Katja Oskamp
Marzahn, mon amour
Katja Oskamp Marzahn, mon amour

Roman traduit de l’allemand par Valentin René-Jean

Dublin Literary Award 2023




Coups de cœur des libraires

« À la suite d’une reconversion professionnelle, l’autrice-narratrice dont la carrière littéraire bat de l’aile, devient pédicure dans la ville de Marzahn, en ex-RDA, quartier Berlin-Est.
Sous ses mains vont défiler des centaines de pieds, parmi lesques ceux de ses habitués : Frau Guse, Herr Paulke ou encore la mère et la fille Noll. Et à l’occasion de ces soins d’une petite heure, c’est toute la vie du quartier que l’on voit défiler, son histoire prise dans la grande, et toutes ces individualités qui, mises bout à bout, font la magie du quotidien, le sel de la vie, au gré des rencontres.
Avec Marzahn, mon amour, les éditions Zulma publient une nouvelle fois une petite pépite littéraire, où les rencontres authentiques oscillent entre l’humour et le tragique. » La Librairie imaginaire à Annecy

« La narratrice est écrivaine. Elle décide de changer de vie et devient pédicure (à Marzahn, un quartier de Berlin). Dès lors, au quotidien, elle s’occupe certes des pieds de ses patients, mais surtout elle les écoute, avec attention et bienveillance. Il y aura des moments drôles, d’autres très émouvants, car tous se confient à elle et en ressortent plus légers. Nous sommes les témoins de petites scènes de vie qui forment une mosaïque vibrante d'humanité. Un roman qui donne le sourire aux lèvres et qui fait chaud au coeur ! » Frédérique de la librairie Le goût des mots à Mortagne-au-Perche

« La vie à hauteur de pied !
La subtilité de l’humour et l’élégance de l’écriture font merveille dès les premières lignes et nous embarquent à la rencontre des habitants de Marzahn, quartier à l’Est de Berlin. Lorsque les épreuves disloquent la vie de ces héros anonymes et héroïnes du quotidien, la grâce n’est jamais loin. Délicat et touchant. » Laure de la librairie Les Mots bleus à Fontaines-sur-Saône

« Reconversion réussie ! Allemagne de l’Est, une romancière sans grand succès se reconvertit en pédicure. L’occasion pour la narratrice de nous parler de son quotidien et de brosser des portraits de clients aussi subtils que divertissants. 
Un roman original et empli d’humanité… une pépite à découvrir sans attendre ! » Isabelle de la librairie L’Autre monde à Avallon

« Katja Oskamp a la quarantaine. Elle s’ennuie dans la vie et décide de devenir podologue à Berlin-Marzahn, autrefois la plus grande zone de préfabriqués de RDA. Elle réussit à rendre compte de la particularité de ses clients avec respect et sincérité. Certaines personnes ont été marquées par le passé totalitaire de l’ex-RDA mais se confrontent aussi à la vieillesse, la maladie, la perte.
Des histoires pleines d’humanité et d’humour, des merveilles sur l’être humain lui-même vu de ses pieds. » Véronique de la librairie Fontaine Passy à Paris

« Un roman délicieux, attendrissant, parfois touchant, à la limite d’un petit recueil de nouvelles, l’histoire d’une écrivaine devenue pédicure à Marzahn, banlieue berlinoise de l’ex-RDA. Un mélange de bienveillance et d’écoute tout en soignant la partie la plus moche du corps... les pieds ! » Delphine de la librairie Grangier à Dijon

« Quand les habitants d’un quartier de l’ex Berlin-Est se confient à leur pédicure, cette dernière maniant aussi bien le coupe-ongles que le stylo, cela donne cette petite pépite d’humanité et un gros coup de cœur de cette rentrée. » Brigitte de la librairie Calligrammes à La Rochelle

« Quelques pages de pure humanité. » Alexandra de la librairie L’Armitière à Rouen

« Comment un salon de pédicure peut se transformer en un lieu d’humanité dans un quartier de Berlin de l’ex RDA. C’est fin, tendre et drôle. » Librairie Siloë Sainte Cécile à Albi

« Une merveille de roman. Katja, ancienne écrivaine reconvertie en pédicure, nous raconte son quotidien. Nous faisons connaissance avec ses clients qui viennent prendre un moment pour eux, un moment privilégié qu’elle nous partage sans regret aucun avec son ancienne vie professionnelle. Un magnifique roman sur les relations humaines, à déguster ! » Patricia de la Fnac de Quimper

« Une bouffée d’air frais !! C’est pétillant, touchant ! De l’humour et une bonne réflexion sur notre société. Vive les pieds et les confidences. » Librairie Jaubert à Riez !

« Une écrivaine, la quarantaine, devient pédicure. Au fil du texte, elle nous livre les portraits de quelques un(e)s de ces client(e)s. Des cœurs cabossés, des pieds rongés par la vie, des vies heureuses et d’autres heurtées... Et nous voilà embarqués et ballottés pendant ces pages où la petite et la grande histoire se mêlent et se disputent dans l’est et l’ouest de Berlin réunifiés ! C’est une comédie pleine charme, distillant de vraies leçons de vie dans une verve délicieuse, tant la podologue est à l’écoute des ses patient(e)s. Marzahn, mon amour est un roman enchanteur qui se garde tout près du cœur. Sans aucun doute , Katja Oskamp donne ici envie de fréquenter autant ses romans que son cabinet de posologie à Marzahn ! » Cathy de la librairie La Boîte à livres à Tours

« Contre la vie dure, la pédicure ! Une histoire pleine d’humanité dans un Berlin contemporain et à travers des portraits tendres et inattendu. Un shoot de bienveillance ! » Librairie Curieuse – Saint-Briac-sur-Mer

« Marzahn mon amour fait partie des premiers livres de la rentrée littéraire que j’ai lus et j’ai été conquis par l’histoire de cette femme qui décide de se reconvertir en pédicure et qui reçoit ses patients dans son cabinet situé à Marzahn, à l’est de l’ex Berlin-Est. Le livre et à la fois réaliste, plutôt bienveillant, plein d’humour, parfois grave aussi, il nous distille à travers les portraits de ces femmes, ces hommes, ces couples, ces enfants qui s’accordent une pause hors du temps, le temps de se faire bichonner les panards, une image en creux de ce quartier populaire qui a aussi ses pépites, un kaléidoscope d’instants de vie qui nous apprend beaucoup sur la mentalité de ces personne qui pour beaucoup ont connu la partition de la ville et du pays. L’autrice mêle à ces récits reconstitués au fil des rendez-vous, sa propre existence, de son trajet en tram pour venir bosser tous les matins à ses rares journées de bon temps qu’elles s'accordent parfois entre copines. Rafraîchissant, réjouissant et réconfortant ! À lire en sirotant une bière dans la Kneipe du Kiez (bistrot du quartier in Französisch) ou en flânant dans les Jardins du Monde. » Patrick de la librairie Le Fil rouge à Strasbourg !

« Une podologue exerçant à Berlin nous raconte ses journées. Entre les habitué·es, les cocasses et les rageurs. C’est autobiographique et très joyeux. On irait presque faire un tour chez le / la podologue après la lecture. » Le Comptoir des lettres – Paris

Un des coups de cœur de la rentrée littéraire pour la librairie Lise & moi à Vertou !

« Tendre. Lassée de se voir refuser ses manuscrits par les éditeurs, notre héroïne décide de se reconvertir comme pédicure. Ce court récit est une galerie de portraits de ses clients. Vous serez touché par l’humour tendre et décalé de Katja Oskamp qui on l’aura compris est elle-même écrivaine et pédicure. » Alix de la Fnac Saint Lazare

« Nos pieds en ont des choses à nous raconter ! Pédicure après pédicure, on sympathise avec une palette de personnages hauts en couleur, des tranches de vie aussi drôles que touchantes. Une petite bulle de bonheur toute droit venue de Berlin-Est ! » Ana de la librairie Les Nouveautés – Paris !

Un des favoris de la rentrée littéraire de la librairie L’Embellie à Paris !

« Ce livre, c’est le pied ! Un joli roman solaire et lumineux tout droit venu d’Allemagne. À 40 ans, une écrivaine plaque tout pour faire une formation de podologue. Elle soigne les pieds mais surtout les âmes de ses patients dont elle raconte l’histoire dans chaque chapitre. Un hommage à tous les habitants de Marzahn, un quartier préfabriqué à Berlin, anciennement de la RDA. Un petit bijou tout tendre et plein d’humanité ! » Manon du Furet du nord – Lille

« Le bonheur est dans le pied ! Portraits d’habitants d’un quartier populaire de Berlin, parfois féroces, souvent cocasses, toujours tendres. Un souffle d’humanité, discret mais tenace, se faufile entre les barres d’immeubles. » Librairie Passages – Lyon

« Passer d’auteur sur le déclin à pédicure, une folie ? Non, pas pour notre personnage principal qui parle du quotidien des autres dans ce roman. Au coeur de Marzahn, quartier ouvrier d’ex-RDA, où se pose notre décor, des petits fragments de vies ordinaires s’enchaînent au fil des chapitres. Un roman touchant, composé avec douceur et respect. Une belle expérience de lecture pleine d’humanité et de bienveillance vis-à-vis de ceux dont on parle trop peu. » Librairie Durance – Nantes

« La vie comme elle va, dans cette banlieue d’ex-Allemagne de l’Est, qui a laissé les gens de peu sur le carreau, décrite depuis le cabinet de … pédicure (!!) de la narratrice. Attachant. » Élodie, Librairie de Paris – Saint-Étienne

« J’ai tout simplement adoré Marzahn, mon amour ! C’est beau, c’est tendre, c’est drôle, c’est touchant, c’est émouvant, c’est simple, c’est magnifique ! Une nouvelle pépite ! » Islem de la librairie des Marais – Villefranche-sur-Saône

« Dans ce premier roman traduit de l'allemand, une autrice devenue podologue montre que derrière chaque paire de pieds se cache une histoire intime, qui souvent se lie à l'Histoire avec un grand H. Un de ces textes où le merveilleux se dégage de la vie des gens les plus ordinaires. Une lecture qui fait du bien ! » Librairie de Paris (Paris)

Une très jolie pépite qu'on lit avec douceur

« Ni jeune ni vieille », envahie par la crainte de se noyer au beau milieu du grand lac de l'existence, une écrivaine allemande se reconvertit : elle s'occupera dorénavant des pieds des autres. Un changement de cap qui déroute son entourage lettré, mais qu'elle prend à cœur et au sérieux. Car finalement, quoi de plus important que les pieds, pour qui veut continuer d'avancer ?
Avec un respect et une humilité qui n'empêchent pas quelques touches de légèreté, elle dresse le portrait de ces personnes, souvent âgées mais parfois pas, qui viennent lui confier leurs orteils à masser, leur corne à poncer, leurs ongles à limer – et leurs petites histoires à écouter. L'oreille patiente et les mains douces, Katja accueille toutes leurs fêlures et cabossures.
Ce sont des habitant·e·s du quartier, ce Marzahn dont le titre proclame tout l'amour qu'elle lui porte. Un quartier de l'ex-Berlin-Est un peu grisaille, un peu sans-le-sou, avec les mille-et-une anecdotes que cela suppose. Entre ceux qui viennent en couple, celle qui retrouve systématiquement son chien à la sortie, ou encore l'étrange ancien fonctionnaire de RDA, elle se prend d'affection pour ces personnes pour qui elle se sent enfin utile. Le texte de Katja Oskamp est une vraie réussite, humaine et littéraire, une très jolie pépite qu'on lit avec douceur... presque sur la pointe des pieds ! » Magali, La Géosphère à Montpellier

« Une romancière, et si l’on comprend bien, c’est l’auteure elle-même, Katja Oskamp, décide un beau jour de mars 2015, faute d’avoir réussi à convaincre un éditeur d’accepter ses nouveaux manuscrits, de participer à une formation de pédicure. Et la voici, bientôt, titulaire de son nouveau diplôme, rejoignant le cabinet d’esthéticienne de son amie Tiffy dans le quartier populaire de Marzahn, un arrondissement périphérique de Berlin, connu pour avoir été la plus grande cité de préfabriqués de l’ancienne RDA (un quartier, dont elle apprendra, d’ailleurs, de la bouche d’un de ses premiers clients, qu’il a été bâti sur « la merde de Berlin », un vaste champ d’épandage). Affirmant devant la fille d’une de ses anciennes collègues romancières que, « chez les gens, pieds et mains sont assortis », elle s’aperçoit rapidement surtout que les pieds sont trop souvent les miroirs de l’âme… Son cabinet de pédicure, dirigé par la « secrète ambition de voir chaque client repartir plus enjoué qu’il l’était en arrivant », devient, dès lors, le refuge de tous les éclopés de la vie du quartier et de quelques indésirables, dont elle s’efforce de repérer le défaut de la cuirasse. Chaque chapitre évoque une consultation, dont le patient ressort les pieds réparés et le cœur redressé, et l’on s’enchante du gai savoir psychopédicurologique de Frau Oskamp ! La journée de congé au Spa des trois collègues de l’institut au Spa du coin achève de nous réjouir, faisant oublier les détails plus graves de la vie quotidienne du quartier, le harcèlement d’un petit fonctionnaire maniaque à la retraite (qui « n’a pas plus de contact avec ses pieds qu’avec sa famille »), le suicide d’une voisine russe ou les maladies trop lourdes de certains visiteurs.

Marzahn, mon amour est une comédie pleine de charme, distillant de vraies leçons de vie dans une verve délicieuse, tant la podologue a la langue bien pendue. Et sans doute cette expérience aura-t-elle contribué à guérir ses inhibitions de romancière… Toujours est-il que Katja Oskamp donne ici envie de fréquenter autant ses romans que son cabinet de podologie à Marzahn ! » Vincent, Librairie Lafontaine à Privas

« La crise de la quarantaine, un mythe ou un réel bouleversement ?

À 44 ans, Katja fait le bilan d‘un quotidien où rien ne va plus vraiment. Alors qu‘elle est écrivaine, elle décide de se lancer dans une formation pour devenir pédicure. Ses proches sont pour le moins effarés mais elle a trouvé un nouveau cap et s‘y tiendra.

Embauchée dans un institut de beauté à Marzahn, quartier haut en couleur de l‘est de Berlin, elle s‘occupe jour après jour de centaines d'orteils et de pieds derrière lesquels se cachent toute une galerie de personnages que Katja nous livre avec un humour teinté de tendresse.

Durant ces séances où elle lave les pieds, enlève la corne et masse, ses patients s‘épanchent et font revivre le Berlin Est des années d'après-guerre à la chute du Mur.

Comme elle le dit à ses collègues au détour d‘une conversation, les pieds ne suffisent pas. Ce nouveau travail la révèle au monde de façon différente mais les mots gardent une place essentielle dans son existence.

Au fil des pages on se laisse porter par la force tranquille qui émane de cette femme qui semble avoir trouvé sa place, on glisse avec elle doucement dans l‘invisibilité qu‘elle sent l‘envelopper en approchant de la cinquantaine et on se dit comme elle que finalement la vie est belle.

Une très jolie découverte que ce roman. » Aurélie, La Pléiade à Cagnes-sur-Mer

« Pédicure n’est pas un métier simple et pas forcément très glamour pourtant c’est le métier choisi par Katja quand elle cherche à se reconvertir. Dans ce livre, elle nous raconte avec respect et humour ses différents patients, leurs habitudes et leurs vies.

Dans chaque soin qu’elle leur prodigue, on ressent toute sa tendresse envers eux. Beaucoup d’humanité se dégage de ces instants partagés, on ressort de ce livre le sourire aux lèvres et avec l’impression d’avoir rencontrer une belle personne en rencontrant Katja Oskamp. » Virginie, Librairie La Pléiade à Cagnes-sur-Mer

« À 42 ans, une écrivaine ratée dresse un état des lieux de son existence : entre ses enfants absents, son mari malade et ses manuscrits refusés par les éditeurs, elle se sent définitivement invisible. Aussi décide-t-elle de tout plaquer pour se lancer dans une reconversion professionnelle inattendue en devenant pédicure. Chaque jour, elle emprunte les transports en commun en direction du quartier de Marzahn et du petit salon d'esthétique dans lequel elle officie. Elle reçoit aimablement ses clients et, tout en exfoliant les talons, soignant les ongles incarnés et massant les pieds endoloris, elle les écoute raconter leur quotidien, leurs petits bonheurs et leurs intimes souffrances. Il y a Peggy, la femme aux pieds soignés qui s’offre une séance de pédicure en attendant que son chien sorte de chez le toiletteur. Il y a Fritz et ses pieds "d'une beauté antique", abîmés par les chaussures de sécurité, qui gravit quotidiennement les marches des quinze étages de son immeuble pour se maintenir en forme. Il y a la Mère Noll qui sourit quand la fraiseuse vrombit et en oublierait presque, l'espace d'un instant, sa solitude et sa fille tyrannique. Il y a Herr Pietsch qui fut un homme important, du temps de la RDA, et qui vient faire soigner ses pieds de randonneur tout en espérant trouver une femme à qui faire l'amour. Autant de tranches de vie qui se déploient dans un murmure, un sourire, avec pudeur ou décontraction, les pieds enveloppés de lotion exfoliante et les ongles taillés avec précaution. Sous la lime de la pédicure, les coeurs s'ouvrent et les langues se délient, les regrets se chuchotent, les larmes se ravalent et les rires fusent aussi vite que les potins. Katja Oskamp nous offre une comédie humaine bourrée de tendresse, racontant les liens qui se tissent de façon inattendue et l'importance que revêt l'intérêt que l'on porte à ses semblables. Un récit doux et réconfortant dont les héros, abîmés par la vie, racontent le quotidien de Marzahn, quartier populaire au demeurant peu propice au rêve, qui fut la plus grande cité de préfabriqués de RDA. Un petit trésor d‘humanité et d'authenticité qui illumine cette rentrée littéraire. » Evelyne, La Petite Libraire d’Ars-sur-Moselle

« Un roman plein de charme faisant le portrait de la vie des gens de peu, cabossés mais attachants. Un petit bijou de douceur qui est aussi une ode à la bienveillance ! » Amandine, Librairie du Centre – Fernay-Voltaire

« Pédicure à Marzahn, quartier de Berlin est, Katja nous raconte ses patients aux pieds abimés dont elle soulage les maux. Des histoires simples, ordinaires, semblables à beaucoup d'autres. Mais sous la plume empathique de l'autrice, les vies s'animent et étincellent d'amour et d'humanité. » Sylvie, Fnac de Nice

« Une autrice de romans se reconvertit dans la pédicurie et nous brosse les portraits de ses clients de l'institut de beauté où elle travaille, à Marzahn, un quartier populaire de l'est de Berlin. C'est tendre, drôle et on s'attache à tous ces petits vieux ! » Marie, Fnac Plouzané

« Le roman se déroule à Marzahn, un grand quartier de buildings en préfabriqué de l’ancienne Berlin-Est. Une écrivaine au succès révolu se reconvertit en pédicure et dans le salon qui l’emploie, elle reçoit des gens du quartier – la plupart du temps des personnes âgées mais pas seulement. Alors qu’elle rafistole leurs pieds cabossés, ses clients lui racontent leur histoire, celle de leurs vies anonymes, faites de déboires et de splendeurs, de rires ou de larmes, peu ou prou marquées par les bouleversements des époques… Des tranches de vie aussi uniques qu’universelles.
Voici une savoureuse galerie de personnages constituée de dialogues pleins de tendresse et de drôlerie ; une réflexion sensible sur la vie qui passe et les liens souvent fortuits qui la trament. Une jolie lettre d’amour à un quartier resté populaire, et à ses habitants, rédigée d’une écriture dont la feinte légèreté dépeint une profonde humanité.
Un petit bijou ! » Librairie Point Virgule à Namur !

« Je l’ai adoré. Quelle humanité ! » Marie de la librairie À livre ouvert – Woluwe-Saint-Lambert

« Marzahn, mon amour est un joli texte avec un kaléidoscope de personnages abîmés par la vie. Superbe. » David, Cultura – Chambray-les-Tours

« Magie de la littérature. Prodige de ce petit joyau d’humanité : Marzahn, mon amour de Katja Oskamp. On ne va pas se mentir, cette année ; les trois titres de la rentrée littéraire de chez Zulma vont sûrement faire carton plein parmi mes recommandations. Ce premier est juste merveilleux. Comment l’histoire d’une ancienne écrivaine, reconvertie en pédicure dans le quartier HLM de Marzhan – Berlin Est – peut il être aussi lumineux ? Il y a lieu je crois, de parler de bienveillance communicative. D’une galerie de personnages cabossés mais attachants à l’extrême. Loin des caricatures. Dans le soin (et les soins) apportés à l’autre. L’envie d’aider. Dans ces petits rituels qui nous font traverser la vie. Très chère Katja Oskamp, votre texte touche. Vos mots pénètrent et apaisent. Notre peur de la mort. Nos craintes d’avoir fait les mauvais choix. Vous réveillez quelque chose en nous qui nous réconcilie dans nos vies. Qui nous reconnecte en nous et aux autres ! N’est ce pas merveilleux, un texte comme celui ci ? À mi chemin de l’existence, comme vous et comme beaucoup, alors que je me débats avec mes certitudes dans ce grand lac que vous décrivez, votre bienveillance provoque une accalmie qui m’apaise. Rarement, sortir de ma zone de confort n’aura eu pareilles retombées. » Guillaume de la librairie L’Aire de Broca – Pont l’Abbé

« Quelle douce poésie que cette lecture ! » Amélie de la Librairie La Grande Évasion à La Gacilly

« Un concentré d’humanité.
Au mitan de sa vie, Katja se reconvertit comme pédicure. Des soins des pieds aux soins des âmes, il n’y a qu’un pas qu’elle franchit allègrement, pleine de bonté et de bienveillance dans ces tranches de vie existentielles, comme des instants suspendus de tendresse humaine. Une merveille ! » Sébastien de la Fnac Bercy

« Une attendrissante et pleine de malice chronique de gens ordinaires, des histoires qui se dévoilent sous les mains d’une pédicure aux oreilles grandes ouvertes. Des coeurs bosselés, des pieds rongés par la vie, des vies heureuses et d’autres heurtées. Et, en creux, l’histoire de l'Allemagne réunifiée. L’est et l’ouest comme deux continents. Katja Oskamp écrit comme une mélodie, le doux ronron des habitudes, la chanson délicate d’un quartier peuplé d’anecdotes et d’existences creusées par des années de labeur.
Un roman doux et chaleureux, la vie dans la vie, l’humanité dans son intime vérité. Une authenticité qui touche et fait sourire.
Marzahn, mon amour, comme si souvent dans le catalogue des éditions Zulma, est un petit enchantement qui se garde tout près du coeur. » Fabien de la librairie Decitre – Grenoble

« Marzahn, mon amour, je l’ai lu comme un recueil de nouvelles. Difficile de ne pas être touché par ces courts portraits de clients remplis d’humanité. La narratrice est très touchante, sa compassion est contagieuse. C’est un très bel hommage aux gens ordinaires, aux invisibles, aux travailleurs, trop peu présents en littérature. Katja Oskamp a toute sa place aux côtés de Zoyâ Pirzâd et Auður Ava Ólafsdóttir. » Camille, libraire Kube

« Tout y est juste, d’une grande authenticité. Aussi âpre que doux... » Lydia de la librairie Les Racines du vent – Chevreuse

« Un livre touchant et poignant qui met en scène les relations de soin et d’attentions tissés entre Katja, pédicure et ses patients et patientes dans le quartier de Marzahn, à Berlin, au cœur des barres d’immeubles. L’autrice trace des portraits humains remplis de dignité autour de la relation du soin des pieds, instrument essentiel mais négligé de la vie de ces travailleurs allemands. » Nathalie et Maia de la librairie le Phare – Paris

« D’une telle vérité, d’une telle réalité. Un texte sensationnel !! » Anne de la Fnac Lyon Bellecour