« On retrouve dans Le Charme des après-midi sans fin ce qui faisait la
beauté de la trilogie autobiographique de Marcel Pagnol : les jeunes années d’un enfant insouciant qui commence à goûter la vie, la présence de personnages attachants qui nous émeuvent, une nostalgie douce-amère qui nous touche. Car Dany Laferrière – et c’est là la force de ses livres – sait toujours, à partir de souvenirs ou d’expériences personnelles, toucher à l’humaine condition. Il se dépasse, nous emporte avec lui et nous emmène plus loin. Toujours plus loin. C’est en ce sens qu’il est un grand écrivain, un écrivain universel. »

Arnaud Genon, La Cause Littéraire