Songfen Guo

Songfen Guo

Guo Songfen, né en 1938 à Taipei, est mort à New York en juillet 2005. Il appartient au « groupe moderniste » de Taiwan avec Wang Wenxing (La Fête de la déesse Matsu, Zulma, 2004), Bai Xianong, Cheng Ruoxi ou Li Yu qu’il a épousée. Devenu enseignant à l’université de Taipei, il prend part à diverses activités théâtrales, critiques et cinématographiques.
En 1966, il se rend aux États-Unis et obtient un diplôme de littérature comparée à Berkeley. Ses engagements politiques vont le rendre indésirable à Taiwan. Il finit donc sa vie en exil, en se consacrant à l’écriture.

Guo Songfen est traduit pour la première fois en français.

Songfen Guo chez Zulma

Bonus

« L’écriture de Guo Songfen
est douce, comme polie,
enveloppant le lecteur
dans un baume. »

Isabelle Bordes, Ouest France

« Un texte mélancolique et triste sur le destin tragique d’une femme amoureuse et d’un homme qui la délaisse pour son engagement. »

Librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil

« Un roman qui laisse
le lecteur proprement
abasourdi. »

La Liberté

« Une écriture qui allie force calme et finesse. »

Véronique Rossignol, Livres Hebdo

« Brossée par petites touches poétiques
et délicates, l’histoire individuelle
d’un jeune couple finira par se fracasser
contre des évènements
qui les dépassent. »

Chine Plus

« Un récit au plus près
des corps et d’une intimité
finalement impossible. »

Taïwan Aujourd’hui