet égard, on peut dire ici sans rien dévoiler du fin mot de l’histoire, que les dernières pages sont absolument sublimes.   En somme, voici un bouquin que tous les jaloux du monde, hommes ou femmes, devraient s’empresser de lire car, et même si leurs soupçons se trouvent hélas avérés, l’important n’est pas là.   Mais on ne leur dira pas où, car eux seuls le savent, au plus profond d’eux-mêmes... » Librairie Sauramps Odyssée— Montpellier
« Un coup de coeur pour le dernier roman truculent de Benny Barbash, La Vie en cinquante minutes. Où comment un cheveu blond sur un maillot de corps peut tout... bousculer. Par un maître es-dramaturgie. » Librairie Alinéa — Luxembourg