Coups de cœur des libraires

« Marcus Malte nous place dans les pas du garçon, vierge de tout, une page blanche qui va s'écrire dans la terre et le sang. Son écriture nue dit tout de cet éveil au monde, aux hommes, à la guerre et à l'amour. » Librairie l’Arbre à lettres à Paris

« Le garçon n’a pas de nom, il a grandi isolé du monde. À la mort de sa mère, il part sur les routes de France, nous sommes en 1908. Sa formation d’homme se fait au hasard des rencontres. Il trouvera l’amour mais aussi la guerre. Il apprend à ses dépens que "l’homme est un loup pour l’homme". On s’attache à ce personnage, on le comprend alors même qu’il ne parlera jamais, ses silences sont d’autant plus fort. Roman fascinant et unique. » Librairie Les Pertuis - St Pierre d'oléron

« Comment parler de ce magnifique roman qu’est Le Garçon de Marcus Malte ? Qu’écrire à son propos qui ne briserait pas l’envoûtement qu’il suscite dès ses premiers mots ? Il faut juste dire que c’est l’histoire d’un enfant sauvage qui se rapproche de la société humaine, après n’en avoir connu que le squelette auprès de sa mère ermite. Nous sommes quelque part au sud de la France, au début du XXe siècle. Et l’histoire de ce garçon sans nom, c’est à la fois celle de ses aventures dans une roulotte, celle d’un amour aussi singulier que lui, celle de la folie humaine qu’on appelle Histoire, celle de ses errances au-delà des mers. Ce récit passionné et fascinant alterne le regard si poétique de ce drôle et attachant Candide, chez qui la musique d’un torrent de montagne suscite une extase aussi intense que celle de la voix aimée, et un panorama englobant l’Europe entière, avec un art magistral de l’intrigue. Un grand bravo et un immense merci pour ce roman, aussi bien écrit que facile à lire ! p. 99 : "Et de grâce faites que le mystère perdure. L'indéchiffrable et l'indicible. Que nul ne sache jamais d'où provient l'émotion qui nous étreint devant la beauté d'un chant, d'un récit, d'un vers" » Pauline, Librairie Les Beaux Titres - LEVALLOIS PERRET

« Roman historique, d’aventure, d’initiation... où un jeune garçon à demi sauvage va traverser le siècle et trouver son humanité. » Librairie Vivement Dimanche - Lyon

« À mi-chemin entre le récit d’apprentissage et le roman historique, Le Garçon de Marcus Malte est ce genre de roman total, réunissant en son sein une somme de genres et de styles. Le génie de Malte réside dans sa narration, portant son personnage comme si ce dernier portait des millénaires en lui. L’ombre de Victor Hugo n’est jamais bien loin tellement la grandeur de ce récit rappelle certains classiques français. » Jérémy Laniel, librairie Carcajou — Rosemère (Canada) 
« Marcus Malte est un écrivain. Avec ce héros insolite, il nous offre des pages superbes, originales, expérimentales. Personne avant lui n’a évoqué la guerre 14-18 comme il le fait. Ovni littéraire pour esprits curieux, ne surtout pas s’abstenir ! » Isabelle, librairie Paroles — Saint-Mandé
« Entre conte initiatique et aventure épique, Le Garçon est un récit enchanteur, d’une rare beauté. Marcus Malte parle de la vie, de l’amour, de la guerre comme peu l’ont fait avant lui : avec des mots justes et ciselés, des mots qui nous remuent ! Unique ! » Librairie Folies d’Encre — Gagny
« Roman qui suit, au début du siècle, la découverte par un jeune homme, muet et solitaire, de l’humanité qui l’entoure, la solidarité, le mépris, l’amitié, la foule, la mort, l’amour et l’érotisme, la guerre (l’autre nom de la folie). Très beau roman plein de fougue, de silence, de joie, de drames aussi... la vie tout entière en seulement 544 pages. » Librairie Dédicaces — Rueil-Malmaison
« Il restera "le Garçon". Sauvage, muet, sans passé, nous le suivrons du début du siècle à la fin de la Première Guerre. Un texte captivant sur la quête de sens, un monde au bord de l’abîme, une langue radieuse : une interrogation sur l’Homme à l’épreuve des hommes. En forme de traversée poignante. » Hugo, librairie Nouvelle — Asnières-sur-Seine 
« Il n’a pas de nom. Il ne parle pas. Le garçon est un être quasi sauvage. Du monde, il ne connaît que sa mère et les alentours de leur cabane. Nous sommes en 1908 quand il se met en chemin, d’instinct. Commence alors, la rencontre avec les hommes, les femmes et leur monde. Bien sûr, il y a eu Victor de l’Aveyron, avant cela le Mowgli de Kipling et plus récemment Le jour des corneilles de Beauchemin. Sur cette thématique de l’enfant sauvage, la littérature ne manque pas. Mais Le Garçon de Marcus Malte a un charme indéfinissable. C’est un livre qu’on ne lâche pas, qui envoûte de la première à la dernière page. Le style. Évidemment. Dans une langue vibrante et sculptée, Marcus Malte nous donne à lire un roman prodigieux, mêlant à la fois la colère et l’indignation, l’innocence et la beauté. Magnifique et complètement addictif ! » Librairie Café Plùm — Lautrec
« L’écriture impeccable de Marcus Malte insuffle à son récit une dimension universelle. » Librairie Le Carré des Mots — Toulon
« Le garçon ne parle pas, ne lit pas, n’a pas de nom. Le garçon, c’est le Garçon. Tous ceux qui le cotoient l’aiment, et c’est réciproque. Dommage qu’ils finissent tous par en mourir. Ce garçon est doué en tout, pour faire l’amour (il excelle) pour faire la guerre (il est surdoué). Il passe... Existe-t-il vraiment ? Est-il juste un révélateur, un passeur ? Que c’est bien écrit ! On pense à Céline, à Boudard, à Vautrin. C’est hard, gouleyant, romantique, atroce. Du grand art ! » Philippe, librairie Pavé du Canal — Montigny-le-Bretonneux
« Le Garçon, c’est cet enfant sauvage qui finira par rencontrer les hommes, trouvera l’amour avant de se faire rattraper par l’Histoire. Avec ce roman, Marcus Malte signe tout simplement son chef-d’œuvre appelé à devenir un classique. L’un des grands coups de cœur de la rentrée !! » Librairie des Halles — Niort
« Nous sommes en 1908 quand le garçon se met en chemin, quittant la cabane où il vécut avec sa mère, désormais morte. Nous irons jusqu’en 1938, lorsque son périple s’achèvera […]. Entre-temps, il y aura eu la guerre. Entre-temps, il y aura eu les rencontres. Il y aura eu l’amour. Les jeux de la séduction. Ceux de l’érotique relation. La fureur et la gloire de l’humanité. Il y aura eu plus de cinq cents pages de bonheur de lecture comme on en rencontre peu. D’autant que, parti pris du romancier devant lequel on reste sidéré, ce personnage central qu’est le garçon ne parle pas ; il ne parlera jamais. Cette position d’être « en dehors » de la parole (il ne la prend pas, mais il l’absorbe, la comprend, la mâche, la digère), fait du garçon le lieu de projection de tous les langages, des langages et des histoires de tous ceux qui le croiseront, s’y attacheront, le nourriront. Le garçon, par l’absence d’une parole qui lui soit propre, devient le moteur de toutes les paroles... et de toute l’écriture […]. Un fabuleux concerto de langue, pour construire un fabuleux roman. » Jean Milbergue, librairie Labyrinthes — Rambouillet

« Il faut user de ce terme avec parcimonie, pourtant je n’hésiterai pas à qualifier ce roman de chef d’œuvre. Par son ampleur romanesque tout d’abord : voici plus de 500 pages où l’on suit la trajectoire du Garçon, de 1908 à 1938. Le garçon, on ne lui connaît pas de nom, pas de prénom : il a grandi seul avec sa mère, à l’état sauvage, dans une contrée reculée de France. De sa voix, on n’entendra pas une seule fois le son tout au long de sa vie, car si le garçon comprend le langage, il ne le parle pas. Le roman débute alors que le garçon porte sa mère mourante sur son dos (…) Dès lors le garçon quitte l’abri qu’il a toujours connu, marche pendant des jours jusqu’aux limites de son territoire et franchit le seuil d’un nouveau monde, celui des premiers hameaux et hommes qu’il découvre alors. Ayant le défaut d’être différent, il se heurte à la suspicion des villageois ; le voici de nouveau sur les routes, à reprendre le chemin de l’errance et des rencontres…parfois lumineuses. Ainsi le tonitruant Brabek qui sillonne le pays à bord de sa roulotte, et plus tard Emma…ah, Emma, « une femme qui sera pour lui sœur, amante et mère » tandis que la Grande Guerre le plonge trop vite dans la plus grande violence. Les soubresauts de l’histoire ne cesseront d’emporter le garçon vers d’autres rives… La grandeur de ce roman ne pourrait tenir qu’à la richesse des thèmes explorés. Mais il l’est aussi par son écriture éblouissante, virtuose, d’une puissance visuelle à vous faire frissonner de la tête aux pieds. Il l’est enfin par sa construction narrative totalement maîtrisée, jamais convenue ni attendue, qui alterne accélérations dans le temps et instants suspendus qui s’étirent sur plusieurs pages avec grâce et poésie. Une lecture rare et inoubliable. » Librairie-Café La Suite — Versailles

« Laissez-vous porter par le charme incroyable de ce texte, sa beauté lente et pénétrante, le verbe tenu et poétique qui trace le passage d’un homme d’abord petit devenu grand en ce début de XXe siècle. Images fulgurantes de beauté, d’amour, de sensualité, de connaissance et d’apprentissage, de bonté avant que la folie guerrière et meurtrière des hommes ne s’enclenche. Le garçon apprend au cœur des tranchées, retrouve son instinct de survie, s’ébranle dans la fureur des éclats, des cris et du sang tel un animal indomptable. Farouche et courageux, il a peut-être déjà saisi l’éphémère de la vie, son essence même. » Betty, librairie La Buissonnière — Yvetot
« A travers l’épopée humaine de ce Garçon, Marcus Malte signe un roman au lyrisme envoûtant. » Jonathan, librairie Le Merle Moqueur — Paris 

« Marcus Malte réécrit le mythe de l’enfant dit “sauvage” avec un garçon sans nom qui découvre les autres, la vie en communauté, et même l’amour, alors que les turpitudes de ce début du XXe siècle s’immiscent dans sa nouvelle vie…

Voici une formidable aventure humaine conjuguant la passion amoureuse et les affres de la guerre, avec la grâce d’une superbe écriture, intense et poétique qui offre au récit toute son ampleur et sa force.

Quel talent ! » Marie Morel, librairie Le Comptoir des mots — Paris

« Un chef d’œuvre ciselé comme si l’écrivain travaillait du bois. Marcus Malte a taillé dans la langue un bijou, chaque mot, chaque phrase ne pourraient être autrement. » Julie, librairie des Batignolles — Paris
« Impressionnant et captivant. Une écriture sublime. Un roman explosant et tranquille à la fois... » Maïté, librairie Le Roi Livre — Paris 
« En 1908, le Garçon, muet et quasi sauvage, sort d’une forêt du Sud de la France. Il se laisse guider par son instinct vers des rencontres improbables, un grand amour ô combien charnel et une Grande Guerre douloureuse… sans un mot. Une découverte du monde dans ce qu’il a de plus beau et de plus atroce, par un regard vierge et une bouche fermée. Un roman original, émouvant, tragique et drôle. On aimerait qu’il ne se termine pas. Magnifique ! » Librairie Page 189 — Paris
« Après les très réussis Garden of Love et Les Harmoniques, Marcus Malte nous entraîne sur le chemin d’un garçon sauvage sans nom et sans parole qui part à la découverte des hommes. Son odyssée l’amènera vers d’étranges rencontres. L’amour sous les traits d’Emma, mais aussi la mort avec ses camarades d’infortune au front. » Dominique Monin, librairie Les Guetteurs de Vent — Paris
« Mon coup de cœur de la rentrée ! » Pierre, librairie Fontaine - Haussmann — Paris
« Le garçon est un enfant sauvage. Adolescent, adulte, il vivra le monde avec sa perception, ses codes. Même si la vie l’agresse (la perte d’amours, d’amis, la guerre, le bagne), l’histoire de la première moitié du XXe siècle par les yeux du Garçon et surtout la très belle plume de Marcus Malte, est comme un conte. Un saltimbanque, une femme : des personnages entiers, attachants, qui garantiront au héros un destin exceptionnel, et aux lecteurs une vraie évasion. » Clémence Cochan, librairie Le Comptoir des Lettres — Paris
« La vie de cet enfant sauvage est une fresque éblouissante qui offre une large palette d’émotions à son lecteur : fascination, tendresse et autres délices. Un pur roman ! » Librairie Henri IV — Paris
Coup de cœur d’Isabelle de la librairie L’Arbre du Voyageur à Paris 
« Le garçon est un magnifique roman de formation relatant l’histoire d’un enfant, élevé seul par sa mère, sans contact avec l’extérieur. À chaque période de sa vie, en fonction de la teneur des événements, Marcus Malte module son style et sa langue, et offre à son roman de multiples facettes à l’image de son personnage en perpétuelle évolution. » Librairie Compagnie — Paris
« Envie d’un conte époustouflant ? Envie d’une fresque au style incroyable et à la beauté folle ? D’une histoire au charme de Grimm ou d’Andersen ? Alors Le Garçon, incroyable roman d’apprentissage est pour vous ! » Librairie Delamain — Paris
« Un livre absolument divinement écrit… une relecture de l’enfant sauvage. Des pages à l’érotisme ma-gni-fi-que lorsque Félix découvre l’amour dans les bras d’Emma. Un très gros coup de cœur !!! » Fabien, librairie Accrolivres — Albertville
« Une écriture somptueuse pour un personnage inoubliable. » Librairie Le Jardin des Lettres — Craponne 
« Ce roman est un chef-d’œuvre ! Un texte magnifique, poétique et tragique. Un garçon, “le garçon” venu du néant, qui traverse les paysages et les épreuves et les rencontres en silence. Il ne parle pas. Certaines de ces rencontres seront fondatrices, Brabek, Emma, le caporal Cormuz, l’amitié, l’amour, la guerre ; celle de 14-18.
Il échappe à tout et à tous, il traverse la vie tel un ange d’abord innocent puis vengeur ; il finira par rencontrer son destin, seul. » Sylvie Thomasson, librairie Decitre - Part-Dieu — Lyon
« 1908-1938 : 30 ans de la vie d’un garçon sauvage qui, de rencontre en rencontre, apprendra la nature, la science, l’art, la guerre… et surtour l’amour. Aussi libre et discret que son héros, Marcus Malte marie les formes et les genres avec bonheur. Un roman rare et précieux. » Librairie L’Esprit Livre — Lyon
« Un livre admirable qui devrait, selon moi, remporter quelques prix littéraires… » Librairie La Parenthèse — Strasbourg

« On est en 1908. C’est l’histoire d’un garçon quasiment sauvage, muet, qui ne connaît que sa mère qui vit retirée dans une cabane dans la forêt quelque part dans le sud de la France. Au début du roman il porte sa mère sur ses épaules, elle est malade et va mourir. Il ne connaît rien à part la nature sauvage et part seul vers le monde des hommes dont il découvre tout, les habitants d’un hameau, Brabek lutteur de foire, l’amour avec Emma puis la guerre. Ce garçon va faire un parcours initiatique hors du commun.

C’est le grand coup de cœur de la rentrée littéraire. C’est un immense roman que l’on ne peut plus lâcher. Profond, lumineux, captivant… Le texte est magnifique. C’est un livre que l’on ne peut oublier !!! » Librairie Le Libr’air — Obernai 

« Je suis subjuguée par cet univers. Tout simplement magnifique. » Évelyne, librairie Le Passage — Alençon 
« L’histoire bouleversante du Garçon, enfant sauvage, et sa rencontre subite avec le monde, en 1908.

Observateur et mutique, le Garçon vagabonde, ouvre de grands yeux étonnés, et – très vite – des rencontres le forgent (Joseph, Emma, Brabek l’ogre des Carpates – un personnage inoubliable...) et lui donnent à voir le meilleur et le pire.

Un roman éblouissant, foisonnant, truculent, tragique aussi, comme une danse étourdissante qu’on ne veut surtout pas arrêter.
 À dévorer d’urgence. » Rémi Grandidier, librairie La Fabrique — Bar-le-Duc

« Le garçon sans nom ne parle pas mais il écoute, il apprend, il observe, il jouit. Un tourbillon de mots qui nous envoûte, nous transporte vers une contemplation délicicieuse.
À déguster doucement. » Géraldine, librairie Hall du Livre — Nancy 
« 1908. Quelque part dans une région française, un garçon qui n’a pas de prénom ni de nom perd sa mère. Tout au long des 535 pages de ce roman touffu et des trente ans qu’il parcourt à grandes enjambées, il restera anonyme. D’un bout à l’autre, il sera le Garçon, un enfant sauvage qui ne parle pas et ne sait ni lire ni écrire, un jeune homme qui va se colleter aux autres hommes, mais aussi à la guerre, la grande, celle de 14, et encore aux femmes… Le tout sans un mot… C’est ce voyage formateur d’une rencontre à l’autre, de la violence à la douceur, de la solitude à la foule, que Marcus Malte raconte dans ce texte ambitieux assez singulier dans la production française. On serait bien en peine en effet de choisir un qualificatif unique pour définir Le Garçon, tant l’auteur virevolte avec aisance et virtuosité d’un genre à un autre. Roman initiatique donc, bien sûr. Mais aussi roman naturaliste. Roman de guerre. Fresque historique. Drame. Education sentimentale (et bien plus que cela)… À chaque fois, Marcus Malte fait varier son style, l’extrême crudité des scènes de la Première Guerre mondiale offrant ainsi un contraste saisissant avec l’érotisme tendre des séquence entre le garçon et Emma, la jeune mélomane à la joue balafrée dont il s’éprend. Outre ces deux amoureux, le livre propose une magnifique galerie de portraits de personnages savoureux et inoubliables : le lutteur-philosophe Brabek, Gazou le doux simplet à la liberté chevillée au corps, sans oublier l’écrivain voyageur aventurier Blaise Cendrars… Riche de mille pistes et d’une infinité d’histoires nichées au creux de l’histoire principale et de l’Histoire tout court, Le Garçon éblouit par sa maîtrise et sa puissance. » Librairie Mille et une pages — Avranches 
« Le Garçon n’a pas de nom. Il ne parle pas non plus. Presque sauvage lorsque son instinct le pousse à rejoindre la civilisation, il ne cesse d’être en marge du monde des hommes tout au long de sa vie. Ce roman initiatique retrace son parcours au fil de ses rencontres et de ses expériences. Il voyagera, rencontrera l’amour, et la guerre. Le rythme court, saccadé et sans fioritures du récit est à l’image de ce héros un peu simple d’esprit, spectateur passif de sa propre existence. » Librairie L’Embellie — La Bernerie-en-Retz
« Un bon gros roman où le destin de ce garçon qui découvre le monde extérieur au début du XXe siècle. Une belle langue pour ce roman atypique. » Librairie L’Esprit large — Guérande 

« Un OLNI - Objet littéraire non identifié - Un bonheur pour les sens, l’essence de la littérature : libre, inventive, musicale, insaisissable. Ce Garçon est un bijou d’une exigence rare et rassurante… Le terme est choisi : on ne lit pas le Garçon, on plonge dans une aventure littéraire. À lire et à offrir, car la littérature est une fête, et ce Garçon est son invité d’honneur. » Librairie Le Carnet à Spirales — Charlieu 

« Un roman formidable ! » Élodie, librairie Arcanes — Châteauroux

« Marcus Malte possède un univers romanesque bien particulier. Il a souvent écrit dans le genre policier, avec une inventivité maîtrisée et tout à fait étonnante. La force de ses personnages, la tendresse qui transparaît aussi dans ses romans, la puissance de son écriture ont fait que j’ai commencé ce roman qui vient de paraître avec enthousiasme. Et cet enthousiasme ne s’est pas démenti, loin de là ! Plus de cinq cents pages et toujours la même attention du lecteur, pris dans les rets des aventures de ce personnage qui n’a pas de nom. Voilà Le garçon. Il n’a connu que sa mère, qui l’a maintenu pour d’obscures raisons dans un isolement complet, d’où sa mutité. Il a appris durant sa prime enfance, au contact de la nature, les techniques indispensables pour survivre dans cette contrée aride du Sud de la France. Il perd sa mère au début du roman, moment terrifiant et initiatique à la fois, et se met alors en chemin. Il part à la rencontre du monde, et des hommes dont une seule fois il a eu un avant-goût en la personne d’un voyageur égaré tout près de leur tanière. S’en suit un périple hallucinant, riche en découvertes, étonnements, désillusions aussi, écoute profonde et sensible toujours, car le Garçon s’il ne parle pas, est un “écouteur” à la conscience aiguë et bienveillante.

Sa découverte du monde va le conduire du plus proche au plus lointain, et aussi du plus simple au plus sophistiqué, jusqu’à découvrir la guerre (celle de 1914), y être enrôlé et appréhender au plus profond de lui les horreurs que les hommes font aux hommes. Son étonnement vis-à-vis de la civilisation, qu’il ne comprend pas vraiment, le conduira au bout de lui-même, conscient d’appartenir au monde, à la nature, sans doute plus qu’à cette espèce si particulière qu’est l’humanité. Immense roman, à la sensualité prodigieuse, qui bouscule le lecteur, le menant par le bout de la curiosité, l’obligeant à s’immerger dans cette quête surprenante, insolente, aimante et terrifiante sans que jamais il pense à suspendre sa lecture. » Hélène Camus, librairie Tournez la Page — Combourg

« Une langue magnifique. C’est profond, très prenant. » Delphine, librairie AB — Lunel
« Nous sommes en 1908. Depuis sa naissance, le garçon a vécu à l’abri de la civilisation. Quand sa mère décède, il part à la conquête de ce grand inconnu qu’est l’homme. Il a tout à connaître, tout à voir, tout à découvrir. Ceux qui depuis la nuit des temps construisent des objets et bâtissent des demeures savent reconnaître la vraie valeur des éléments qui les entourent. Les trésors cachés sont de peu d’intérêt, pense-t-il, puisque ses congénères n’y portent aucune attention. Les observer, les imiter, leur obéir voilà la clé pour accéder aux secrets de l’humanité même quand il s’agit de rites incompréhensibles au sujet d’un divin enfant. Son apprentissage se fait au gré des rencontres. Penser par soi-même dans un monde étranger est difficile. Heureusement qu’il croise des gens honnêtes qui diffusent leur savoir avec générosité, qui l’aident à s’adapter et à se rendre utile. Tout au long du roman, nous ne saurons pas son nom ni n’entendrons le son de sa voix. Mais les personnages qu’il aborde savent toujours comment communiquer bien qu’aucun ne le comprenne mieux qu’Emma. Vivre pour survivre était bon pour son quotidien dans la nature. Ici, il peut goûter aux plaisirs de la vie, connaître ce qu’il y a de plus beau. L’amour d’abord, le sexe ensuite. Une relation parfaite s’installe entre eux. Elle qui le considère pendant un temps comme un frère trouve en son confident un amant merveilleux. Ensemble, ils partiront à la découverte du corps, à tous ces délices difficilement avouables en ce début de XXe siècle. J’en ai déjà trop dit. Mais il est difficile de se taire après une telle lecture. Si la vie n’est qu’un cercle, une succession d’étapes qu’il faut répéter, alors il n’est que justice de lire ce roman une seconde fois pour en découvrir plus peut-être ou pour tout simplement apprécier une écriture douce, passionnée, vraie. » Marylin, librairie Mollat — Bordeaux
« Un roman au sens noble du terme, avec en son cœur un personnage mutique, poétique et follement humain. Remarquable évocation d’une France contrastée à l’aube de la Première Guerre mondiale, ce livre vous plongera dans une histoire forte et poignante. » Librairie Georges — Talence 
« Ce Marcus Malte fera date. » André Zaradzki, librairie Le Chant de la Terre — Pont-Saint-Esprit
« C’est un homme sans nom, un homme sans passé et qui dit sans nom dit sans père, surgi du fond de la terre, de la forêt, de la mer qui sait, un homme sans nom n’a pas de lieu, ni d’enfance, ni rien qui puisse le faire pleurer, ou le faire rire, rien qui ne puisse lui apprendre la douleur, le manque, sait-il même ce qu’il porte sur son dos. Il avance comme une hydre bossue, il arrive de nulle part, il a faim, il a froid, il a le monde sur son dos, il a mal, il a peur, il avance le ventre vide et le dos courbé, il n’a pas de nom, il est le garçon. Il avance vers le monde connu, connu de tous, mais pas de lui, ni de sa mère qui meurt sur son dos. Nous sommes en 1908, ce monde a huit ans aurait dit Hugo et le garçon avance vers le monde qui parle. Le garçon apprend le monde en couleurs, les voix, les cris, les odeurs. Ce qui va suivre dans le roman sera l’apprentissage de la vie, auprès d’Emma qui va le faire naître à l’amour, tantôt femme, amante, mère aussi, sans qu’il n’existe toujours en tant que nom. Il sera celui qui la fait jouir, la fait pleurer, celui qui lui donne envie de meurtre sur la première qui d’une touche de piano lui donne envie de regarder ailleurs. Puis la guerre, celle de 14, celle qui réduit l’homme en copeaux humains, celle qui humilie, celle qui finit par donner un nom au garçon, dans les bombes, les bras arrachés, les crânes sans cerveaux, les jambes estropiées, le garçon se faufile et Emma l’attend, lui écrit, sans que jamais il ne sache lui répondre. Un jour, oui un jour, les balles se fracassent sur le garçon et c’est un autre livre qui s’ouvre. Un livre qu’il ne me sert à rien de vous dire, c’est à vous de l’ouvrir, de venir rencontrer le garçon et Emma, de venir vous blottir contre eux, jusqu’à la fin, car tout livre à une fin, celle-ci ira encore vous livrer une autre aventure. Si ce garçon n’a pas eu de nom, il aura traversé sa vie comme une flèche qui sur son dernier promontoire regardera les condors tournoyer et tournoyer encore, les seins d’Emma dans les yeux, les hanches d’Emma dans les yeux, Emma, tout simplement. » Librairie Saint-Christophe — Lesneven

« Une fresque grandiose de la civilisation vue par "le garçon", élevé à l’écart de tout. Découvrez à travers ses yeux ingénus les hommes, l’amour... et la guerre.

C’est finalement un conte philosophique magnifique à rapprocher du Supplément au voyage de Bougainville de Diderot. » Aurélia, librairie La Rose des vents —  Dreux

« Emportée, touchée, enthousiasmée par ce "Garçon" au regard pur éborgné par la fréquentation de l’homme dit civilisé. Ce roman est magnifique ! » Élodie, librairie La Baignoire d’Archimède — Brive-la-Gaillarde 
« Élevé par sa mère dans une petite ferme isolée de tout, sans avoir jamais eu de contacts avec la civilisation, le Garçon, comme le désigne le narrateur, ne parle pas. À la mort de celle qui fut son seul repère, il ne sait comment réagir. Elle lui avait seulement dit de brûler son corps quand le moment serait venu. Ce qu’il fait. Ne lui reste ensuite qu’à partir vers un monde dont il ne connaît rien, à la rencontre et à la découverte des hommes et d’un pays, la France. Nous sommes en 1908. Dans une langue vibrante et sculptée, Marcus Malte nous donne à lire un roman d’apprentissage prodigieux, mêlant à la fois la colère et l’indignation, l’innocence et la beauté.
J’ai adoré ! » Gaël, librairie Le Grenier — Dinan 
« Le Garçon a l’évidence des grands livres, logique alors qu’il séduise déjà autant, que le bruit qu’il fait, le son qu’il produit s’étende peu à peu. Cette histoire d’enfant sauvage, roman d’apprentissage, philosophique, au style précieux, à la plume sobre mais si finement ciselée a ce pouvoir de gagner le cœur de tous. Souhaitons lui le même destin qu’un certain Boussole de M. Enard !! » Camille, librairie Calligrammes — La Rochelle
« La superbe écriture de Marcus Malte prend toute son ampleur dans ce grand roman initiatique. C’est magnifique et bouleversant mais on en redemande ! » Nadia Champesme, librairie Histoire de l’Oeil — Marseille 
Coup de cœur ! de la Librairie Filigranes — Bruxelles, Belgique
« C’est l’histoire d’un garçon de 14 ans qui a toujours vécu seul avec sa mère dans le sud de la France, éloigné de tout et qui, après le décès de celle-ci, décide de partir à la découverte des autres et du monde. C’est l’histoire d’un garçon qui ne parle pas mais qui va, de rencontres en rencontres, vivre des aventures initiatiques, cocasses, tragiques et une grande histoire d’amour. C’est l’histoire d’un garçon qui s’éveille pendant la première partie du 20ᵉ siècle, pour le meilleur et pour le pire. C’est le roman magnifique de la condition humaine écrit par Marcus Malte dont la maîtrise narrative et le lyrisme vous laisseront sans voix. » Librairie Candide — Bruxelles, Belgique 
« Une magnifique claque de lecture avec Le Garçon de Marcus Malte ! C’est immense ! » Sylvia, Librairie Au coin des Mots Passants - Gap
« L’auteur qui nous vient du polar s’éloigne de son genre de prédilection pour nous offrir un volumineux roman d’apprentissage ayant pour toile de fond la première moitié du XXe siècle. Étrange objet littéraire que voilà, magnifiquement écrit et imprimant dans nos mémoires les fulgurances qu’il fait naître en rendant hommage à la musique (celle de Chopin, de Mendelssohn) et à la littérature érotique, de même qu’en restituant l’horreur de la mitraille. » Thomas Dupont-Buist