« La structure, le projet même du livre est la diaspora. C’est un livre foisonnant d’histoires et les lecteurs me disaient souvent qu’ils étaient perdus, que mon roman était déséquilibré, mais c’est justement ce sentiment-là que l’on ressent dans la diaspora. »

Ubah Cristina Ali Farah, « Littératures sans frontières » sur RFI