« Sans crainte d’écorner les tabous, le jeune nouvelliste décrit, avec une précision cruelle, comment la police nigériane, qui tabasse comme on respire, rackette les automobilistes (sauf les riches) ou viole les prostituées, est composée de bons gros machos ordinaires, qui adorent leurs enfants et s’appuient, pour se supporter, sur l’amour de leurs gentilles épouses. »

Catherine Simon, Transfuge