Les « bons sentiments » chez Wenz n’empêchent pas la bonne littérature. Mais par la grâce de son humour, confronté à la rude immensité du bush, ils concrétiseraient même, au contraire, un regard quasi ethnologique sur une humanité constituée souvent d’aventuriers et d’anciens bagnards.
Avec une puissance expressive d’un grand naturel pour son époque, les romans de Paul Wenz reflètent l’héroïque, tangible et très onirique appropriation d’un paysage hors normes, solaire et infini, contre lequel l’homme solitaire bute à chaque seconde de l’éternité.