Sur les vingt-sept chapitres initiaux de Mon ami Kronos, en voici huit qui en gardent tout l’esprit, resserrant par force la confrontation – ou l’affrontement – de l’écrivain avec Kronos.
« J’aurais peut-être mieux fait d’employer mon temps à autre chose » confie-t-il non sans provocation. Impossible, le Temps ne le lâche plus. Ni le lecteur qui a pris le temps de prendre du temps au temps. Par pur plaisir.