« Un classique norvégien des années 70, d’une incroyable modernité. À Égalie, société matriarcale, tout le monde vit, pense et s’exprime au féminin. Dure époque pour les hommes, soumis, entravés et réduits à un rôle très secondaire. On rit souvent, avec un brin de mauvaise conscience, et puis l’amusement se transforme en effroi devant le sort que réserve Égalie aux citoyens de seconde zone. Un roman captivant, une prouesse de traduction par Jean-Baptiste Coursaud. » Marion, Le Vent Délire – Capbreton