« Car le souvenir de l’issue finale éclaire alors d’un jour neuf tel passage apparemment anodin, tel geste d’abord inaperçu, telle parole à laquelle on n’avait guère prêté attention et qui se relèvent au bout du compte comme les pièces essentielles d’un puzzle diabolique. Comme si l’auteur cherchait à nous faire entendre entre les lignes qu’une vie ne peut jamais être déchiffrée qu’à la seule lumière de la “fin de partie” qui en aimante tout le cours d’une façon invisible. »

Jean-Pierre Sicre