Coups de cœur des libraires

« C’est, dans son ensemble, à lire comme un long poème. Hubert Haddad a la plume merveilleuse du conteur. Un vrai régal. » Mélanie et Laurence, librairie Lettre et Merveilles — Pontoise
Aimé et conseillé par Anne-Laure Nicolas de la librairie La Mémoire du Monde d’Avignon
« Géométrie d’un rêve est le journal d’un romancier qui a été fou d’amour de Fedora, une soprano lyrique. Il croit fuir sa mémoire et son passé en s’installant sur les côtes du Finistère dans un vieux manoir. Mais l’ambiance des lieux le ramène inexorablement vers son histoire et il entreprend donc un journal. Son enfance, ses rencontres, Fedora, Amalya étudiante connue à Kyoto se mêlent aux nombreux personnages de fiction compagnons du romancier. Les personnages déteignent les uns sur les autres, la réalité étouffe la fiction et vice-versa. La frontière devient floue et peu à peu, si le lecteur franchit le pas, se laisse bousculer, il est happé dans le tourbillon et s’imprègne des nombreuses références qui enrichissent le texte. Un roman exigeant et ambitieux. » Librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil

« En exil dans le Finistère, un romancier, rêveur inconditionnel, pose sur le papier, au fil des jours, un enchaînement de rêves, souvenirs, réflexions philosophiques, traversés de personnages réels ou imaginaires. Le tout forme un véritable puzzle très cohérent, une histoire d’amour (fou) bouleversante.
Hubert Haddad en perpétuel affrontement avec la langue, ressuscite avec bonheur des mots rares... » Nicolas Gromoff-Pierre, librairie Le Merle Moqueur — Paris 

Coup de cœur de Sylvie Loriquer de la librairie L’Attrape Cœurs à Paris
Lu et conseillé par Wilfried Séjeau de la librairie Le Cyprès de Nevers
« Entièrement rédigé sous forme de fragments comme autant de poèmes en prose, ce récit se lit comme le journal intime d’un écrivain retiré dans une Bretagne légendaire peuplée des fantômes de femmes jadis aimées (l’énigmatique cantatrice Fedora, l’interdite Amaya ) et imaginaires (Emily Dickinson). Les réminiscences de ces amours absolues composent un rêve éveillé qui n’est pas sans nous rappeler la pure tradition et filiation du roman gothique européen, des contes fantastiques de Poe et de Nerval à l’imaginaire surréaliste (Nadja de Breton, notamment) en y ajoutant l’imaginaire baroque que l’on connaît à son auteur. » Librairie Mollat — Bordeaux
« C’est un roman foisonnant et baroque, l’opéra d’un narrateur insomniaque qui écrit son journal et mêle habilement ses rêves et sa réalité. Dans une langue magnifique, balayée par les vents d’une Bretagne sublimée, Hubert Haddad nous entraîne à la suite de Fedora, chanteuse lyrique, Amaya, la Japonaise dont le corps cache un mystère, d’autres encore. Une quête éperdue de l’amour, du monde qui s’enfuit, des mots qui frappent dans la nuit. » Jean-François Delapré, librairie Saint-Christophe — Lesneven 
Lu et conseillé par Charlotte Desmousseaux.
« En exil dans le Finistère, un romancier, rêveur inconditionnel, pose sur le papier, au fil des jours, un enchaînement de rêves, souvenirs, réflexions philosophiques, traversés de personnages réels ou imaginaires.
Le tout forme un véritable puzzle très cohérent, une histoire d’amour (fou) bouleversante.
Hubert Haddad, en perpétuel affrontement avec la langue, ressuscite avec bonheur des mots rares et passe bien au-dessus de cette rentrée littéraire par son érudition. »