Delphine Durand

Delphine Durand

Née à la fin des années 70, elle s’engage pour quelques années dans des recherches théologiques et philosophiques sur William Blake, la mystique soufie et la Kabbale, Dante et Ibn Arabi. Conférencière, elle s’attache au dialogue inter-religieux et à la science des cultures et des spiritualités comparées ainsi qu’au cinéma et à l’histoire de l’art. Elle a publié quelques études et articles dans La Revue de Téhéran (La mystique de l’absence chez Sadeq Hedâyat, 2015 ; Nezami, Ruzbehân, Dante et Gustave Moreau chantres de l’Eros sublime, 2015 ; Apulée au miroir de la mystique iranienne, 2017). Historienne de l’art et de la littérature de la fin du XIXe siècle et de l’art symboliste elle écrit pour plusieurs revues (« De l’épiphanie du poison à la danse des tréponèmes », La Revue des Lettres Modernes, Minard, 2016), « Crise ontologique et poison des pierreries. Du Christ à Salomé » (Le Corps empoisonné, Classiques Garnier, 2014). Publie des anthologies (L’Ange noir, La Bibliothèque, 2013 ; Victor-Emile Michelet Proses poétiques, Le Visage vert, 2011 ; Chant de désir, chant de mort, Le Visage vert, 2013). Elle publie des poèmes dans la revue Apulée depuis 2016 et dans Les Cahiers Milosz (Le cœur sauvage de l’étranger, 2016). Elle publie aussi dans la revue en ligne KEDISTAN (Dans la geôle d’Amed, 2019 ; Zulfikar Tak et la torture ; « Zehra Dogan, lierres, poésie, pouvoir de création »). Elle vient de publier son premier recueil Connaissance de l’ombre (avec les peintures de Serge Kantorowicz) aux éditions du Réalgar.

Bonus

« Ouvrir la revue Apulée, du nom de cet auteur berbère qui, avec les Métamorphoses, ouvrit au IIe siècle une brèche de liberté aux littératures de l’imaginaire, est toujours un moment magique. »

Alexandra Schwartzbrod, Libération   

« Une revue
magnifique ! »

Marie-Hélène Fraïssé,
France Culture

« Le titre de ce quatrième numéro, Traduire le monde, confirme bien la mission de passeur (…) que son rédacteur en chef, Hubert Haddad, revendique et pratique avec générosité. »

Thierry Cécille, Le Matricule des anges