« Zanzibar, fin du XIXe siècle, île mythique nommée Ungura en Swahili… Partant d’un épisode lointain tragique, le roman s’intéresse davantage à l’humain pour en faire un caustique mélange de prosaïque grivois aux accents de mythe et aux fragrances de santal. Si nombre de personnages sont fustigées pour leur bêtise et leur monstruosité, seule reste Uhuru, la chanteuse d’Unguja, et dans son sillage la princesse Salima et Sundus, qui incarnent la liberté de l’esclave émancipée, la liberté d’aimer et de créer. » Sophie, librairie Le Vent Délire – Capbreton