« [Anjana Appachana] sait dépeindre de manière cocasse un thé entre mères dépassées et faire passer avec finesse les colères d’une fillette de 5 ans. Son humour laconique, teinté d’une poésie toute personnelle, fait le le sel de ce recueil au féminin pluriel. » Le Figaro littéraire, Françoise Dargent.
« Rien de mélo dans Mes seuls dieux, au contraire, il en émane une énergie combative. » Elle, Isabelle Lortholary.