Coups de cœur des libraires

Lune captive dans un œil mort figure parmi la sélection de la librairie Page et Plume de Limoges
« Un huis clos délicieusement cynique qui ravira les amateurs de romans noirs. » Librairie La Page — Londres (Royaume-Uni)
Lune captive dans un œil mort figure dans la sélection "Littérature française" de la librairie Agora de La Roche-sur-Yon
« Avec l’humour noir qui le caractérise, Pascal Garnier dépeint cette forme de huis clos, cette mini-société qui cherche à se convaincre qu’elle a ce qu’on lui a promis et ce qu’elle voulait.
Mais l’image d’Épinal du paradis sur catalogue se transforme souvent en enfer… Un livre drôle et grinçant, touchant souvent, et qui peint avec acuité notre société qui croit que le bonheur s’achète. » George Bassan, librairie Obliques — Auxerre
Lune captive dans un oeil mort fait partie de la sélection de la librairie des Halles de Niort
« Pascal Garnier excelle pour installer des ambiances harmonieuses, sereines, qu’un grain de sable viendra tragiquement enrayer et faire basculer dans le noir et le tragique. » Librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil
Lu et conseillé par Nathalie Lacroix de la librairie Le Comptoir des mots à Paris
« Les Conviviales est le nom d’une résidence de rêve pour retraités, dans le sud de la France. Sécurité maximum assurée par M. Flesh en personne. Il y a Martial et Odette, Marlène, Maxime, Léa, et Nadine l’animatrice. Tout ce petit monde vit dans un huis clos qui semble bien lisse, jusqu’à cette nuit fatale…
Un petit roman noir, grinçant et surtout réjouissant. » Florence Petitpierre, librairie Fontaine - Victor Hugo — Paris
« Satire du monde sécuritaire, ce roman ne vous fera pas regretter votre séjour aux Conviviales.
Détente et humour garantis. » Librairie Les Guetteurs de Vent — Paris
Lu et conseillé par Isabelle Leclerc de la librairie L’ImagiGraphe à Paris
Lu et conseillé par A. Andruszkow de la librairie du Rond Point - Actes Sud à Paris 
« Pascal Garnier, comme à l’ordinaire, nous amène, l’air de rien, dans un quotidien pas très ordinaire. » Bénédicte, librairie des Danaïdes — Aix-les-Bains
« Un petit monde, des personnages parfaitement croqués qui nous amusent autant qu’ils nous plongent dans l’effroi. » Librairie Vivement Dimanche - L’Ainée — Lyon 
« Pascal Garnier choisit le décor d’une résidence ultramoderne destinée à des seniors argentés pour se livrer à un jeu de massacre d’une vigueur peu commune. Une fable grinçante et virtuose qui nous a glacé le sang.
[…] L’auteur ne cherche pas à se moquer ou à caricaturer ces personnages angoissés, en quête de sécurité, il nous en parle au contraire avec une tendresse et une empathie bouleversantes. Ce sont des Robinson, finalement si seuls, dans ce décor de cauchemar. Après cette lecture, on rêve de métissage, d’espaces ouverts, de partage, merci ! » Wilfried Séjeau, librairie Le Cyprès — Nevers
Lu et conseillé par Marie-Paule Bonnaud de la librairie Contact d’Angers
« Comme souvent chez Pascal Garnier, le roman est construit par crescendo. Le huis-clos devient explosif. À force d’être tenu à l’écart, le monde extérieur finit par terroriser nos résidents. Chacun perd peu à peu son sang-froid… » Nadine Dumas, librairie L’Esprit large — Guérande 
Lu et conseillé par Véronique Marchand de la librairie Coiffard de Nantes
« Chronique cynique de tranches de vies au pays du tout sécuritaire... Habitué du roman noir, Pascal Garnier nous offre ici la chronique cynique de tranches de vies au pays du tout sécuritaire.
« Les conviviales », résidence pour retraités aisés ou tout est prévu pour ne plus être confronté aux aléas du réel ; maisons identiques, aseptisées ou les souvenirs n’ont pas leur place, caméras de surveillances, gardien cerbère, piscine, club house, animatrice culturelle...
Huis clos oppressant entre les seuls occupants de ce « paradis », ou derrière la bonhomie des relations de bon voisinage, les apéros et autres visites culturelles se trame, insidieusement la peur de l’autre, l’autre que l’on jalouse, envie, que l’on soupçonne ou cherche à séduire.
Toute la palette des sentiments humains est ici passée en revue, sans fard ni faux semblants, réinventer sa vie, l’enjoliver, jusqu’ou peut-on faire fi de son passé ?
Derrière cette ambiance club de vacances, apparaît en filigrane le douloureux constat que pour vivre avec les autres, il faut avant tout les accepter, serait-il exacerbé par cette sensation d’enfermement derrière laquelle on sent poindre l’impossibilité de totalement se réinventer.
Amnésie volontaire ou résignation, fascination du pire ou vrai folie, tous ont des secrets, que sont-ils prêt à faire pour les protéger ? » Librairie L’Echappée Belle — Sète
Lune captive dans un œil mort figure dans la sélection de la librairie Sauramps Odyssée de Montpellier
Lu et conseillé par Jean-Pierre Agasse de la librairie Sauramps en Cévennes de Alès
Lune captive dans un oeil mort fait partie de la sélection de la librairie Ombres Blanches (Toulouse) pour janvier 2009.
« Humour et finesse pour un huis clos bien noir. Qui a dit que la retraite ce sont des vacances paisibles ? » Librairie Gwalarn — Lannion
« Pascal Garnier décrit avec finesse et humour une génération qui voudrait s’offrir le bonheur en prime ! » Librairie Graffiti — Waterloo, Belgique
Lu et conseillé par Dominique Paschal de la librairie Prado Paradis de Marseille
Lu et conseillé par Lydie Zannini, librairie du Théâtre Zannini — Bourg-en-Bresse
« Martial et Odette quittent le nord de la France pour acquérir une petite maison dans une résidence privée toute neuve Les conviviales, destinée aux retraités. Elle doit leur assurer le confort, la sécurité et l’animation afin de passer une retraite dorée au soleil. Ils sont les premiers acquéreurs, arrivent ensuite Maxime et Marlène puis Léa. M. Flesh s’occupe de l’entretien du complexe et de sa surveillance, Nadine de l’animation du Club House... Après les apéros d’usage, les bains dans la piscine et autres bronzages ou visites, l’ambiance va peu à peu se détériorer.
Pascal Garnier confirme son talent dans ce roman très maîtrisé tant dans sa construction que dans son écriture. Il distille la tension, crée un suspense effrayant, des effets de surprise jusqu’au climax digne d’un grand roman policier. » Librairie A livre ouvert - Le Rat Conteur — Woluwé-Saint-Lambert, Belgique
« Une fable drôle et grinçante sur l’intolérance. Une mise en évidence que l’insécurité est souvent une vision de l’esprit savamment entretenue. » Librairie Mots et Compagnie — Carcassonne 
« Dénichant les petits travers de chacun et ramenant en surface les secrets enfouis, Pascal Garnier nous renvoie l’image peu reluisante d’une société sécuritaire, sous forme de fable écrite à l’humour noir. Un vrai régal. »
Clo Brion, librairie La Belle Hoursette — Les Vans

« Un petit bijou ! Je découvre sur le tard cet auteur avec ce court roman noir, perle si l’en est, qui nous entraîne dans un huis-clos qui pourrait presque nous faire rire si le drame latent n’était pas aussi perceptible. Avec une grande finesse, Pascal Garnier évoque la vie des seniors, la vieillesse, la solitude, la frustration, la sénilité imminente, l’illusion d’une troisième vie dorée dans ce qui pourrait n’être que leur dernière demeure sur terre. Au travers de sept personnages : deux couples, une femme seule, une animatrice fumeuse de haschich et un cerbère en guise de gardien et d’homme à tout faire, c’est toute la psychologie de l’humanité qui est concentrée dans ce microcosme à priori idyllique mais qui ne saurait tarder à exploser. »
« On leur a vendu une fin de vie idéale au soleil : des maisons confortables dans une résidence sécurisée, avec gardien, dans le sud de la France... le bonheur quoi ! Avec l’humour noir qui le caractérise, Pascal Garnier dépeint une forme de huis clos, une mini-société qui cherche à se convaincre qu’elle a ce qu’elle voulait et qu’on lui a promis. Mais l’image d’Épinal du paradis sur catalogue se transforme en enfer… Un livre drôle et grinçant, touchant souvent, une sorte de "desperate housewives" chez les seniors. »

Jennifer Le Morvan
Lu et conseillé par Jacques Griffault.
« Des personnages pathétiques, voire cocasses, des situations tragi-comiques et surtout l’écriture de Pascal Garnier font de ce livre un pur moment de bonheur.
N’hésitez pas si vous aimez l’humour noir…
JOUISSIF ! »

Stéphanie