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Librairie Kyralina

Librairie Kyralina
Strada George Enescu 8
Bucarest, Roumanie
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Coups de cœur des libraires

Fonte brute

« Dans ce roman fantastique on rencontre la Petite Vie, une planète où les corps des êtres humains ont rajeuni après leur mort sur la Terre. En plus, ils ne peuvent pas vivre longtemps, trente ans maximum. Une fois plongés dans la fiction, on aura un rendez-vous avec un joueur d’échecs qui a été choisi pour prendre la tête des travaux de recomposition de 4001, un roman débordant de sagesse, mais difficile dans ces travaux de recomposition. Pourquoi est-il important ce roman? Pourquoi ont-ils besoin de recomposer les œuvres ? Et quelles œuvres sont les plus importantes ? Si vous voulez trouver des réponses et découvrir toujours des obsessions phénoménales sur la mémoire et le temps, vous pouvez accepter l’invitation de cet auteur grecque (Chypre) de feuilleter les pages de son livre. » Angela, librairie Kyralina – București (Roumanie)

El Edén

« Dans un bar sordide de Monterrey, deux exilés mexicains éclusent verres sur verres et soliloquent sur le massacre qui a mis à feu et à sang leur bourgade d’origine, paradis perdu nommé El Edén, et les a jetés dans l’exil et la recherche de l’oubli.  
À travers ce dialogue de sourds aux apparences de catharsis d’âmes ravagées, c’est le portrait au vitriol d’un Mexique gangrené par la violence, la corruption et le trafic de drogue, qui nous est dépeint par l’auteur.         
Un roman organique, noir à souhait qui prend aux tripes. 
Une grande voix du Mexique contemporain. » Mathieu, librairie Kyralina

Gouverneurs de la rosée« L’amour de Jacques Roumain pour sa terre natale transpire dans chaque mot, dans chaque phrase. On sent les heures de contemplation des paysages haïtiens dans les descriptions des alentours du village de Fonds-Rouge, on sent la tendresse infinie envers le peuple haïtien dans la description des hommes et des femmes qui habitent ce village. Le créole, de même, est omniprésent. Les quelques mots intraduisibles ou volontairement non traduits, comme chez Istrati les mots roumains, tsiganes ou turques, avec l’oralité incroyable des dialogues, nous transposent en terre haïtienne pendant les quelques heures de lecture. En quoi un roman écrit dans les années 1940 et qui décrit une situation bien particulière arrive à parler au-delà des décennies à des personnes vivant une toute autre réalité ? C’est peut-être là qu’on peut commencer à parler d’œuvre intemporelle ou bien de chef-d’œuvre. Tout en pesant ces mots, cette qualification s’impose. La quatrième de couverture nous le présente ainsi (comme oh combien de quatrièmes de couverture), mais c’est seulement en refermant le livre, des semaines plus tard, avec toujours l’écho des chants des coumbites dans les oreilles et les paysages désolants des mornes haïtiens dans les yeux qu’on acquiesce. La rencontre a bien eu lieu et nous en sommes reconnaissants. » Librairie Kyralina