« Un paisible village perdu au fin fonds d’un désert n’est relié au monde extérieur que par une unique petite route, empruntée chaque matin par un autocar qui va de ville en ville et y marque un arrêt.
Un matin le car ne vient pas, les militaires arrivent, bloquent la route, sans donner d’explications, provoquant stupeur et sidération.
C’est le début d’un huis clos incompréhensible qui va petit à petit conduire le village au chaos, à la recherche de boucs émissaires, se mettant entre les mains des plus vils et manipulateurs… Mais dans ce chaos la vie va trouver son chemin : des opprimés, révoltés, vont partir sur les chemins de l’exil pour renaître… et revenir bien plus tard regarder les oppresseurs en lambeaux restés au village.
Une merveilleuse fable sur l’enfermement et ses conséquences dramatiques, sur l’exil, la renaissance. Une ode aux opprimés, aux révoltés, parsemés de magnifiques poèmes qui tracent le chemin de la vie et de la beauté. Une fable d’espoir qui met en garde contre les enfermements et montre les chemins de la liberté, de la création. » Cyril D., librairie La Comédie humaine – Avignon