Coups de cœur des libraires

« Le garçon n’a pas de nom, il a grandi isolé du monde. À la mort de sa mère, il part sur les routes de France, nous sommes en 1908. Sa formation d’homme se fait au hasard des rencontres. Il trouvera l’amour mais aussi la guerre. Il apprend à ses dépens que "l’homme est un loup pour l’homme". On s’attache à ce personnage, on le comprend alors même qu’il ne parlera jamais, ses silences sont d’autant plus fort. Roman fascinant et unique. » Librairie Les Pertuis - St Pierre d'oléron

« Comment parler de ce magnifique roman qu’est Le Garçon de Marcus Malte ? Qu’écrire à son propos qui ne briserait pas l’envoûtement qu’il suscite dès ses premiers mots ? Il faut juste dire que c’est l’histoire d’un enfant sauvage qui se rapproche de la société humaine, après n’en avoir connu que le squelette auprès de sa mère ermite. Nous sommes quelque part au sud de la France, au début du XXe siècle. Et l’histoire de ce garçon sans nom, c’est à la fois celle de ses aventures dans une roulotte, celle d’un amour aussi singulier que lui, celle de la folie humaine qu’on appelle Histoire, celle de ses errances au-delà des mers. Ce récit passionné et fascinant alterne le regard si poétique de ce drôle et attachant Candide, chez qui la musique d’un torrent de montagne suscite une extase aussi intense que celle de la voix aimée, et un panorama englobant l’Europe entière, avec un art magistral de l’intrigue. Un grand bravo et un immense merci pour ce roman, aussi bien écrit que facile à lire ! p. 99 : "Et de grâce faites que le mystère perdure. L'indéchiffrable et l'indicible. Que nul ne sache jamais d'où provient l'émotion qui nous étreint devant la beauté d'un chant, d'un récit, d'un vers" » Pauline, Librairie Les Beaux Titres - LEVALLOIS PERRET

« Roman historique, d’aventure, d’initiation... où un jeune garçon à demi sauvage va traverser le siècle et trouver son humanité. » Librairie Vivement Dimanche - Lyon

« À mi-chemin entre le récit d’apprentissage et le roman historique, Le Garçon de Marcus Malte est ce genre de roman total, réunissant en son sein une somme de genres et de styles. Le génie de Malte réside dans sa narration, portant son personnage comme si ce dernier portait des millénaires en lui. L’ombre de Victor Hugo n’est jamais bien loin tellement la grandeur de ce récit rappelle certains classiques français. » Jérémy Laniel, librairie Carcajou — Rosemère (Canada) 
« Marcus Malte est un écrivain. Avec ce héros insolite, il nous offre des pages superbes, originales, expérimentales. Personne avant lui n’a évoqué la guerre 14-18 comme il le fait. Ovni littéraire pour esprits curieux, ne surtout pas s’abstenir ! » Isabelle, librairie Paroles — Saint-Mandé
« Entre conte initiatique et aventure épique, Le Garçon est un récit enchanteur, d’une rare beauté. Marcus Malte parle de la vie, de l’amour, de la guerre comme peu l’ont fait avant lui : avec des mots justes et ciselés, des mots qui nous remuent ! Unique ! » Librairie Folies d’Encre — Gagny
« Roman qui suit, au début du siècle, la découverte par un jeune homme, muet et solitaire, de l’humanité qui l’entoure, la solidarité, le mépris, l’amitié, la foule, la mort, l’amour et l’érotisme, la guerre (l’autre nom de la folie). Très beau roman plein de fougue, de silence, de joie, de drames aussi... la vie tout entière en seulement 544 pages. » Librairie Dédicaces — Rueil-Malmaison
« Il restera "le Garçon". Sauvage, muet, sans passé, nous le suivrons du début du siècle à la fin de la Première Guerre. Un texte captivant sur la quête de sens, un monde au bord de l’abîme, une langue radieuse : une interrogation sur l’Homme à l’épreuve des hommes. En forme de traversée poignante. » Hugo, librairie Nouvelle — Asnières-sur-Seine 
« L’écriture impeccable de Marcus Malte insuffle à son récit une dimension universelle. » Librairie Le Carré des Mots — Toulon
« Il n’a pas de nom. Il ne parle pas. Le garçon est un être quasi sauvage. Du monde, il ne connaît que sa mère et les alentours de leur cabane. Nous sommes en 1908 quand il se met en chemin, d’instinct. Commence alors, la rencontre avec les hommes, les femmes et leur monde. Bien sûr, il y a eu Victor de l’Aveyron, avant cela le Mowgli de Kipling et plus récemment Le jour des corneilles de Beauchemin. Sur cette thématique de l’enfant sauvage, la littérature ne manque pas. Mais Le Garçon de Marcus Malte a un charme indéfinissable. C’est un livre qu’on ne lâche pas, qui envoûte de la première à la dernière page. Le style. Évidemment. Dans une langue vibrante et sculptée, Marcus Malte nous donne à lire un roman prodigieux, mêlant à la fois la colère et l’indignation, l’innocence et la beauté. Magnifique et complètement addictif ! » Librairie Café Plùm — Lautrec
« Le garçon ne parle pas, ne lit pas, n’a pas de nom. Le garçon, c’est le Garçon. Tous ceux qui le cotoient l’aiment, et c’est réciproque. Dommage qu’ils finissent tous par en mourir. Ce garçon est doué en tout, pour faire l’amour (il excelle) pour faire la guerre (il est surdoué). Il passe... Existe-t-il vraiment ? Est-il juste un révélateur, un passeur ? Que c’est bien écrit ! On pense à Céline, à Boudard, à Vautrin. C’est hard, gouleyant, romantique, atroce. Du grand art ! » Philippe, librairie Pavé du Canal — Montigny-le-Bretonneux
« Le Garçon, c’est cet enfant sauvage qui finira par rencontrer les hommes, trouvera l’amour avant de se faire rattraper par l’Histoire. Avec ce roman, Marcus Malte signe tout simplement son chef-d’œuvre appelé à devenir un classique. L’un des grands coups de cœur de la rentrée !! » Librairie des Halles — Niort
« Nous sommes en 1908 quand le garçon se met en chemin, quittant la cabane où il vécut avec sa mère, désormais morte. Nous irons jusqu’en 1938, lorsque son périple s’achèvera […]. Entre-temps, il y aura eu la guerre. Entre-temps, il y aura eu les rencontres. Il y aura eu l’amour. Les jeux de la séduction. Ceux de l’érotique relation. La fureur et la gloire de l’humanité. Il y aura eu plus de cinq cents pages de bonheur de lecture comme on en rencontre peu. D’autant que, parti pris du romancier devant lequel on reste sidéré, ce personnage central qu’est le garçon ne parle pas ; il ne parlera jamais. Cette position d’être « en dehors » de la parole (il ne la prend pas, mais il l’absorbe, la comprend, la mâche, la digère), fait du garçon le lieu de projection de tous les langages, des langages et des histoires de tous ceux qui le croiseront, s’y attacheront, le nourriront. Le garçon, par l’absence d’une parole qui lui soit propre, devient le moteur de toutes les paroles... et de toute l’écriture […]. Un fabuleux concerto de langue, pour construire un fabuleux roman. » Jean Milbergue, librairie Labyrinthes — Rambouillet

« Il faut user de ce terme avec parcimonie, pourtant je n’hésiterai pas à qualifier ce roman de chef d’œuvre. Par son ampleur romanesque tout d’abord : voici plus de 500 pages où l’on suit la trajectoire du Garçon, de 1908 à 1938. Le garçon, on ne lui connaît pas de nom, pas de prénom : il a grandi seul avec sa mère, à l’état sauvage, dans une contrée reculée de France. De sa voix, on n’entendra pas une seule fois le son tout au long de sa vie, car si le garçon comprend le langage, il ne le parle pas. Le roman débute alors que le garçon porte sa mère mourante sur son dos (…) Dès lors le garçon quitte l’abri qu’il a toujours connu, marche pendant des jours jusqu’aux limites de son territoire et franchit le seuil d’un nouveau monde, celui des premiers hameaux et hommes qu’il découvre alors. Ayant le défaut d’être différent, il se heurte à la suspicion des villageois ; le voici de nouveau sur les routes, à reprendre le chemin de l’errance et des rencontres…parfois lumineuses. Ainsi le tonitruant Brabek qui sillonne le pays à bord de sa roulotte, et plus tard Emma…ah, Emma, « une femme qui sera pour lui sœur, amante et mère » tandis que la Grande Guerre le plonge trop vite dans la plus grande violence. Les soubresauts de l’histoire ne cesseront d’emporter le garçon vers d’autres rives… La grandeur de ce roman ne pourrait tenir qu’à la richesse des thèmes explorés. Mais il l’est aussi par son écriture éblouissante, virtuose, d’une puissance visuelle à vous faire frissonner de la tête aux pieds. Il l’est enfin par sa construction narrative totalement maîtrisée, jamais convenue ni attendue, qui alterne accélérations dans le temps et instants suspendus qui s’étirent sur plusieurs pages avec grâce et poésie. Une lecture rare et inoubliable. » Librairie-Café La Suite — Versailles

« Laissez-vous porter par le charme incroyable de ce texte, sa beauté lente et pénétrante, le verbe tenu et poétique qui trace le passage d’un homme d’abord petit devenu grand en ce début de XXe siècle. Images fulgurantes de beauté, d’amour, de sensualité, de connaissance et d’apprentissage, de bonté avant que la folie guerrière et meurtrière des hommes ne s’enclenche. Le garçon apprend au cœur des tranchées, retrouve son instinct de survie, s’ébranle dans la fureur des éclats, des cris et du sang tel un animal indomptable. Farouche et courageux, il a peut-être déjà saisi l’éphémère de la vie, son essence même. » Betty, librairie La Buissonnière — Yvetot
« A travers l’épopée humaine de ce Garçon, Marcus Malte signe un roman au lyrisme envoûtant. » Jonathan, librairie Le Merle Moqueur — Paris 

« Marcus Malte réécrit le mythe de l’enfant dit “sauvage” avec un garçon sans nom qui découvre les autres, la vie en communauté, et même l’amour, alors que les turpitudes de ce début du XXe siècle s’immiscent dans sa nouvelle vie…

Voici une formidable aventure humaine conjuguant la passion amoureuse et les affres de la guerre, avec la grâce d’une superbe écriture, intense et poétique qui offre au récit toute son ampleur et sa force.

Quel talent ! » Marie Morel, librairie Le Comptoir des mots — Paris

« Un chef d’œuvre ciselé comme si l’écrivain travaillait du bois. Marcus Malte a taillé dans la langue un bijou, chaque mot, chaque phrase ne pourraient être autrement. » Julie, librairie des Batignolles — Paris
« Impressionnant et captivant. Une écriture sublime. Un roman explosant et tranquille à la fois... » Maïté, librairie Le Roi Livre — Paris 
« En 1908, le Garçon, muet et quasi sauvage, sort d’une forêt du Sud de la France. Il se laisse guider par son instinct vers des rencontres improbables, un grand amour ô combien charnel et une Grande Guerre douloureuse… sans un mot. Une découverte du monde dans ce qu’il a de plus beau et de plus atroce, par un regard vierge et une bouche fermée. Un roman original, émouvant, tragique et drôle. On aimerait qu’il ne se termine pas. Magnifique ! » Librairie Page 189 — Paris