« Suivre les pas du jeune Alter de son petit shtetl au ghetto de Lodz. Savoir que tout se terminera encore plus mal que cela n’a commencé et pourtant se raccrocher à la beauté des mots de l’auteur, se prendre à rêver que la réalité est autre, comme cet enfant qui ne peut vraiment croire à l’enfer grotesque devenu son quotidien.

Un monument de la littérature à mettre en avant dans le foisonnement de la rentrée, absolument. » Aurélie Barlet, librairie La Pléiade — Cagnes-sur-Mer