« Depuis 2017, la situation au Xinjiang (province la plus à l’ouest de la Chine) se dégrade, des camps dits de “rééducation politique” fleurissent en territoire ouïghour. Plusieurs millions de Ouïghours et de Kazakhs y sont enfermés, souvent pour avoir revendiqué leur culture propre. Parmi les détenus, se trouvent des centains d’intellectuels et d’artistes. Dans ces prisons, les femmes sont parfois violées voire même stérilisées. Un plaidoyer court mais poignant pour attirer l’attention sur une catastrophe se déroulant dans l’indifférence quasi générale. » Librairie Compagnie (Paris)