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« Était-il un obsédé sexuel ? Un pornographe ? Oui sans doute, mais étourdissant. Sinon on l’aurait oublié depuis longtemps. Les habitués de Venise y trouveront une autre ville que celle qu’ils connaissent. C’est la Venise des casini (pluriel de casino), des ridotti, des couvents, des boutiques de café, des bastioni, les dépôts de vin, des pestrini, les crèmeries, où l’on ne vendait pas que de la crème, nous raconte Pascal Dibie dans sa préface érudite et ironique. Dans laquelle il dit aussi de Baffo : “L’homme qui ne tue pas ses rêves aimera toujours.” »

Alain Hervé, Le Magazine littéraire.