Marie Bardet

Marie Bardet

Jusqu’à la parution de son premier roman À la droite du père aux éditions Emmanuelle Collas (sélection de printemps du Renaudot 2018), Marie Bardet se serait coupée la langue plutôt que d’avouer qu’elle est née de Vichy. Cette ville d’eau qui fut un fleuron du thermalisme colonial avant de devenir la cité du maréchalisme où elle a grandi lui a inoculé, outre un irrémédiable sentiment de culpabilité, une curiosité souvent irrévérencieuse qu’elle a employée dans le journalisme jusqu’en 2008. D’abord fragmentaire, poétique, son écriture bondit vers le roman et explore la filiation, la mémoire, la fabrique de l’identité. À paraître : Babylift, roman.

À lire dans Apulée #4 : « Via luminosa »

 

« Un jour un amoureux pleurait, les mains sur la figure… »

À lire dans Apulée #3 : « Camp de Rivesaltes : les mânes du Drancy de la zone libre », un dossier présenté et coordonné par Marie Bardet, avec des contributions de Georges Bartoli et François Moulignat.

Et dans Apulée #2 : Je veux mourir à mon nom.


Bonus

« Ouvrir la revue Apulée, du nom de cet auteur berbère qui, avec les Métamorphoses, ouvrit au IIe siècle une brèche de liberté aux littératures de l’imaginaire, est toujours un moment magique. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération   

« Une revue
magnifique ! »

Marie-Hélène Fraïssé,
France Culture

« Dans cette revue, on joue avec les langues, dans tous les sens, avec des textes en regard pour pouvoir voir l’original. »

Yvan Amar, RFI   

« Il y a du beau monde à l’affiche de cette nouvelle revue annuelle “de littérature et de réflexion” […]. Des écrivains tournés vers la découverte, de l’autre ou du monde. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération