« Dans le Ghetto de Lodz, Pologne, 1941, sous les remparts de la honte où tout semble tombeau, les rires, les larmes et les chants s’entrecroisent dans une ode puissante à lenfance, à lart et ceux qui résistent vainement à leffroi du chaos.
De sa langue précise, vibrante dune poésie aux éclats lumineux, qui nous emporte comme la mélancolie dun chant yiddish, Hubert Haddad dit la vie qui saccroche au beau milieu des jeux de dupes et des illusions, des visages de cendres et des mains crispées de labeur.
Un roman qui sonne comme une course effréné contre lillusion de liberté.
Un
grand roman sur ce quil reste quand lon est dépouillé de tout et une voix comme nulle autre, une voix qui vous agrippe les tripes et sait vous arracher un sourire dans l’anti chambre du néant.
Magnifique, déchirant… Et tellement nécessaire ! » Mathieu Lartaud, librairie Decitre — Grenoble