« Une autoroute, et une dizaine de personnages enfermés dans leurs voitures ; certains grandioses, d’autres minables, certains ayant réussi leur vie, d’autres l’ayant gâché. Avec pour horizon, au bout de la longue ligne d’asphalte, ce destin commun qui est la triste condition humaine. 

Après le magnifique Garçon, le secret Marcus Malte continue dans Aires à creuser son style jazz-rock et ses ambitions de démiurge : il réussit, avec cette observation désabusée de l’être humain, le roman d’aujourd’hui, pointant du doigt la globalisation du monde et montrant en même temps la singularité de chaque existence. Drôle, ravageur, indigné, ce très beau livre digne et colérique ! » Fabrice Andrivon, librairie Le Haut Quartier — Pézenas