« Deux cents pages sans une virgule de trop d’une folle cavale et d’un brutal fait divers tel un Truman Capote enfiévré, mais dont Piglia use surtout pour brosser le portrait implacable de cette Argentine péroniste où le gris devint la norme, prélude à la dictature militaire qui s’y installera bientôt. »

Focus Vif