Mercè Rodoreda

Mercè Rodoreda

Mercè Rodoreda (1908-1983) fait ses premiers pas en collaborant à de nombreuses éditions telles que La Veu de CatalunyaLa Publicitat ou Mirador, en publiant notamment certaines nouvelles qui seront plus tard recueillies dans Comme de la soie (Actes Sud, 1961). De ces quatre premiers romans, elle ne sauve qu’Aloma (1937). Elle s’exile en France en 1939, puis à Genève, où elle écrit La Place du Diamant (1962), considéré comme le roman le plus important de la littérature catalane d’après-guerre. De son exil en Suisse datent également Rue des Camélias (Prix Sant Jordi 1966), et Une baleine nommée Cristina et autres nouvelles (1967). Elle retourne en Catalogne en 1972, après la mort de son compagnon à Vienne, où elle achève son œuvre la plus ambitieuse, Mirall trencat (1974) et le recueil de nouvelles Voyages et Fleurs (1980). Son dernier roman, Tant et tant de guerre, a été publié en 1980, date à laquelle elle reçoit le Prix d’honneur des lettres catalanes. Son œuvre, traduite du catalan en vingt-sept langues, a été découverte et traduite en français pour Gallimard par le poète occitan Bernard Lesfargues.

Bonus

« Apulée prouve qu’elle
est devenue une revue
incontournable du paysage
de la création contemporaine,
ouverte au monde
et aux langues, foisonnante,
politique, inventive. »

Elara Bertho, Diacritik

« Une revue
magnifique ! »

Marie-Hélène Fraïssé,
France Culture

« Dans cette revue, on joue avec les langues, dans tous les sens, avec des textes en regard pour pouvoir voir l’original. »

Yvan Amar, RFI   

« Il y a du beau monde à l’affiche de cette nouvelle revue annuelle “de littérature et de réflexion” […]. Des écrivains tournés vers la découverte, de l’autre ou du monde. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération